En un an, les régularisations de clandestins explosent : +51 %
L’année 2013 a connu une très forte augmentation du nombre de régularisations de clandestins. En 2012, 23 294 colons avaient obtenu des titres de séjour après avoir violé les frontières et les lois françaises ; en 2013, ce sont 35 204 colons que Manuel Valls a récompensés pour leur mépris de nos lois et leur haine de notre pays. Ce sont, en grande majorité, des Afro-Maghrébins que le gouvernement d’occupation a installé sur le territoire français au titre de « l’admission exceptionnelle [sic] au séjour ».
À ces chiffres accablants s’ajoutent 6 000 clandestins régularisés pour cause de « maladie », et 3 000 comme « parents d’un enfant français [sic] », ce qui représente un total de 45 000 clandestins régularisés en une seule année. Alors qu’au motif de la « crise » l’oligarchie rackette les Français pour renflouer les banques, et nous impose mille restrictions, dérembourse les médicaments ou ferme les maternités, elle nous impose pourtant la présence de centaines de milliers de clandestins improductifs, non-qualifiés et souvent mû par un désir de « revanche » qui se transforme en haine de la France et des Blancs.
+7,2 % « demandeurs d’asile » en un an, +104 % en 6 ans
Dans un contexte général de submersion démographique en Europe (environ 20 000 clandestins ont été ramenés en Europe par la marine italienne depuis janvier alors que les attaques contre les enclaves espagnoles d’Afrique du Nord se multiplient et deviennent de plus en plus violentes), l’invasion se poursuit aussi grâce à l’utilisation frauduleuse des demandes d’asile. En un an, elles ont augmenté de 7,2 % en France.
Ces demandes ouvrent aux envahisseurs de nombreux droits (logement, sécurité sociale gratuite, scolarisation des enfants, etc.). En six ans, le constat est encore plus dramatique : les demandes d’asile ont plus que doublé, passant de 29 387 en 2007 à 65 894 personnes en 2013. En Europe (hors Russie), seule l’Allemagne a accueilli plus d’envahisseurs ces dernières années.
De l’aveu même du gouvernement, la grande majorité ne satisferont pas aux critères de l’asile et s’inscrivent de façon abusive, profitant, dans ce cas encore, du système. Les examens des demandes prennent en moyenne, recours compris, 592 jours (chiffre de 2012), plus d’un an et sept mois. Les étrangers bénéficient durant ce temps-là de nombreux avantages, occupant de plus parfois des emplois, souvent au noir, et ainsi coûtant triplement à la société française.
Quelle que soit l’issue de leur demande, les colons restent en France ; pour ceux dont la demande est refusée, il n’y a généralement pas de reconduite à la frontière. Chiffré à 670 millions d’euros en 2012 (ce qui ne couvre qu’une partie des coûts réels et pas les coûts inchiffrables comme la criminalité du demandeur et de ses descendants, les atteintes à la culture française, au sang européen, l’introduction de maladies, etc.), le coût devrait être pour 2013 beaucoup plus élevé et approcher sinon dépasser le milliard d’euros.
Liste non exhaustive des « droits » des demandeurs d’asile :
-CADA. Le demandeur d’asile et sa famille sont logés dans l’un des 300 Centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) ; après l’entrée dans un CADA, l’étranger peut y rester jusqu’à l’épuisement de tous les recours, quasiment deux ans. En cas d’acceptation de son dossier, il pourra y demeurer trois mois supplémentaires. L’entrée en CADA ouvre automatiquement droit à des aides sociales, administratives, mais également financière pour l’achat de nourriture (AMS, voir ci-dessous). À défaut une place d’hébergement de substitution est proposée, par exemple en hôtel pour des coûts exorbitants pour le contribuable français.
-Allocation mensuelle de subsistance (AMS). Versée par le CADA, son montant est compris entre 91 et 718 € par mois, selon les prestations du CADA et la composition familiale des demandeurs. A minima, cela a représenté pour les Français une dépense de 71 956 248 euros, a maxima 567 742 704 euros.
-Allocation temporaire d’attente (ATA). Après inscription auprès de Pôle emploi, chaque demandeur d’asile obtient cette aide de 11,34 € par jour (soit, pour 65 894 demandeurs d’emplois en 2013 et pour l’ensemble de l’année, un coût pour les Français de 272 741 855 euros).
–Emploi. Selon les dispositions départementales et la situation du demandeur d’asile, il pourra accéder au marché de l’emploi, malgré cinq millions de chômeurs en France.
–Sécurité sociale. Les demandeurs d’asile ont droit automatiquement à la CMU de base et la complémentaire, couvrant tous les frais de santé, le tout totalement financé par le contribuable. Ceux qui perçoivent l’ATA sont intégrés directement au régime général de la sécurité sociale. Les clandestins dont la procédure de demandeur d’emploi n’a pas encore été validée bénéficient de la CMU, et ainsi de remboursements à 100 % des soins maladie et maternité.
Cartes de séjour : +14,2 % en 6 ans
En six ans, le nombre de titulaires de cartes de séjour en France métropolitaine a augmenté de 14,2 % ; ils étaient en 2013 plus de 2,6 millions, dont plus de 20 % pour les seuls Algériens bénéficiant d’une carte spécifique. En 2013, 206 330 étrangers ont obtenu un visa.
Les titres distribués pour motifs économiques représentent moins de 5 % du total, 106 183 pour 2 606 724. Au contraire les titres pour raisons familiales – c’est-à-dire pour profiter des allocations du même nom – représentent près de 40 % (1 018 472 personnes).
(Note : les cartes de résidents sont accessibles à divers types de personnes : enfant étranger d’un ressortissant français, ascendant d’un ressortissant français et de son conjoint qui sont à sa charge, étranger titulaire d’une rente d’accident de travail ou de maladie professionnelle versée par un organisme français ou les héritiers, étranger ayant le statut de réfugié notamment).
En 19 ans, 2 500 000 étrangers ont obtenu des papiers « français »
Enfin, il y a eu 1,3 % d’étrangers de plus qu’en 2012 à devenir Français de papiers en 2013 : 97 318 contre 96 088. Il est à noter que dans ce domaine, le gouvernement Hollande fait mieux que celui de Sárközy : sous le quinquennat des libéraux de l’UMP, il y a eu chaque année en moyenne plus de 130 000 néo-Français. Depuis 2007, le nombre de nouveaux Français de papiers atteint le chiffre hallucinant de 856 297, donnant tout son sens à la notion de migration de peuplement. C’est plus que la totalité de la population de la région du Limousin, plus que la population de Marseille, la 2e ville de France.
En 19 ans, ce sont plus de 2,5 millions d’étrangers auxquels la République a offert des papiers. C’est l’équivalent de la population de la région Languedoc-Roussillon, la 9e région la plus peuplée de France, ou de l’ensemble de la population réunie des régions Franche-Comté et Champagne-Ardennes. Cela représente 300 000 personnes de plus que la totalité de la ville de Paris, plus de 5 fois la population de Lyon.
Invitation badine au métissage, en 1928. Extrait : « Le marron clair n’est-il pas un heureux intermédiaire qui équivaut à l’espéranto dans les relations internationales ? »
« Sourires.
Je voudrais essayer de convaincre Mme Lucie Delarue-Mardrus qui exhale, en une chronique très parisienne, quelques éloquentes lamentations au sujet des peaux bronzées à la mode, et dont le succès la scandalise … Les bains de soleil, les huiles répandues sur la chair nue ne lui disent rien qui vaille … Les femmes ont tort, explique-t-elle, de pasticher Joséphine Baker : la négrification de l’Europe se réalise suffisamment sur d’autres terrains qui ne sont pas des plages.
Vous avez tort, Madame, de dissuader nos sœurs en Ève de tourner au noir – sans accès de neurasthénie, il est vrai – comme si la saison de blanc devait durer douze mois sur douze ! … Cet amour des couleurs sombres peut fort bien se justifier, d’autant que la morale, ici, reçoit pleine satisfaction. Il n’y a pas, que je sache, incompatiblité entre le bien et le hâle ! …
D’abord il est excellent, de nos jours, de faire assavoir aux amis et connaissances qu’on revient du bord de la mer, signe incomparable de santé et de prospérité ! … Mais lorsque la preuve est inscrite sur la peau, elle est irréfutable. Mesdames, hâlez-vous lentement ; ce travail produira, à coup sûr, son petit effet autour de vous …
Et puis les lois de l’hospitalité la plus large exigent que les Françaises accueillent les gens de couleur avec courtoisie en effaçant, autant que faire se peut, les différences trop choquantes. Le marron clair n’est-il pas un heureux intermédiaire qui équivaut à l’espéranto dans les relations internationales ? Un Locarno des races apaise donc les conflits fréquents dans les jeux de dames : blanches et noires se fondent en une peau commune agréable à la Société des Nations ! …
D’ailleurs, si nous nous efforçons de ressembler aux nègres, les nègres, à leur tour, tenteront l’impossible pour nous imiter … Et aussi les jaunes et les rouges ! … La paix mondiale tient peut-être à cette confusion des couleurs.
C’est pourquoi je dis à Mme Lucie Delarue-Mardrus :
– Laissez, laissez les femmes de chez nous se vouer au noir dès leur jeunesse … Pourvu que, par leurs intentions, elles restent blanches comme neige ! … Leur goût actuel n’exprime qu’un grand élan de fraternité, rien de plus … Silence aux rivalités épidermiques : le noir et le blanc se valent depuis que triomphe le jus de réglisse ! … »
(Le Petit Gringoire [signature de l’article], « Sourires », dans “Ouest-Éclair” n° 9795 du 19 août 1928, page 1. — N.B.: L’article est reproduit intégralement.)