Depuis le 1er juillet, des manifestations musulmanes ont salué joyeusement l’indépendance. Sur Radio-Alger, le GPRA appelle à de grands rassemblements pour le 5 juillet, jour de la proclamation de l’indépendance.
Il reste à Oran, le 5 juillet, environ 100 000 Européens. Ils bénéficient, en principe, de la garantie de leur personne par les accords d’Évian.
On ignore qui prend l’initiative du massacre d’Européens qui va suivre. En revanche, concernant son déroulement ainsi que les enlèvements, les témoins sont unanimes à mettre en cause l’ALN, les ATO et des civils équipés de pistolets et de couteaux. Tous ces hommes armés agressent les Européens qu’ils rencontrent, dans un déchaînement meurtrier. C’est une véritable chasse à l’homme qui s’organise. Elle va mettre à feu et à sang de nombreux quartiers européens. Les hommes armés se ruent sur les immeubles, enfoncent les portes des appartements, ouvrent le feu dans les restaurants, arrêtent, enlèvent, égorgent, au hasard des rencontres. Des rafales de mitraillette balaient les terrasses des cafés, les porches, les voitures.
Les premiers rapts sont signalés vers 12 h 10 : une centaine d’Européens sont dirigés sur Ville-Nouvelle (quartier musulman du centre). Puis, la poste principale est envahie, les fonctionnaires présents sont égorgés et une trentaine de personnes, hommes et femmes, sont enlevées, contraintes de se déplacer à genoux. Les hommes de l’ALN quadrillent la ville. Ils enlèvent des personnes, et les regroupent. C’est ainsi qu’ils conduisent des Européens en cortège au commissariat central, ou vers Petit-Lac (quartier musulman, au sud-est), où sont pratiqués des assassinats de masse. Certains de ces prisonniers sont tués en chemin. D’autres sont sauvés par des musulmans.
Le général Joseph Katz, qui commande les 18 000 soldats français encore à Oran, survole la ville à plusieurs reprises. Il téléphone au président Charles de Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre et demander l’autorisation d’intervenir. « Surtout, ne bougez pas ! » lui est-il répondu. Par les accords d’Evian, en effet, le gouvernement français a accepté – contre l’avis des militaires – que le maintien de l’ordre relèverait exclusivement des autorités algériennes à compter du jour de l’indépendance. Les soldats restent donc dans les casernes.
Au soir de cette journée, la Grande Zohra apparaît comme prévu à la télévision, et proclame l’indépendance de l’Algérie.
On parle dans les semaines qui suivent de plusieurs centaines de morts. Les représentants des pieds-noirs évoquent le chiffre de 2 000 non compris quelques centaines de disparus… Des disparus qui seront signalés plus tard dans les mines de l’Algérie, dans des prisons, des maisons closes et des bars à soldats…
Ce massacre achève de terroriser la population civile européenne. Il lui montre qu’elle est privée de protection. Il lui montre la fragilité de son statut, défini par des accords d’Évian qui sont remis en cause d’un côté comme de l’autre. Le massacre suscite le désespoir des Européens, dont l’exode prend alors un tour définitif.
vive de gaulle….
CE lâche, déserteur en temps de guerre, qui a fuit la France pour aller se réfugier en Angleterre où il n’était pas aimé, même par CHURCHILL qui le considérait comme un misérable traître.
Il avait promis que la France resterait telle-quelle de Dunkerque à Tamanrasset, résultat il a donné l’ordre à ses sbires de signer les accords d’Evian et d’ABANDONNER l’Algérie à des sauvages sans foi ni loi qui viennent maintenant COLONISER la France.
les Français avaient apporté la civilisation, eux n’apportent rien en échange, si ce n’est que la destruction de notre système de vie, de notre religion, de nos lois ETC…..C.
Toute ma famille a vécue a Maison Carré prés D’Alger et ont été obliger de partir a cause de ce salopard de DE Gaulle qui a céder L’Algérie A des assassins a qui il faudrait leurs faire des excuses. Le pire c’est que encore aujourd’hui la France vénère toujours ce guignol qui soi disant a libéré la France.Il faudrait peut être que les Français approfondissent de quelle façon ce déserteur a pus entrer a Paris en glorieux libérateur.
Un événement, une tragédie que nos parents, grands-parents ont connu et donc c’est aussi notre histoire à nous enfants et petits-enfants…
Mes Amis.
En Algérie j’ai été a JEUNE NATION judquau 24/04/61 jour du PUTCH ou jai rejoins E.M.OAS
MOSTA et devenu chef de commando Ponctuelle.les années ont passé et j’ai été impliqué dans ce qui s’est dénommé # affaire ROSEAU #
L’ai été condamné à 20 ans de réclusion criminelle et mes 2 autres compagnons dans cette affaire sont aujourd’huI DCD…dont 1 en centrale…
J’ai pludéco vous dire que en tant que membre de JEUNE NATION j’ai participé au 1er MAQUIS
ALGÉRIE FRANÇAISE du 18 au 23/02/1961 a BOUGUIRAT REGION DE
MOSTAGANEM…en compagnie de René VILLARD patron de FRANCE
RÉSURRECTION et autres cvils des réseaux RESURRECTION PATRIE et FRANCE ALGERIE de MARC FRIESS.
LES CAPITAINES SOUETRE..
DE MONTPEROUX ET DU CHEIKH BEN TEKOUK avec des commandos de l AIR
Déserteurs…
Après tant d’années passées et âgé de 83
Ans je reprends le combat pour mes frères
PIEDS NOIRS et nos AMIS
et deviens Conseiller dans notre ETAT PIEDS NOIRS ET NOS AMIS…
mon combat qui sera le DERNIER consistera avec nous tous à la défense de notre OCCIDENT…
aussi je vous demande de nous rejoindre a :
P.N.M.A.
Pieds Noirs du MONDE et nos AMIS.
Président Jacques VILLARD.
Fils de mon frère de
combat RENÉ.
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Mes Amis ensemble continuons notre COMBAT
REJOIGNEZ NOUS
NOUS AVONS BESOIN DE TOUT LE MONDE…
Prenez contact avec JACQUES
rapidement. Le temps pressé vous le Vite à et vous le savez bien.
Unissons nos FORCES !