Chronique de l’échec du « vivre-ensemble » du 14 novembre 2016
Soufiane El Ghari condamné à 12 ans de réclusion pour viol, vol et agression
La cour d’assises de la Haute-Garonne a condamné, Soufiane El Ghari, 23 ans, à 12 ans de réclusion criminelle et à une interdiction définitive du territoire français, à l’issue de deux jours de procès à huis clos. Depuis vendredi, il était jugé pour le viol d’une étudiante, dans le quartier Saint-Michel, à Toulouse, dans la nuit du 25 au 26 mars 2014.Soufiane El Ghari était également poursuivi pour un vol avec arme, agression commise moins d’une heure avant les faits criminels qui lui étaient reprochés. Le 25 mars 2014, une première étudiante avait été agressée…
Un Gambien squatte une maison illégalement, il devra quitter le pays
Il devra quitter le territoire français à sa sortie de prison. Un Gambien, âgé de 35 ans, a écopé de quatre mois de prison ferme ce mardi au tribunal de Meaux, où il a été jugé en comparution immédiate.
Cette fin de semaine derniere, lui et un autre homme ont été expulsés d’une maison qu’ils squattaient à Coulommiers, avenue de Strasbourg. Lorsqu’ils sont venus récupérer leurs effets personnels dans les locaux de la police municipale, lundi matin, les deux individus, sous prétexte que des affaires manquaient, ont refusé de quitter les lieux.
Appelés en renfort, des policiers du commissariat ont procédé à leur contrôle. Il s’est avéré que l’un des deux squatteurs faisait l’objet d’une fiche et se trouvait en situation irrégulière. Placé en garde à vue dans la foulée, il était en état de récidive à la suite d’une première interdiction du territoire.
Un vendeur Indien de tour (((Bonickhausen))) à la sauvette déjà été condamné deux fois
Le vendeur de tour Bonickhausen -dite tour Eiffel- à la sauvette avait déjà été condamné et avait interdiction de paraître sur l’esplanade de Chessy pendant trois ans : le tribunal correctionnel de Meaux le lui avait clairement signifié lors d’une audience, en juillet dernier. Et pourtant, il s’est retrouvé devant les juges, ce mercredi, pour la même infraction et pour – forcément – violation d’une interdiction de paraître dans un lieu. Via une interprète en langue indienne, cet homme de 33 ans a expliqué avoir compris, lors de la dernière audience, que l’interdiction portait sur une durée de trois mois. « Son interprète, en juillet, était un Afghan. On peut laisser à mon client le bénéfice du doute », a plaidé son avocate Me Fabienne Fernandes. Le procureur adjoint Emmanuel Dupic a requis trois mois de prison ferme, ainsi que la révocation d’un mois de prison avec sursis, prononcée en mai dernier… pour la même infraction ! Le parquet a également demandé l’incarcération immédiate du prévenu. Les juges ont condamné ce dernier à 60 jours-amendes à 5 €, soit 300 €.
Bachir Benyoucef, viols et violences sur sa compagne : 7 ans de prison ferme
Au terme de 3 h 30 de délibération, les six jurés de la cour d’assises de Tarn-et-Garonne ont condamné, cette semaine, Bachir Benyoucef à sept de réclusion criminelle. Accusé de violences et de viols sur son épouse à Moissac avec la circonstance aggravante que celle-ci était enceinte, le prévenu a nié jusqu’à la dernière minute de son procès l’intégralité des faits. Venu les mains dans les poches, sans un sac, ni même d’affaires de rechange, Bachir Benyoucef qui comparaissait libre depuis lundi pour son procès devant la cour d’assises, n’aura pas crû jusqu’à l’énoncé du verdict, qu’il partirait en mandat de dépôt !
Rachid Aamouch, 5 braquages en 5 jours, 3 ans de prison ferme à Toulouse
Trois ans de prison ferme pour le braqueur de la Toussaint
Le braqueur avait été filmé par les caméras de vidéoprotection d’une supérette alors qu’il menaçait une employée avec un couteau.
Rachid Aamouch, 35 ans, a été condamné, lundi, à trois ans de prison ferme en comparution immédiate. En cinq jours il avait braqué au couteau cinq commerces. Une pharmacie, trois supérettes et une station-service… En cinq jours, au cours du week-end de la Toussaint, Rachid Aamouch, 35 ans, a multiplié les braquages au couteau dans le secteur de la Patte d’Oie et des Arènes. Plongé dans la spirale de la drogue, ce père de famille a sombré dans une délinquance «violente et choquante».