Originaire du Surinam, il viole une étudiante à Périgueux
Marlon Griffith, un « Périgourdin » de papier de 32 ans, est accusé du viol d’une étudiante, interne au lycée Bertran-de-Born à Périgueux.
Le signalement des faits intervient le 16 janvier 2012, alors que la jeune femme vient d’être admise au centre hospitalier de Périgueux après s’être confiée à l’infirmière scolaire de son établissement. Selon ses déclarations, les faits remontent à la nuit du 14 au 15 janvier.
Ce soir-là, l’étudiante qui a passé le week-end chez une amie, se rend dans un bar avec un jeune homme. Sur place, elle fait la connaissance de deux garçons parmi lesquels figure Marlon Griffith, originaire du Surinam. Elle danse et consomme de l’alcool, puis finit par se rendre au Scoop, une boîte de nuit avec ceux qu’elle vient de rencontrer.
Vers 3 h 30, Marlon Griffith lui propose de la ramener. Sur la route, il se serait arrêté dans un chemin pour uriner et c’est à ce moment qu’il l’aurait violée.
Père d’un enfant, il a d’abord été placé sous le statut de témoin assisté, avant d’être mis en examen par la cour d’appel de Bordeaux. Son casier porte deux mentions. En 2012, il a été condamné pour exhibition sexuelle par le tribunal de Périgueux. En 2014, la cour d’assises des mineurs de la Guyane l’a aussi condamné à six ans d’emprisonnement pour des faits de viol en réunion.
Un envahisseur Irakien poignarde un ado Syrien à Calais
- Entre 01h00 et 05h00 lundi, des envahisseurs ont à nouveau tenté de bloquer la circulation sur la rocade portuaire en plaçant des « morceaux de bois« , « des branchages » et même des « caddies de supermarché » sur la chaussée. Quelques poids lourds les ont percutés, sans faire de blessés.
- Dans la même nuit, les secours sont également intervenus sur une route menant au bidonville pour une agression d’un envahisseur mineur syrien blessé par couteau. « Un individu de nationalité irakienne a été immédiatement interpellé par les CRS et placé en garde à vue« , a affirmé la préfecture. La victime a été transportée au centre hospitalier de Calais et son pronostic vital n’est pas engagé.
- Un envahisseurs pakistanais de 24 ans est mort dans la nuit après avoir été percuté par une voiture sur la rocade portuaire.
Souleymane Karamoko tue et brule le corps d’un élu vendéen
lundi 9 mai a débuté à Nantes le procès en assises de Souleymane Karamoko. Il y a 2 ans, ce jeune ivoirien a tué et tenté de faire disparaître le corps de Roland Touzeau, un élu vendéen, en le brûlant dans le coffre de sa voiture.
L’enquête mène les policiers sur une piste inattendue. Ils arrêtent Souleymane Karamoko. Ce jeune ivoirien de 20 ans avoue le meurtre. Il a connu la victime sur un site de rencontres et leur liaison dure depuis deux mois, ils se sont vus plusieurs fois à son domicile nantais.
En manque d’argent, Souleymane Karamoko fait des achats sur internet avec la carte bleue de Roland Touzeau puis il publie une annonce pour vendre l’Audi. Mais comprenant que Roland Touzeau refuserait de vendre sa berline, il prend la décision de le tuer.
Accusé d’assassinat et d’escroquerie, Souleymane Karamoko encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Apologie du terrorisme et une balle contenant versets du Coran
Une femme, âgée de 35 ans, a été arrêtée mercredi dernier à Montpellier, après plusieurs semaines d’investigation policière. Le 18 mars dernier, à la Poste de Port-Marianne, cette dernière aurait insulté une guichetière, qui refusait de lui délivrer un mandat cash, car elle n’avait pas de pièce d’identité à présenter.
La cliente est allée plus loin, en faisant l’apologie des récents attentats terroristes, rapporte le quotidien régional, et en menaçant de « faire pareil ici ». Elle aurait exhibé une munition d’arme de guerre, en s’exclamant qu’elle en possédait d’autres à son domicile, avant de quitter l’établissement.
C’est en reliant cette affaire à celle d’une non-présentation de mineur délinquant à une audition du tribunal que la police a mis la main sur cette femme. La perquisition à son domicile n’a permis de découvrir aucune arme ni munition.
Quant à la balle exhibée au guichet de la Poste, elle a expliqué qu’elle était factice, qu’elle contenait des versets du Coran, lui servait de grigri, et qu’elle s’en était débarrassée.
Réclusion à perpétuité pour Z.Menaouer, le meurtrier de Lille
Jeudi dernier, la cour criminelle d’Oran a condamné Z. Menaouer à la prison à perpétuité pour le meurtre de R. Taychi, patron d’une station de lavage auto située à Lomme, commune lilloise du nord de la France. Bien qu’il ait nié tous les faits qui lui étaient reprochés, le tribunal a jugé que les éléments de preuve contenus dans le dossier d’accusation prouvaient la culpabilité du prévenu dans l’homicide volontaire mais aussi dans l’usage de faux et l’usurpation d’identité qui lui ont permis de fuir en Algérie.
L’affaire remonte au début d’après-midi du mardi 3 septembre 2013, lorsque deux hommes cagoulés entrent dans la station de lavage de Lomme, abattent le patron, un ressortissant marocain de 42 ans, et quittent rapidement les lieux. La police judiciaire de Lille qui est chargée de l’enquête privilégie très vite la thèse d’un règlement de comptes : R. Taychi était connu pour ses accointances avec le milieu du trafic de drogue et il avait déjà purgé une peine de prison à la fin des années 2000. Explications de l’avocat de la famille, tel que rapportée par les médias français : des trafiquants se seraient fait voler de la drogue chez une “nourrice”. Quelqu’un aurait accusé et violemment agressé le jeune frère de la victime. Taychi aurait appelé les trafiquants pour les menacer. Deux jours plus tard, ils débarquent dans son entreprise et le tuent… Quelques heures après le drame, deux hommes, des frères, sont arrêtés, mis en examen et écroués par le tribunal de Lille : ils sont suspectés d’avoir trempé dans le crime. Mais le tireur présumé, lui, désormais identifié comme étant Z. Menaouer, ressortissant algérien, est introuvable. Un mandat d’arrêt international est lancé et le 16 septembre, bien qu’il se fût dissimulé derrière l’identité de son jeune frère, il est arrêté au port d’Oran, à sa descente du bateau. Jeudi 5 mai 2016, Menaouer nie tous les faits qui lui sont reprochés : il ne connaît pas Taychi et n’a pas pris part au meurtre dont il est accusé.
Les faits, pourtant, sont têtus et les preuves accablantes. Notamment une cagoule que la présidente exhibe : elle a été retrouvée dans la voiture qui a quitté la station de lavage au moment de l’homicide et elle porte des traces de salive appartenant à l’accusé. L’analyse ADN ne ment pas et les chargés du dossier français ont fait parvenir à la justice algérienne les éléments à charge. Outre l’analyse scientifique que Menaouer tentera de mettre en doute, et les dépositions de témoins le situant sur les lieux du crime, l’épouse de la victime viendra témoigner des liens qui existaient entre Taychi et l’accusé : oui, ils se connaissaient, elle avait déjà eu l’occasion de voir Menaouer devant la maison de ses beaux-parents.
Dans l’attente du procès de ses deux présumés complices qui, eux, seront jugés en France, Z. Menaouer a été reconnu coupable et condamné à la réclusion à perpétuité.
Nouvelle mosquée à Brignais… « le bien vivre ensemble passe à la vitesse supérieure » !
Une «Charte d’accompagnement de la rénovation des institutions représentatives du culte musulman dans le Rhône» a été adoptée dans son principe le 15 décembre 2015 dans les salons de la Préfecture. Elaborée en collaboration avec les mosquées de la région, elle a pour but d’instaurer davantage de « rigueur et transparence » pour lutter contre « les obscurantismes salafistes » selon le Préfet du Rhône-Préfet de la Région Auvergne Rhône-Alpes.
Le 27 avril dernier, Brignais a ainsi été la première commune à signer localement cette charte entre les quatre instances : l’Etat, la mairie, le CRCM et l’association qui gère le lieu de culte. La première proposition concrète qui en découle, et à la charge de la mairie, est le soutien de la municipalité pour la création d’une nouvelle mosquée. Quant aux engagements pris en retour par les imams et les recteurs de mosquées … ils sont inexistants !