Trois blessés lors d’une attaque contre des militaires français à Valence
Un individu a tenté d’écraser des militaires français qui protégeaient un lieu de culte islamiste dans le quartier des Fontbarlettes à Valence vers 15 heures vendredi, au premier jour de l’année 2016. Un militaire a été blessé dans l’attaque, renversé par la voiture comme ses collègues. L’un des soldats a ouvert le feu à plusieurs reprises pour immobiliser le terroriste lorsqu’il a tenté à nouveau de percuter les soldats ; l’assaillant a été stoppé, touché par au moins deux balles. Présenté comme grièvement blessé, il a été arrêté et a été entendu cette nuit.
Outre le militaire renversé, blessé au genou et au tibia, un étranger a été touché au mollet par une balle perdue alors qu’il se rendait dans la « grande mosquée » de la ville. Il a été secouru par les militaires avant d’être pris en charge par les secours.
L’assaillant maghrébin aurait crié « Allah akbar » selon des témoins
Au volant d’une Peugeot 307 break rouge immatriculée en Savoie, l’individu, âgé d’une trentaine d’années, aurait crié « Allah akbar » selon des témoins. Cela confirmerait les motivations du terroriste, sur lesquelles il existe de toute façon peu de doutes, sinon aucun. Il s’agirait encore d’un individu ayant échappé à la vigilance des services de renseignements.
Contrairement à la plupart des terroristes ayant agi cette année en France – et qui ont assassiné 150 personnes, un record depuis la guerre d’Algérie et les crimes terroristes du FLN et des autorités républicaines contre les Français et les harkis – il n’est pas connu des services de police.
« On a vu cette personne, elle est d’origine maghrébine »,
a précisé l’imam Abdallah Dliouah. Il s’agit donc, comme une majorité de crimes et délits commis en France, sans même parler des attentats, d’un fait impliquant un étranger qu’une saine politique nationale aurait dû reconduire chez lui avec les siens il y a longtemps.
Les autorités elles, à commencer par le maire de la ville, ont déjà préparé le terrain pour faire croire à l’acte d’un « fou ».
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