Depuis plusieurs jours, les journalistes à gages ont lancé une offensive contre l’armée et spécialement contre les militaires du 40e régiment de transmission (RT) de Thionville (Lorraine). Alors que ces mêmes médiats taisent, quand ils n’en font pas la promotion des plus abjects clips de rap – où des enfants sont conduits à manipuler des kalachnikovs, des liasses de billets, de la drogue d’utiliser le vocabulaire – ou ce qui en tient lieu dans les cités occupées – le plus ordurier réalisés avec le soutien des autorités, qu’ils promeuvent la pire littérature mensongère, vulgaire, infamante, des récits shoatiques aux albums de ‘Zep’, la simple organisation d’un atelier les fait hurler.
Quand on pollue la tête des enfants par le métissage, quand on leur met dans les mains dans ‘zizi sexuels’, cela provoque des orgasmes aux journalistes vendus et corrompus. Et quand un militaire veut leur parler de l’armée, de la nation, et simplement leur faire toucher une arme sans munition et inoffensive, cela fait entrer les mêmes vendus et corrompus dans la plus grande fureur.
Les faits sont pourtant, pour le moins, insignifiants. Lors de cet atelier découverte, réalisé avec les enfants d’une école élémentaire de Flastroff, un militaire a permis aux enfants, parce qu’ils le demandaient, de toucher aux armes. De l’aveu même de l’armée, « il n’y avait aucune munition dans les armes » et « les enfants, âgés de 9 et 10 ans, n’ont aucunement été exposés à une situation périlleuse ».
« Face à l’engouement des enfants pour les armes, le capitaine qui dirigeait cette opération a laissé les enfants les manipuler »,
a expliqué le commandant du 40e RT.
Aucun parent ne s’est plaint. Aucun enfant ne s’est plaint. Aucun militaire ne s’est plaint. Aucun incident n’a été constaté.
Il a fallu toute la haine des médiats contre la France et l’armée pour créer une « affaire ».
Quand on leur met l’idéologie du genre dans la tête des enfants, les journalistes applaudissent. Quand il s’agit de la patrie, ils hurlent à la mort et réclament des têtes. Et ils risquent d’obtenir gain de cause.
« J’ai immédiatement réagi en apprenant les faits et des sanctions seront prises à l’encontre de l’officier en charge de cette action et de tous les responsables »,
avait immédiatement réagi un certain lieutenant-colonel Biberian.
Tout autant au service de l’anti-France et aux ordres des journalistes, les services de Jean-Yves Le Drian avaient déjà annoncé qu’une enquête était ouverte.
« Le ministère condamne fermement. […] Cet atelier ne faisait pas partie du programme tel qu’il avait été validé dans la note de service »,
a fait savoir le franc-maçon qui espère bientôt rejoindre le conseil régional de Bretagne, annonçant des sanctions.