Les autorités ne ménagent pas leurs efforts pour cacher les innombrables effets néfastes de l’invasion sur les populations en France. Tout particulièrement, elles nient l’impact sanitaire des migrations organisées par le grand patronat et l’extrême gauche. Les effets sont doubles. D’une part, les hospitalisations et prises en charge d’envahisseurs coûtent très cher à la France, d’autant plus que les prétendus ‘réfugiés’ n’ont jamais – et pour la plupart ne le feront jamais – cotisé. D’autre part, en amenant avec eux de nombreuses maladies, notamment parmi celles éradiquées depuis longtemps dans le monde européen, ils créent un grave trouble, au risque de terribles épidémies.
À plusieurs reprises, y compris officiellement, les autorités ont « démenti » l’existence de cas de maladies, bénignes ou graves, dans les camps créés par ou pour les envahisseurs. Ce fut le cas de la préfecture des Alpes-Maritimes durant l’été, niant l’évidence de la situation dans le secteur de Vintimille-Menton. Plus discrètement, des rapports ou des informations diffusées par des syndicats ou des associations ont évoqué les cas de formes incurables de tuberculose, de SIDA, sans compter les envahisseurs atteints de bronchite, de varicelle, de gale.
Un membre des compagnies de républicaine de sécurité (CRS), longtemps en poste à Menton et désormais stationné à Calais, au contact direct des envahisseurs, a justement été diagnostiqué comme atteint de la gale. Un collègue de ce policier de la compagnie 23, basée à Charleville-Mézières, a été placé sous surveillance, probablement touché également.
« Nous recherchons actuellement la source de la contamination. Notre collègue a été en contact avec des migrants à Menton et à Calais où il travaille depuis quinze jours. Nous savons aussi que lui et les autres CRS ont séjourné dans un hôtel à Loon-Plage près de Dunkerque. La literie pourrait être un nid infectieux »,
a témoigné un syndicaliste.