Certains policiers ont montré un zèle peu commun lors des répressions menées contre les nationalistes, les révisionnistes ou les militants pro-vie et pro-famille ces derniers mois. D’autres avaient au contraire fait part de leur dégoût d’avoir à obéir à des politiciens corrompus et poussés par des intérêts contraires à ceux de la France et des Français. Depuis plusieurs mois, des syndicalistes, officiers et simples policiers ont fait part de leur sentiment de révolte, de lassitude, d’incompréhension face à un climat de violence jamais atteint en France, des ordres incompréhensibles et une trahison générale du gouvernement et surtout de la justice bananière de Christiane Taubira. Peu soutenus par leur hiérarchie, limités par les principes pervers de la République, les policiers voient leur action contre les innombrables crimes et délits commis par les étrangers être systématiquement sabotée par les juges rouges.
Après le lynchage manqué de deux patrouilles de policiers à Paris lors d’une manifestation interdite infestée de racailles samedi dernier, les faits divers se multiplient mettant en cause des colons afro-maghrébins attaquant des policiers.
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Dans le quartier occupé Saint-Exupéry à Bron près de Lyon mercredi, des policiers appelés pour un conflit de voisinage ont été violemment attaqués par une trentaine de colons. À l’origine, un homme déjà condamné à trente reprises et censé porter un bracelet électronique a utilisé comme bouclier humain un enfant de 14 mois avant de crier pour mobiliser les racailles de la cité. En quelques minutes, une trentaine de personnes ont encerclé, puis attaqué les policiers. Outre les caillassages, certains ont été jetés au sol et frappés jusqu’à perdre connaissance pour l’un des fonctionnaires. Seules trois racailles ont été arrêtées.
À Roubaix, l’une des villes les plus envahies de France, ce sont deux experts de la police scientifique qui ont été caillassés lundi. Ils intervenaient pour relever des empreintes après des déprédations commises contre une école quand cinq jeunes colons les ont insultés puis attaqués. L’un des assaillants a ensuite entrepris d’effacer les empreintes que les policiers, réfugiés dans leur voiture, étaient parvenus à repérer sur une porte.
À Garges-lès-Gonesse, trois policiers ont été attaqués par une trentaine d’occupants jeudi, lors d’une tentative d’interpellation. Les forces de l’ordre intervenaient pour arrêter le conducteur d’une moto qui leur avait foncé dessus, touchant l’un des agents de plein fouet. Les deux occupants de la moto avaient alors chuté et s’étaient enfuis à pied. Seul le conducteur a pu être arrêté ; c’est alors qu’une trentaine d’individus sont intervenus, certains frappant les policiers pour leur faire relâcher le motard. L’homme, « connu des services de police » devrait être mis en examen pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, rébellion, outrage, conduite sans permis et détention de stupéfiants. Des faits qui devraient lui valoir l’indulgence des juges de Christiane Taubira pour aboutir à une rapide remise en liberté pour cette chance pour la France.