Pendant un an et cinq mois je me suis plaint auprès du commissariat de police de Vichy du harcèlement exercé par le juif Gregory Chelli, alias Ulcan, contre ma personne et contre mes proches, en particulier contre ma femme ainsi que contre l’un de mes fils et ses enfants. Mes plaintes n’ont eu aucun résultat. Ajoutant foi aux inventions du voyou juif, à deux reprises la Brigade anticriminalité (BAC) a fait irruption à mon domicile en pleine nuit comme si j’étais un dangereux criminel. Elle aurait pu se tromper une fois, mais deux fois ?
Après tout, Le Monde, journal oblique, ne m’a-t-il pas, depuis quarante ans, décrit comme un monstre ? À ses yeux je fais partie des « fortes têtes du mensonge » et des « gangsters de l’histoire » (5-6 juillet 1987, p. 31) ? Toute la grande presse et tous les médias officiels lui ont emboîté le pas. J’ai été accablé de tant de procès que je ne saurais en dire le nombre. Et j’ai subi dix agressions physiques dont pas un seul auteur n’a été arrêté. Quand, en de rares occasions, j’ai appelé à mon secours soit les autorités universitaires, soit la force publique (en particulier les gardes du Palais de justice de Paris), je me suis vu expressément signifier qu’il n’était pas question pour elles de me prêter assistance alors que j’étais en danger de mort. En revanche, elles ont multiplié les égards à l’endroit des agresseurs juifs de l’Israélien Moshe Cohen avec lesquels elles collaboraient ouvertement.
Et puis voilà que soudain G. Chelli s’en est pris à des sites ou à des journaux certes transis de judéophilie mais qui estimaient qu’en Palestine les sionistes abusaient de leur force et, ce faisant, portaient tort à la réputation du peuple élu. Des antirévisionnistes ont alors goûté – un peu, très peu, dérisoirement peu – au traitement spécial jusqu’ici réservé à ces révisionnistes qui, paraît-il, assassinent les morts une seconde fois et qui, par le fait de contester l’existence des « chambres à gaz nazies », se permettent « des affirmations contraires aux bonnes mœurs et à l’ordre moral » (une magistrate française, dame Baluze-Frachet, dans un jugement rendu à Lyon le 27 juin 1979).
Grégory Chelli, s’en est pris au journaliste Benoît Le Corre et, sur sa lancée, au père de ce dernier qui, du coup, a été pris d’une crise cardiaque et serait, aux dernières nouvelles, maintenu en coma artificiel. À son tour, la mère d’un autre journaliste, Aymeric Caron, aurait eu, elle aussi, une attaque. L’infarctus d’un Faurisson et les nombreuses séquelles de ses blessures doivent être passées sous silence mais tel ne saurait être le cas des « bonnes personnes ».
Il est possible qu’en conséquence la police française s’occupe enfin de Grégory Chelli. Il est probable qu’elle le fera avec d’infinies mitaines. Il ne s’agit pas de contrarier une « communauté » (sic) dont le premier souci est de ne porter atteinte ni directement ni indirectement à l’un des plus carabinés mensonges de toute l’histoire des hommes : celui du prétendu génocide juif (remarquable par le nombre des miraculés qu’il a produits), des prétendues chambres à gaz (magiques par le fait qu’on n’en a vu aucune, fût-ce à l’état de ruines) et des six millions de victimes (chiffre d’autant moins soupçonnable qu’on le trouvait déjà dans la presse juive américaine bien avant 1900 sous la forme : « En ce moment six millions de nos frères sont en train de mourir en Europe. Aboulez vos dollars. Nous transmettrons »).
Fric, mensonge and C° ! Violences, guerres et croisades. Et puis vengeance à perpétuité.
Qu’on n’aille pas compter sur moi pour me laisser intimider. Et cela d’autant plus que le Grand Mensonge de l’Holocauste, dans ces derniers temps, fait eau de toutes parts.
Robert Faurisson