L’Assemblée définitivement antinationale a adopté mardi un texte visant à interdire aux terroristes islamistes la sortie du territoire français. Ce texte a pour objectif d’empêcher le départ vers la Syrie et l’Irak des islamistes les plus extrémistes présents en France et qui veulent aller y commettre des meurtres de masse. Grâce aux députés, ces malades prêts à égorger des innocents auront donc l’interdiction de quitter la France. Ils ne seront pas parqués dans des camps de travail, mais laissés en liberté, libres de préparer des attentats meurtriers contre les Français.
Cette mesure, présentée comme l’une des principales du projet de loi sur la lutte contre le terrorisme est une aide directe au terrorisme en France. La guerre y sera d’autant plus facile pour les islamistes qu’ils ne risquent ici rien d’autre que quelques années de réclusion dans des prisons plus agréables que la vie en liberté dans la Syrie dévastée. Au-delà du cas de ces islamistes, cette mesure renforce l’arbitraire de la dictature socialiste. Le texte prévoit en effet que :
« dès lors qu’il existe des raisons sérieuses [?] de croire qu’il projette des déplacements à l’étranger ayant pour objet la participation à des activités terroristes, des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité ou sur un théâtre d’opérations de groupements terroristes et dans des conditions susceptibles de le conduire à porter atteinte à la sécurité publique lors de son retour sur le territoire »
les autorités pourront retirer au suspect son passeport et sa carte d’identité. Les personnes qui tenteraient de partir tout de même risquent trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.
Hier, les députés ont adopté un autre texte concernant l’utilisation de l’internet. Adopté en urgence – avec une seule lecture, il définit l’utilisation de la toile comme une circonstance aggravante pour l’apologie du terrorisme. Une fois encore, il s’agit d’une attaque claire contre les libertés individuelles puisque des faits de provocation ou d’apologie d’actes de terrorisme ne seront désormais plus considérés comme un délit de presse.
L’utilisation d’internet est désormais considérée comme une circonstance aggravante dans de provocation « à des actes de terrorisme », les peines encourues étant de cinq ans de prison au lieu de trois en cas de provocations privées, et à sept ans en cas de propos publics, peines assorties de très lourdes amendes. Il en va de même pour l’apologie d’actes de terrorisme. Il est tout de même dommage que le vote de cette loi intervienne quelques jours après les « célébrations » des crimes terroristes commis par les armées américano-soviétiques en Europe entre 1940 et 1945…
Un autre article de cette loi, le neuvième, s’attaque également à la liberté d’expression. Les autorités pourront exiger, sous 24 heures, le retrait de contenu sur des sites internet et, passé ce délai, la censure totale du site.
La loi crée également un « délit d’entreprise terroriste individuelle », visant un individu, en relation avec une entreprise terroriste, et tentant « de détenir, de rechercher, de se procurer ou de fabriquer des objets ou des substances de nature à créer un danger pour autrui » et caractérisé par des repérages, une formation au maniement des armes, la fabrication d’engins explosifs ou l’apprentissage du pilotage, ou consultation habituelle de sites Internet incitant au terrorisme.