Conséquences de l’immigration-invasion-colonisation : 51 Turcs à papiers français seront les candidats d’un parti pro-Erdogan aux prochaines élections législatives
Dans la foulée du référendum donnant de larges pouvoirs au président islamiste turc Recep Tayyip Erdogan à l’intérieur, le gouvernement turc mène en parallèle à l’extérieur une tentative de structurer et contrôler les masses turcophones.
Rappelons qu’Erdogan avait récemment menacé l’Europe de soulever contre elle « le monde musulman » ainsi que les « étrangers » (les Turcs à papiers français, allemands, ou belges… établis sur le continent), ajoutant « qu’aucun Européen ne pourrait plus marcher en sécurité, nulle part dans le monde ». Mais il n’en est pas resté au stade des menaces. Dans plusieurs pays européens des partis islamistes pilotés depuis Ankara voient le jour et présentent des candidats aux élections. Ainsi en France, le « Parti Égalité Justice » présentera plus d’une cinquantaine de candidats aux élections législatives de juin prochain !
L’agence de presse de l’État Turc s’en fait l’écho :
« Crée en 2015, le « Parti Égalité Justice » (PEJ), composé essentiellement de jeunes issus de l’immigration, se lancera pour la première fois aux Législatives françaises de juin. Sakir Colak, président de la formation politique française « Parti Égalité Justice » (PEJ), estime qu’il était « inévitable » de créer un nouveau parti politique pour répondre aux attentes des jeunes issus de l’immigration. C’est d’autant plus nécessaire que le « système politique actuel n’accepte plus la différence », a poursuivi le président du PEJ. »
Le nom du parti rappelle naturellement celui qui est au pouvoir en Turquie, la formation islamiste émanation à peine voilée des Frères Musulmans : le « Parti Justice et Développement ». Malgré les dénégations, le « Parti Égalité Justice » est bien une structure d’extraction gouvernementale turque via les associations ethniques historiquement implantées dans diverses villes françaises. Et le but du gouvernement turc est bien évidemment d’utiliser l’immigration turcophone comme un levier contre l’Europe.
L’agence de presse turque poursuit :
« Alors que les partis des extrêmes prennent de plus en plus de place dans le paysage politique, le PEJ est l’un des nouveaux partis conduits par des jeunes issus de l’immigration qui tentent de se frayer un chemin dans la vie politique en Europe à l’instar de la formation « Denk » aux Pays-Bas. Forts du sentiment de rejet ressenti au sein des partis, dits classiques, certains jeunes issus de l’immigration espèrent changer les préjugés et autres stéréotypes en devenant des acteurs actifs de la vie politique. »
L’agence de presse cite l’exemple des Pays-Bas (où « DENK » a participé aux législatives et obtenu 3 élus) mais oublie évidemment l’exemple bulgare où la formation commanditée par la Turquie erdoganienne a subit un cinglant échec aux élections du 26 mars dernier : le mouvement « DOST » n’a récolté que 2,86 % des suffrages et aucun élu grâce aux mises en gardes et à l’action des mouvements nationalistes et de droite nationale.
Quant à la ligne politique, elle s’inscrit ouvertement dans la poursuite de la lutte antiraciste, poison intellectuel, politique et moral destiné à désarmer sans combat les résistances autochtones à l’invasion extra-européenne et à la colonisation rampante par les mœurs étrangères :
« Ce que le PEJ propose c’est un changement radical de politique pour permettre à notre société de retrouver le vivre-ensemble. Il faut arrêter de diviser la société pour des raisons électoralistes (…) Rappelons qu’aujourd’hui, des centaines, voire des milliers de jeunes issus de l’immigration, sont membres aussi bien du PEJ que d’autres partis politiques. Ce n’est pas en les marginalisant, ou en les stigmatisant, qu’on fera avancer les choses. Il faut passer au delà des origines et parler du progrès social, de la lutte contre les inégalités et les injustices. »
Cette formation entame ainsi l’infiltration des enclaves turco-musulmanes en France notamment en Alsace :
« Le PEJ a été crée en 2015 par des jeunes citoyens essentiellement issus de l’immigration. Le PEJ a, officiellement, lancé le week-end écoulé, sa campagne électorale pour les prochaines législatives (juin 2017) dans la ville de Strasbourg (Est), lors d’une réunion de formation des cadres du parti. Le PEJ compte présenter 51 candidats aux prochaines législatives en juin prochain, essentiellement dans les grandes villes. »