En avant la dictature socialiste

Jean Yves le Drian que nous pouvions considérer jusque-là comme étant le « seul ministre compétent » de ce gouvernement vient de créer une obligation de reconsidération de jugement. En effet, il vient d’annoncer le passage devant un conseil de discipline du général Piquemal qui selon lui est sorti de sa réserve en allant manifester son soutien aux Calaisiens abandonnés à leur sort par le pouvoir socialiste en place. Le Général (2S) vient d’être mis à la retraite forcée cette semaine.

Le ministre s’apprête également à mettre en place : « une réforme du Code de la défense qui permettrait au ministre de prendre directement ce genre de décision sans passer par un conseil de discipline ».
Si ça, ce n’est pas de la dictature, ça y ressemble fortement. Il se trouvera, bien entendu, assez de cadres de l’armée pour lécher les « pompes » du ministre et former ce tribunal militaire qui condamnera un « citoyen-général » digne de ce nom à une forme de déchéance qui ne dit pas son nom. Si la peine de mort avait toujours court, représentée par la guillotine, si cher aux républicains,  notre pauvre général risquait de retrouver sa tête tranchée.

Le ministre de la défense, accessoirement « président de région », poussé par son copain de promotion, ne va pas s’arrêter en si bon chemin et que d’autres généraux (2S) passeront bientôt devant ce tribunal révolutionnaire du 21ième siècle. Je pense au Général Martinez, au général Pierre Coursier, au général Jean du Verdier, auteurs d’une lettre co-signée au président de leur république, ainsi qu’un certain général de la Gendarmerie mis au placard (outre-mer) pour avoir dit quelques vérités sur la sécurité du pays devant une commission de l’Assemblée constituante, pardon leur Assemblée anti-nationale.

Bien entendu, cette liste n’est absolument pas exhaustive car des centaines de cadres 2S et même d’active ont les mêmes pensées réalistes que « les ci-devant généraux » et pourront donc eux aussi passer à l’échafaud, ou éventuellement à la retraite anticipée.

Paradoxe des paradoxes pendant que l’on essaie de déshonorer un général qui n’a pas failli, on se permet de décerner la même Légion d’honneur, que ce soldat a hautement méritée, à un prince arabe qui fait couper des têtes à longueur d’année, justement parce que celles-ci (les têtes) ne pensent pas comme le veut la charia en vigueur dans ces pays. Et bien chez nous, on ne coupe pas les têtes ou plutôt plus comme pendant leur « Révolution Judaïque Française de  1789 » mais on leur demande de ne plus penser, ou mieux, de penser comme les « lobbies bien-pensants » le veulent, pardon, je voulais dire leur gouvernement. Ce n’est pas … encore… la Corée du Nord… mais … Elle est belle, elle est magnifique la morale socialiste et socialisante.
La dictature est en marche…

                                                                                      François Palaffittes