Les criminels étrangers qui occupent illégalement un vaste territoire à Calais organisent depuis dimanche soir de graves émeutes à Calais. Les faits sont habituels dans la zone de Calais, mais ils ont connu, de l’aveu des autorités, un net regain et dépassé tous les seuils de violence vus jusqu’ici.
Depuis la jungle, et avec le secours de groupes extrémistes parfaitement identifiés, mais contre lequel le gouvernement ne réagit absolument pas, les gangs d’étrangers planifient désormais des attaques en coordonnant plusieurs centaines d’individus. L’assaut a commencé dans la nuit de dimanche à lundi par le caillassage d’un poids lourd qui circulait sur un pont près du camp illégal, possiblement pour obliger les CRS à intervenir.
Ce sont alors contre les policiers que les criminels africains ont jeté des pierres. Les affrontements ont duré plus de deux heures ; les fonctionnaires des compagnies de républicaine de sécurité (CRS) ont tiré plus de 200 grenades lacrymogènes.
« On a entendu un gros boum. On a été réveillés par le bruit. Mon gamin s’est mis à pleurer. Là on est montés de peur. On a vu tous les gyrophares. Ils ont commencé à jeter des pierres, qui ont atterri dans ma cour, sur ma maison. C’était la guerre ! »,
a témoigné une riveraine, une nouvelle fois obligée de subir les nuisances de l’invasion.
« C’est la première fois que c’est aussi violent et qu’on a malheureusement autant de collègues blessés. On est inquiets. Si un jour on a une révolte au sein du camp, ça va être la folie »,
a de son côté affirmé un syndicaliste policier.
Les affrontements ont persisté plusieurs heures, perturbant durablement le trafic routier.
Seize membres des forces de l’ordre ont été blessés lundi et onze mardi matin, soit 27 en moins de 48 heures.
Pendant la seconde nuit hier, les violences ont duré cinq heures, les délinquants poursuivant leurs attaques jusqu’à 4 heures du matin. Les envahisseurs ont
« à plusieurs reprises, tenté de ralentir le trafic sur la rocade portuaire en posant divers objets sur la chaussée. Les policiers ont dû repousser à plusieurs reprises les migrants de la rocade. Des projectiles ont été lancés sur les policiers »,
a précisé un porte-parole de la préfecture, sans ajouter quelles mesures le gouvernement comptait prendre pour mettre fin à ces agissements criminels commis par les prétendus ‘migrants’ et les activistes extrémistes. Ces derniers sont accusés d’avoir participé aux émeutes, tant à la préparation des attaques qu’aux caillassages, au démontage de panneaux de signalisation, aux barrages sauvages installés sur la route, etc.
Mardi matin, d’autres agressions sur le même modèle ont été constatées sur la rocade portuaire.
« Jusqu’à présent les migrants reculaient lorsque les policiers avançaient, maintenant c’est eux qui viennent à nous, avec des cailloux »,
a souligné une source policière.
Les Afro-Maghrébins qui ont violé nos frontières sont largement protégés par le gouvernement d’occupation et par les associations négrières comme le Secours populaire ou les groupes anarchistes. Ces derniers favorisent la venue en France puis le passage en Grande-Bretagne des délinquants étrangers, utilisés – pour la partie qui ne vivra pas de trafic et d’allocations – comme main-d’œuvre bon marché en Angleterre, permettant ainsi de tirer les salaires des travailleurs britanniques vers le bas.