La direction de France 2, organisme étatique chargé de diffuser la propagande du régime, a mis à pied le présentateur météo Philippe Verdier. Celui-ci n’est pas coupable d’avoir pillé les caisses de la chaîne, ni d’être connu comme un consommateur habituel de cocaïne ; il n’est pas non plus le bénéficiaire de favoritisme et n’est pas là par la grâce de quelques amitiés politiques ou tout simplement élu de fait via son appartenance à une minorité ethnicopolitique aussi soudée que malfaisante.
Le « crime » de Philippe Verdier est d’avoir publié un livre, Climat investigation. Il y attaque le dogme du réchauffement climatique et les explications mensongères diffusées habituellement par les médiats du régime prétendant parler au nom de la science. Il y rappelle que le prétendu Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a déjà été pris en flagrant délit de manipulation, ayant notamment trafiqué des chiffres.
Après avoir pris une semaine de vacances pour présenter son livre, sa direction lui a fait savoir qu’il n’était plus le bienvenu dans les locaux, alors même qu’aucune faute ne peut lui être reprochée.
Le régime a donc désormais deux manières de réagir contre ceux qui dénoncent ses mensonges : les traiter de « connards », comme l’étrangère juive Nathalie Kosciusko-Morizet l’a fait il y a peu, ou simplement les priver de leur emploi.
En Belgique, c’est le rédacteur en chef de la RTBF Cristian Dauriac qui a été viré, sans préavis. Il lui a été reproché d’avoir tenu des propos insuffisamment homofolles et insuffisamment racistes antiblancs.