Mercredi soir à Hellemmes, six racailles, certaines déjà « très défavorablement connues des services de police », parcourent la ville en quête d’une proie. Leur choix s’arrête sur une maison de la rue de la Guinguette ; la présence d’une caméra, installée par le propriétaire des lieux, n’arrête pas les délinquants. Ils se dissimulent le visage avant de passer à l’action. Les six racailles se mettent en position et l’attaque commence. L’un des individus, puis deux, puis quatre sonnent, puis tentent d’ouvrir la porte de force pour pénétrer à l’intérieur de la maison.
Le propriétaire a le réflexe de refermer la porte et parvient à résister à la pression des racailles. Celles-ci comprennent qu’elles ne pourront cette fois mener leur crime à terme et s’enfuient. Prévenus, les policiers arrêtent deux des racailles près de là. Leurs vêtements et le témoignage de la victime permettent de les identifier sans hésitation. Ils sont bien coupables d’avoir attaqué le propriétaire des lieux, pour lui voler les clés de ses deux voitures, une Citroën DS3 et une Audi Q7.
« J’avais alors cinq policiers chez moi. Tous ont dit “c’est eux”, sans hésiter. C’était la même corpulence, les mêmes vêtements, avec des lignes blanches caractéristiques. Il n’y avait aucun doute ! Mais après, les deux ont nié, et j’ai appris qu’ils n’étaient poursuivis pour rien. Alors que l’un d’eux est déjà très connu ! »
Le lendemain, la justice antifrançaise de Christiane Taubira a en effet fait libérer les deux criminels plus que présumés, âgés de 17 ans – ce qui permet aux médiats du système de parler d’eux comme de « garçons » (sic). Selon les agents de leur République, les faits d’agression et de tentative de vol en réunion ne sont pas caractérisés (sic).
[youtube]http://youtu.be/B4MctkKC_lU[/youtube]La victime – tout autant de la République que des criminels qu’elle a importés – a diffusé la vidéo de l’attaque qui ne laisse aucun doute sur la réalité des faits.
« Qu’est-ce j’aurais dû faire ? Leur ouvrir la porte pour qu’ils m’envoient moi et ma famille à l’hôpital ? Leur intention de nuire est visible sur la vidéo. Ce classement, c’est un blanc-seing pour recommencer. Je ne demande pas la prison, mais une sanction ! »
a précisé la victime, qui n’a pas encore bien compris la nuisance du système laissant les Français seuls face aux criminels.
Le quartier a commencé à s’organiser : déjà 56 familles ont adhéré aux « Voisins vigilants » depuis février avec la constitution d’une association. Depuis plusieurs années, les criminels ont fait de ce quartier paisible un terrain de chasse privilégié, avec la complicité active des gouvernements successifs. Même La Voix du Nord, qui s’émeut du sort des « garçons » reconnaît que « les cambriolages, les vols et les incendies de voitures sont nombreux depuis quelques années ».
« À la suite des multiples méfaits que notre lotissement connaît depuis plusieurs années – qui ont fait l’objet d’un dossier transmis au maire en novembre 2012 – et vu que rien n’a vraiment bougé depuis, nous nous sommes pris en main afin d’assurer en partie notre protection. Avant, on faisait déjà attention à nos voisins, mais seulement ceux qui étaient proches. Maintenant, on est une communauté, on a échangé nos numéros de téléphone et on peut alerter dès que l’on voit quelque chose de suspect dans les rues voisines »
avertit la présidente des Voisins vigilants de la Guinguette Martine Picavet.