Après avoir été adoubé par le grand patronat au lendemain de sa nomination, Manuel Valls a tenté de convaincre dimanche les membres de son parti des bienfaits de sa politique.
Accueilli dans une ambiance très hostile au début de son discours, Manuel Valls a réussi à obtenir l’apaisement de la salle en instrumentalisant un fait divers qui s’était produit quelques heures plus tôt – l’effondrement d’un immeuble en Seine-Saint-Denis. Il a ensuite rendu un hommage « fraternel », au « camarade » Christian Bourquin, le président corrompu de la région Languedoc-Roussillon. Il en a profité pour se servir des obsèques d’un homme pour tenter de rallier les opposants en appelant à « l’union », oubliant que Christian Bourquin avait été exclu du PS en 2010…
Malgré sa démagogie et ses mensonges, Manuel Valls a échoué et à plusieurs reprises, les opposants ont opposé à ses appels à l’union des huées.
Le discours de Manuel Valls n’a rien apporté de nouveau. Mais les attaques contre la France, les appels à l’électorat étranger contre les Français ont été lancés plus ouvertement que jamais, les appels à l’invasion et donc au génocide des Blancs en France moins cachés que jamais ; ce sont aux seuls occupants des banlieues que le premier ministre s’est adressé et les seuls qu’il a évoqué, méprisant ouvertement les fils de France.
Il est revenu sur les promesses de François Hollande vers la jeunesse, en soulignant que seuls les étrangers étaient visés, et que les politiques du gouvernement avec l’explosion des naturalisations, étaient un calcul politique assumé de remplacer les électeurs du PS par les étrangers à papiers français. Cela explique pourquoi François Hollande, dans ses rares sorties publiques a systématiquement privilégié ces derniers mois, dans des théâtres de banlieue avec Djamel Debouzze comme à l’Institut du monde arabe avec Jack Lang, comme dans les jardins de l’Élysée , les étrangers et discriminé les enfants blancs.
« La France doit savoir aussi se retrouver, se retrouver pleinement. Notre pays est traversé par de nombreuses fractures […]. Oui il y a une crispation. Nous devons faire face à la montée le mot est faible, très préoccupante de l’intolérance, du racisme, des actes et paroles antisémites, anti-musulmans, antichrétiens, d’actes et de mots anti-homophobes [sic]. […] Comment aurions-nous pu penser il y a seulement quelques années que dans les rues de Paris venant d’une foule assez diverse, qui ne ressemblait pas forcément à la vieille extrême droite, on crie dans la capitale « Mort aux Juifs ».
Il y a donc là quelque chose qui ne va pas et qui doit, comme nous l’avons fait en prenant oui, tu le rappelais, prendre nos responsabilités, dissoudre bien sûr tous ces groupes qui prônent la haine de l’autre. Et nous continuerons à agir avec le ministre de l’Intérieur dans domaine là. Mais nous sentons bien que la réponse doit être beaucoup plus profonde, beaucoup plus large. […]
Il y a la radicalisation, qui pousse des Français, comme dans de nombreux pays européens, et notamment des jeunes, des mineurs, […] c’est évidemment une minorité, mais le phénomène est suffisamment significatif pour être redoutable [sic] : aller mener le djihad au-delà de nos frontières et à nourrir le projet de frapper leur pays en retour.
La radicalisation c’est un grand danger qui génère des peurs légitimes parmi nos concitoyens et que évidemment beaucoup exploitent. Le Français [sic] qui a commis l’attentat au musée juif de Bruxelles était un membre de l’État islamique dont nous connaissons les actes de barbarie en Syrie et en Irak. […]
Ce que je crois profondément […] c’est que beaucoup de Français ont perdu de vue ce qui les unit. […] Je veux que tous les enfants de France soient fiers de leur pays, s’y sentent à leur place pleinement. Comment accepter alors que des jeunes dans nos quartiers populaires – dont je suis l’élu – aillent chercher d’autres appartenances que celle de la République. Si nous assistons à cela c’est bien qu’il y a un problème. […] Et quand il y a un problème, il faut savoir ouvrir les yeux. Si certains tournent le dos à la République, font le choix du repli, c’est aussi parce que la République n’a pas su et ne sait plus tenir toutes ses promesses.
Ayons le courage de dire que trente ans de politique d’intégration […] destinées à des populations choisies pour leurs origines sociales [sic] ont fait fausse route. Moi je ne connais que les politiques de citoyenneté qui font que peu importe ses origines peu importe sa couleur de peau, qu’on ait des ancêtres en France ou qu’on y réside depuis peu, qu’on puisse être un citoyen à part entière avec les mêmes droits, avec les mêmes devoirs. […] S’il y a une reconquête […] c’est vers ces catégories populaires […], vers cette jeunesse. […] Cela passe par […] une lutte acharnée contre les discriminations, contre les discriminations, contre toutes les discriminations qui existent dans notre société. Et c’est l’essentiel […] cela passe aussi et surtout par le respect, la reconnaissance. […]
Nous devons pleinement renouer avec la promesse de François Hollande de faire en sorte plus que jamais la jeunesse soit la marque de son quinquennat et pour que la jeunesse nous entende nous devons être capable oui de lui faire passer ce message de respect et de reconnaissance. C’est donc à une immense mobilisation vers ces quartiers que je vous appelle. Nous devons adresser un message à cette jeunesse qui n’est pas un problème pour la France, mais un atout et une chance considérable.
Chers amis : arrêtons de stigmatiser, arrêtons de stigmatiser, dans le débat public des populations en les ramenant à leurs origines, à leur religion et je pense en particulier à l’islam. L’islam c’est la 2e religion de France. […] Mais les musulmans ont le droit d’être considéré pour ce qu’ils sont : des citoyens à part entière : c’est cela la République, c’est cela la laïcité. Oui : c’est cela la République, c’est cela la laïcité. Dans ce pays on a le droit de croire ou de ne pas croire. Et moi je le dis je l’ai souvent répété : c’est une chance pour la France ; mais c’est une chance pour l’islam dans le message qu’il adresse au monde, c’est une chance […] de pouvoir dire que dans le pays de 1789, cette religion et des valeurs universelles, celle religion peut s’épanouir pleinement dans la démocratie et dans l’égalité des hommes et des femmes.
La Laïcité c’est notre richesse, notre bien commun. […] Défendons-la, partout et tout le temps et surtout quand des pratiques religieuses ou des intégrismes veulent s’affranchir des lois de la République en niant l’égalité entre les femmes et les hommes ou en s’attaquant à l’école et la République. […] Nous avons fait le choix de privilégier les naturalisations, de revenir sur ce qui a été fait par le gouvernement précédent et de considérer que c’était une chance d’accueillir de nouveaux Français, et que c’était une chance pour ces citoyens du monde [sic] de devenir français. »
« La gauche, celle qui gouverne : c’est aller chercher l’espoir surtout quand il n’y en a plus »
« La culture, c’est l’ouverture aux autres »
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L’islam une chance pour la France mais au secours ils sont tous devenus fous !!!!!
On entend aussi de la part des maghrébins : la France c’est nous qui l’avons construite !!!!!!
Bientôt ils prendront le pouvoir !!!!!
En tout cas dans mon entourage nous sommes nombreux à vouloir quitter ce pays qui est le notre à nous Gaullois car bientôt nous vivrons un Liban 2 !!!!!