Pour la deuxième fois en un mois, le collectif citoyen des Calaisiens en colère appelait samedi à une manifestation à Calais pour dénoncer la présence de plusieurs milliers de clandestins vivant en toute impunité à Calais, le laxisme et la complicité des autorités, et pour apporter leur soutien aux victimes de l’invasion, pompiers, policiers, commerçants et citoyens.
« Calais en détresse »
« Stop à l’immigration clandestine »
« SOS Calais »
« Stop à l’insécurité »
« Calais aux Calaisiens »
« Stop à l’immigration »
« Soutien aux parents et aux collégiens »
« Hollande démission ! »
« Soutien aux agents de sécurité et cynophiles »
« Soutien aux forces de l’ordre, aux pompiers et aux agents hospitaliers »
« Bouchart démission »
proclamaient les pancartes et banderoles brandies par les manifestants ou les slogans scandés. La maire sárközyste de la ville, Natacha Bouchart, avait une fois encore tenté de prendre un arrêté illégal contre la manifestation. La même a pourtant laissé durant plusieurs jours consécutifs les étrangers clandestins et leurs négriers d’extrême gauche manifester dans le centre de la ville, allant jusqu’à perturber des cérémonies de mariage à la mairie.
Le journal La Voix du Nord, très défavorable à la cause nationale, a évoqué « plus de 600 personnes ». Les vidéos montrent un imposant cortège sans doute proche ou au-delà des mille participants.
Proche du Front national (FN), le collectif a pris le pas ces dernières semaines sur une autre association, Sauvons Calais, dont le président a lui rallié le Parti de la France (PDF).
Malgré les provocations habituelles extrémistes, supplétifs du grand patronat et du gouvernement, aucun incident n’a été signalé.