Dans la nuit du 13 au 14 septembre 2012, un juif non sioniste, Jonathan Moadab, était la cible d’un attentat terroriste. Sa voiture avait été touchée par une bombe artisanale qui avait explosé sans cependant faire de dégât. Les terroristes juifs avaient laissé des inscriptions revendiquant cet attentat : « LDJ », initiales du groupe terroriste juif Ligue de défense juive, interdite dans plusieurs pays, notamment en Israël et aux États-Unis, mais bénéficiant dans la République française d’une grande impunité, et une étoile de David. Par cet acte, ils dénonçaient les positions sur l’entité sioniste et la politique israélienne de Jonathan Moadab, développées notamment au sein du Cercle des volontaires dont il est le cofondateur,.
Deux membres de la LDJ, confondus grâce aux images de vidéosurveillance et à des écoutes téléphoniques ont été jugés pour ces faits. Ils ont écopé de faibles peines, six et dix mois de prison ferme ; n’ayant pas été incarcérés à l’audience, il est probable qu’ils ne feront jamais un seul jour de prison. Deux mineurs doivent être jugés pour leur participation à l’attentat.
Ces peines, expressions du laxisme comme de la complicité des juges, auraient sans doute été encore plus faibles si la victime n’avait pas été elle-même juive. Dans de nombreuses affaires d’agressions bien plus graves commises par des criminels juifs contre des Français, la police et la justice d’occupation, aux ordres d’Israël, a régulièrement laissé s’enfuir des tueurs quand elle ne sabotait pas les enquêtes empêchant tout procès, comme ce fut le cas pour l’assassinat de François Duprat.
Les médiats du système qui avaient, lors de la répression contre la Manif pour tous, publié les noms de personnes mises hors de cause et blanchies par la justice ont pris soin à cette occasion de n’évoquer l’affaire qu’un mois après le verdict et en cachant les noms des terroristes.
Les extrémistes juifs ne se cachent pourtant et ont multiplié les provocations ces dernières années, s’affichant armes à la main, revendiquant des agressions, des menaces de mort, etc.
Ci-dessous : après leur participation à de graves incidents à Paris ces quinze derniers jours et malgré de multiples appels pour dissoudre ce groupuscule terroriste, certains de ses membres manifestaient dimanche à Marseille librement.