Plusieurs semaines pour identifier des criminels connus, ayant agi en plein jour
Depuis mardi, François Hollande, Manuel Valls, Bernard Cazeneuve et même Christiane Taubira rivalisent de fermeté dans l’affaire de l’attaque menée par un gang de Gitans contre la ville de Moirans.
« L’État ne tolérera aucune attaque, aucune remise en cause de ce qu’est [sic] l’ordre public et le bien public. Et des sanctions seront prononcées par la Justice à la hauteur des dommages qui ont été causés »,
a ainsi prétendu François Hollande.
Il a été immédiatement démenti par le principal intéressé. L’identification des criminels pourrait prendre plusieurs semaines selon le procureur de Grenoble Jean-Yves Coquillat.
« Ça peut prendre plusieurs semaines. Ce n’est pas une question de temps, mais de preuve et de justice. […] Toute précipitation et toute pression excessive peut [sic] nuire au résultat d’une enquête. Je veillerai à ce que les enquêteurs ne subissent pas de pression excessive. Ils ne rendront de compte qu’à moi »,
a-t-il précisé, qualifiant donc la volonté, partagée par tous les Français, que l’affaire aboutisse de « pression excessive ».
« Les interpellations ne sont pas décidées en fonction d’une volonté politique ou en fonction des événements »,
a déclaré le très politisé procureur, comme si la volonté politique, censée incarnée la voix du peuple, devait être méprisée – une fois encore.
Plusieurs semaines, cela sera le temps que les Français oublient l’affaire de ce nouveau pillage des criminels étrangers coutumiers du fait, après des raids similaires menés contre Saint-Aignan, sur l’autoroute A1, comme ils ont oublié les multiples agressions de maires et d’élus, sans parler des innombrables attaques contre les Français.
Le procureur qui n’aime pas la « pression » se sent plus à l’aise avec les drogues
Jean-Yves Coquillat ne partage pas que le laxisme judiciaire avec l’extrême gauche. Il a été créé une polémique l’an dernier quand il s’est servi des vœux présentés en audience solennelle en 2014 pour faire de fait l’apologie de la drogue et réclamer un « débat » sur la dépénalisation. Il faut
« faire évoluer le droit en fonction de l’évolution de la société »,
a-t-il déclaré, sans préciser si le fait qu’un pédocriminel militant comme Daniel Cohn-Bendit a été le candidat d’un parti d’extrême gauche dont il est proche constitue une « évolution » (sic) de la société devant conduire à légaliser le viol des enfants au nom de la bonne conscience de gauche.
Cette sortie ne doit rien au hasard : comme pour Christiane Taubira, la légalisation de la drogue est l’un des principaux combats du Syndicat de la magistrature (SM), ce groupuscule d’extrême gauche haineux et violemment antifrançais.
En utilisant un tribunal pour réclamer la dépénalisation de substance dont les effets nocifs ont été amplement démontrés, il utilisait de façon particulièrement scandaleuse une fonction publique pour diffuser un message politique personnel et antisocial.
Le gouvernement complice, qui compte plusieurs individus favorables à la généralisation de la drogue pour détruire le peuple, n’a évidemment pas réagi, ni condamné, ni immédiatement limogé l’activiste pro-drogue.
Dans le domaine du laxisme en faveur des émeutiers, ce n’est pas la première fois que Jean-Yves Coquillat s’illustre. Il avait déjà utilisé l’excuse des « pressions » pour justifier l’apathie de la « justice » et de la police après les très graves émeutes du quartier envahi de La Villeneuve en 2010.
Coquillat, récidiviste de l’excuse de la « pression »
Durant quatre jours, après la mort d’un criminel – déjà –, les occupants avaient, dans ce quartier de Grenoble, pillé, incendié, agressé ; il s’agissait des pires émeutes en France depuis 2005. Cela avait entraîné le « discours de Grenoble » de Nicolas Sárközy, des grandes paroles et… aucun acte.
Le complice du criminel tué, accusé pourtant de vol à main armée et de tentative de meurtre avait été relâché par un juge du tribunal de Grenoble. Jean-Yves Coquillat avait justifié cette remise en liberté puis une seconde, alors même que les policiers avaient prouvé que le criminel avait menti, et qu’il avait bien été dans la voiture des braqueurs.
« La pression politique et administrative qui a été mise à l’époque sur les policiers a nui à la qualité de l’enquête »,
avait déclaré plus tard Jean-Yves Coquillat pour tenter de justifier le laxisme et l’inefficacité de la justice rouge.
Les Moirainnais sont prévenus.