François Hollande l’a promis quelques heures après les attentats de Paris et Saint-Denis le 13 novembre. Le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel se sont prononcés pour cette mesure. La très grande majorité de la population la réclame.
Mais pas l’extrême gauche.
François Hollande, a, une fois encore, menti. François Hollande a, une fois encore, trompé les Français. François Hollande a, une fois encore, cédé devant l’extrême gauche la plus sectaire, plus que jamais parti de l’invasion.
Et alors même que la décision doit officiellement être prise en conseil des ministres demain matin, Christiane Taubira a annoncé mardi, sur les ondes d’une radio algérienne, que le projet d’article de loi autorisant la déchéance de la nationalité aux binationaux convaincus de représenter un danger mortel pour la France est écarté.
Il n’est pas connu si, lâchement, pour ne pas avoir à en endosser la responsabilité, c’est François Hollande qui a envoyé l’indépendantiste se charger de l’annonce ou s’il s’agit d’une nouvelle initiative personnelle détestable de Christiane Taubira. Le fait est là : sur le fond comme sur la forme, il s’agit d’une nouvelle insulte infligée à la France et aux Français.
« Le projet de révision constitutionnelle qui sera présenté en Conseil des ministres ne retient pas cette disposition »
s’est réjouie l’activiste antifrançaise, largement rejetée par les électeurs lors des élections régionales du début du mois, la liste où elle se présentait n’ayant pas atteint les 15 %. Elle se présentait pourtant en Guyane.
Celle dont l’activité criminelle et la totale incapacité ont conduit à la libération ces deniers mois d’une tueuse en série, d’un multirécidiviste devenu islamiste et qui a très grièvement blessé un policier, de trafiquants de drogue, des violeurs, pédocriminels, etc., s’est posée en spécialiste de la sécurité. Celle qui est membre d’un gouvernement sous lequel, en un an, s’est produite une dizaine d’attaques terroristes, depuis les attaques contre les marchés de Noël en décembre dernier jusqu’aux attentats de Paris et Saint-Denis en novembre, a osé déclarer :
« C’est une décision qui ne peut avoir d’efficacité dans la lutte contre le terrorisme. En termes d’efficacité, ce n’est pas une mesure probante. Cette déchéance de nationalité sur des personnes nées françaises, qui appartiennent depuis leur naissance à la communauté nationale, ça pose un problème de fond sur un principe fondamental qui est le droit du sol, auquel je suis profondément attachée, et qui est, dans l’histoire de la construction de la communauté française sur une base civique, un pilier fondamental ».
La même a pourtant réé et dirigé un parti indépendantiste avec pour but affirmé de se détacher de la « communauté française » à laquelle, pour la détruire, elle prétend appartenir et qu’elle prétend vouloir défendre aujourd’hui.