Selon l’institut libéraliste étasunien Pew Research Center’s Global Attitudes Project (Projet sur les attitudes mondiales du Centre de recherche Pew)1, la France compte 7 440 000 étrangers sur son sol nés à l’étranger et arrivés dans notre pays entre 1990 et 2013. Ce chiffre n’inclut donc ni les descendants de ces étrangers, ni les personnes arrivées avant 1990, ce qui laisse entrevoir la gravité du drame de l’invasion. Selon ces données, qui ne représentent qu’une part de l’invasion, personnes étrangères nées à l’étranger et arrivées entre 1990 et 2013 représentent 11,3 % de la population totale.
Le premier pourvoyeur d’étrangers en France est sans surprise le Maghreb, d’où est originaire plus du tiers de ces étrangers (2,8 millions). Le reste de l’Afrique a fourni un contingent d’environ 900 000 personnes et l’Asie 500 000. Les ressortissants de Turquie et des pays du Caucase sont évalués dans cette enquête à 300 000 personnes. Les Caribéens formeraient un groupe d’environ 120 000 personnes, comme les personnes arrivées du Proche-Orient et de la péninsule arabique.
Il s’agit ici de l’hypothèse basse : le très antifrançais INSÉÉ, habitué à truquer les chiffres de l’« immigration » pour les minimiser, établissait en 2008 le nombre d’« immigrés » maghrébins à quatre millions. Selon le Pew Research Center, la France est le pays qui accueille, en chiffre absolu comme en pourcentage, le plus d’étrangers originaires d’Afrique.
L’absence de statistiques ethniques ne permet pas de se rendre véritablement compte de la submersion démographique : plusieurs communautés étrangères, comme les Gitans et les Juifs, n’apparaissent ainsi pas dans ces statistiques. Surtout l’arrivée massive des Afro-Maghrébins en France a commencé bien avant 1990, date à laquelle la situation était déjà catastrophique.
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1 Ce laboratoire d’idée indépendant est financé par la Pew Charitable Trusts, fondation qui dispose de cinq milliards d’actifs ; c’est le troisième plus important organisme de ce type aux États-Unis.
L’INSEE, institut politiquement non indépendant puisque placé sous la tutelle du ministère des Finances, tronque les chiffres, c’est une évidence.
Michèle Tribalat, directrice de recherche à l’INED a amplement tiré la sonnette d’alarme quant à l’occupation de plus en plus remarquable de notre territoire par des vagues d’immigration incessantes venues d’Afrique (Voy. Les yeux grands fermés, Editions Denoël, 2010).
Je ne saurais faire sans rappeler une déclaration d’Ariel Sharon (faite en juin 2004 si j’ai bonne mémoire), dans laquelle il indiquait que la présence de 6,5 millions de Maghrébins sur le territoire français constituait un terreau favorable à l’antisémitisme (comprendre anti-judaïsme). Israël est parfaitement informée sur les transferts de populations africaines en France, et probablement aussi en Europe.
Quant à notre cher Manuel Valls, goy judéophile de service, il n’a pas omis de nous faire connaître qu’il entendait maintenir le cap des 200 000 entrées annuelles.
La population nord-africaine (née en France ou non) compterait désormais 10 millions de membres, mais c’est l’hypothèse basse. Cela semble recouper les données de l’Institut américain mentionnées ci-dessus.
Pourquoi les gouvernements qui se succèdent depuis l’ère Chirac déploient-ils autant d’énergie à favoriser cette immigration de peuplement dont avait déjà parlé monsieur Le Pen ? Permettre au grand patronat de recruter de la main d’œuvre à bas coût et faire du dumping social ? C’était vrai sous la présidence de Pompidou (il l’avait avoué d’ailleurs)… Mais le prétexte du recours à la main d’œuvre étrangère ne tient plus depuis au moins 20 ans, puisque la France connaît un marasme économique sans précédent et que le chômage vient d’atteindre des records inavouables (9 millions de chômeurs, sans compter les incarcérés, les « clochards », les chômeurs disparus des listes de demandeurs d’emploi à la faveur d’un CPE).
Alors ? Quel est l’effet recherché ?… La dislocation sociétale liée à une forte immigration extra-européenne engendrera irrémédiablement la dissolution de votre nation, chers compatriotes. Au risque de me répéter, ces populations immigrées viennent occuper votre pays, non par la force ou par la fraude, mais tout simplement parce qu’elles servent sans en avoir seulement conscience, des intérêts qui ne sont pas ceux de la nation française. Après avoir anéanti les royautés d’Europe et cogné sur l’Eglise, une organisation dont je tairai le nom et qui a su s’infiltrer dans tous les rouages de l’Etat, s’affaire désormais à porter un coup fatal à l’esprit des nations. Eh bien c’est à ce gens-là qu’il faut vous en prendre. Ainsi qu’à ceux qui font entrer sur notre sol ces populations pour les retourner contre nous.
Notez enfin que le gouvernement allemand ne serait pas fâché de voir une France économiquement broyée et incapable de se relever !
Cordialement, EGBD.