Nous ne savons pas exactement pourquoi la grosse machine médiatique a relayé sans complexes les propos littéraires de Vanessa Springora, mais la diffusion de son propos principal écrit dans Le Consentement a parfaitement fonctionné. Chose dont nous nous félicitons. Cela fait de nombreuses décennies que ce glabre pervers se répand partout où il le peut pour tenter de rendre acceptable l’inacceptable en utilisant l’art ou ce qui lui ressemble dans ce but. Une entreprise ignominieuse, nous pesons nos mots, d’ailleurs solidement encouragée et soutenue par des gens qui ne manquent ni d’argent ni de motivation. Aussi, pour une fois, disons-le, répétons-le, la curée médiatique spontanée ou orchestrée sur ce vieux vicieux constitue de fait une opération de salubrité publique qui est loin d’être dérisoire. C’est aussi avec une satisfaction que nous ne dissimulerons pas que nous observons les lubriques lépreux embourbés dans la fange matzneffique jusqu’au cou tirer leurs dernières cartouches à blanc pour défendre l’indéfendable. La médiocrité des derniers gitons, des complices de l’ogre et d’autres dont nous ignorons les ressorts de leur fraternelle intervention est également une source de contentement. Ecoutez-les, ces porcs amochés par l’inversion et ses poisons immanents, crier aux loups ! Regardez-les poser comme des rebelles en pleine descente d’organe, comme des anti-conformistes de l’extrême, les derniers snipers du lupanar assiégé ! Oh, s’égosillent-ils, ils ne participeront pas à ce lynchage, ils ont le sens de l’honneur, eux, ils ne se « joignent pas à la meute » ! Ces vicieux s’échinent, souvent, pourtant, dans le même temps à faire disparaître de la toile les textes apologétiques qu’ils avaient écrits à propos des récits pédomanes du pistolero de la braguette. Où l’on constate que ces individus, loin de faire preuve d’un courage iconoclaste, s’efforcent de se protéger au mieux des éclaboussures qui ne manqueront pas de s’abattre sur leurs misérables personnes.
La malheureuse Vanessa Springora a commis un livre utile, qui connaît d’ores et déjà un succès en librairie bien qu’elle ne se soit pas abaissée à détailler les outrages qu’elle a eus à subir durant de longs mois de la part de Gabriel Matzneff. Que des gens comme nous, fascistes infréquentables, terrifiants intolérants, dénoncions, dénonçons, les manœuvres de cette tête de gland avec force documents à l’appui, n’intéresse pas le media obèse qui, de toute façon, se met en branle sur ordre quand le sujet est de cet ordre et donc infiniment dangereux pour le Système, nous l’avions compris. Avec une victime reconnue comme telle (par tous les gens normaux), une victime directrice de Julliard (une maison d’éditions qui ne peut pas être soupçonnée de puritanisme, ou de secréter de la moraline, puisqu’elle fut à l’origine de la parution du Lolita de Nabokov et, attention, des Moins de Seize ans de Matzneff !), une victime qui a les moyens d’être publiée chez les grands, la lutte contre la pédomanie militante (c’est bien ce qui la caractérise, croyons-nous) change de dimension. D’autant plus que Vanessa Springora connaît tous les codes du microcosme littéraire et du monde médiatique (où paradoxalement abondent les tarés comme Gabriel Matzneff). Elle ne hurle pas (sa sordide expérience date des années 1980, elle contrôle sa parole, elle a su construire un discours évoquant puissamment le piège dans lequel elle est tombée), elle laisse deviner, obligeant ainsi ses lecteurs, ses auditeurs, y compris la Justice, à réagir, à agir, à lire entre les lignes, à saisir, à découvrir l’insoutenable. Dans un langage sobre, sur un ton calme, sans pathos excessif (le temps passé l’interdisant peut-être) Madame Springora laisse entrevoir en filigrane quelques horreurs dans l’horreur.
CACHEZ CE PÉDOMANE QUE NOUS NE SAURIONS VOIR
Notamment cet épisode pendant lequel la petite Vanessa, alors hospitalisée et souffrant de problèmes gynécologiques, devait subir les “visites” quotidiennes du détraqué… Il est difficile de rester indifférent devant un tel témoignage. Les politiques ont réagi, très officiellement avec le ministre homosexuel de la culture Franck Riester qui a promis d’écouter toutes les victimes du prétendu esthète, et d’embêter financièrement le gourmet pédomane. « L’aura littéraire n’est pas une garantie d’impunité. J’apporte mon entier soutien à toutes les victimes qui ont le courage de briser le silence », écrit le ministre sur son compte Twitter, avant la parution début janvier de Consentement, livre-témoignage de l’éditrice Vanessa Springora, « séduite à 14 ans par Gabriel Matzneff. »
« Je les invite, ainsi que tout témoin de violences commises sur des enfants, à contacter le 119 », poursuit Franck Riester. Aujourd’hui encore ce violeur en série jouit d’aides pécuniaires et carrément d’un logement gratuit. On est loin du soupeur pouilleux du Paris populaire au temps de ses latrines. Au lendemain de la sortie du livre Le Consentement, la Justice, sous l’égide du Parquet de Paris, a ouvert une enquête pour viols sur mineurs contre Gabriel Matzneff (mais n’attendons pas monts et merveilles de la part de Thémis qui reste recroquevillée dans son coin dans l’affaire Epstein alors que les pistes ne manquent pas).
Après la défense catastrophique de Matzneff qui s’est répandu dans le magazine L’Express, la Justice qui aime tant nos enfants fut contrainte d’intervenir, tant l’ogre imberbe y fut odieux (ou alors joue-t-il la partition du fou incapable de voir l’ignominie de ses entreprises pédomanes ? Si c’était le cas, la stratégie n’a pas fonctionné). Selon son ami, lui-même fou de lolitas selon ses dires, le tâcheron de Causeur (soutenu par Elisabeth Levy qui défend nombre d’auteurs très libertins pour utiliser un euphémisme), Roland Jaccard (à ne pas confondre avec Roland Jacquard), il serait en fuite, en exil, comme un grand aristocrate du slip. La plupart des amis du pédomane agissent différemment. Bernard Pivot, l’illustre présentateur d’Apostrophes, a présenté ses excuses aux victimes directes ou indirectes des pédomanes écrivains tout en précisant très idiotement qu’à l’époque de son émission la littérature prévalait sur la Morale. En éludant que cet état d’esprit n’était partagé que par une minorité des membres de la “république” des lettres. Frédéric Beigbeder a, lui, littéralement fondu. Une flaque absurde. « Nous tous, dans le milieu littéraire, a-t-il chuchoté, nous sommes coupables de non-assistance à personnes en danger. Notre faute : ne pas avoir pris au sérieux Gabriel Matzneff. J’ai honte d’avoir longtemps cru qu’il était mythomane, qu’il se glorifiait de faits qu’il n’avait pas commis. » En effet, en 2013, non seulement Matzneff était embauché par Le Point pour écrire une chronique hebdomadaire (intitulé « Le diable dans le bénitier », on comprend pourquoi) mais il reçut aussi le prix Renaudot-essai pour son ouvrage Séraphin, c’est la fin. Un prix décerné par un jury auquel appartenait et appartient toujours Frédéric Beigbeder.
Un autre membre du jury du Renaudot, Franz-Olivier Giesbert, a fait son petit cinéma dans les colonnes du Monde : « C’est un excellent écrivain, dont j’aime certains livres, d’autres pas du tout. J’exècre la pédophilie, mais je déteste aussi la police de la maréchaussée. Les gens cloués au pilori ont toujours ma sympathie ». Ah bon ? Même les antisémites, les anciens nationaux-socialistes, les révisionnistes ? Allons FOG, allons, voyons, un peu de décence ! Le Renaudot, tu le sais, petit FOG, est un prix très particulier depuis au moins 1944, depuis que le lauréat fut le pédomane fier de l’être Roger Peyrefitte avec son roman Les Amitiés particulières. Les petits démons du monde de la Kultur en firent même un film dont le petit héros devint, pour de vrai, à 12 ans, le giton du romancier. Les stars trouvaient cela formidable : Salvador Dali, Amanda Lear, Sylvie Vartan (qui embaucha plus tard le petit gars), et une certaine extrême-droite fascinée par la sexualité qui traumatise les enfants ou qui les éduquerait ; nous y reviendrons. En ce qui concerne le jury du Renaudot, force est de constater que Beigbeder et FOG nous prennent pour des imbéciles. L’immense majorité de ses membres est pour le moins ambivalente et cultive très souvent quelques points communs qui nous interrogent.
LE JURY RENAUDOT, UNE DRÔLE D’ENGEANCE !
Actuellement, nous trouvons parmi les jurés : Christian Giudicelli, né en 1942, membre du jury Renaudot depuis 1993. Il collabore à La Nouvelle Revue française, à Combat du très trouble Philippe Tesson, aux Cahiers des saisons, à La Quinzaine littéraire, au Figaro Magazine, à Écrivain magazine, ainsi qu’aux programmes littéraires de France Culture. On le présente comme écrivain intimiste, sensible et mélancolique. C’est ça, c’est ça… Tellement sensible que son premier livre met en scène un très jeune adolescent et quelques adultes dans certaines situations. Son titre, un clin d’œil sans équivoque adressé à ses amis ? Une leçon particulière ! Il y a dans cet aréopage Madame Dominique Bona qui fut journaliste au Quotidien de Paris de Philippe Tesson et à France Culture. Nous retrouvons donc dans cette bande de copains parfumés Franz-Olivier Giesbert. On ne s’étalera pas avec sa longue biographie qui pue l’obséquiosité. Disons simplement que FOG commence sa carrière à 19 ans en collaborant aux pages littéraires de Paris Normandie en publiant principalement des entretiens avec Aragon, l’écrivain pédomane vedette d’une pseudo-droite dilettante Henry de Montherlant, et avec Alain Robbe-Grillet, défenseur de la pédophilie et maître sado-masochiste bien connu dans le milieu littéraire. A 19 ans, c’est ambitieux.
Dans cette liste apparaît l’homosexuel nostalgique de sa jeunesse algéroise et de ses petits amis maghrébins, l’écrivain Jean-Noël Pancrazi. On aperçoit par ailleurs l’auteur Jérôme Garcin qui publie ses premiers articles dans les Nouvelles littéraires du très ambigu Philippe Tesson. Il a dirigé plusieurs émissions sur France-Inter. Garcin a remplacé en tant que juré André Bourin (alors largement nonagénaire) qui fut un défenseur acharné de la pédophilie et qui porte bien son nom. Il travaille un temps aux Nouvelles littéraires, à l’ORTF (il côtoie à cette époque le pédomane André Gide) et au Quotidien de Paris de Philippe Tesson. Il fut membre avec son épouse du comité d’honneur de la Maison internationale des poètes et des écrivains de Saint-Malo. Les connaisseurs apprécieront. Enfin nous retrouvons dans cette cohorte l’enfariné Frédéric Beigbeder. Le copain du pseudo-évêque moderniste, Jean-Michel Di Falco, le frère de Charles, Légionnaire du Christ, secte pseudo-catholique du violeur en série pédomane Marcial Maciel, intime de Jean-Paul II. Frédéric Beigbeder est naïf. En revanche, son prédécesseur, celui qui occupait son fauteuil dans le jury du Prix Renaudot, était beaucoup moins candide en la matière. Nous voulons parler de l’écrivain André Brincourt. Brincourt, l’ami intime de Malraux, Brincourt, critique littéraire qui fut toute sa vie subjugué par la figure de Satan. Brincourt qui écrit dans Tête de loup tout son dégoût devant la remise en enfer de la pédérastie et de la pédophilie (terme plus englobant) avant de prendre précisément la défense de Gabriel Matzneff : « Gilles de Rais ? Dénonçons les ogres. Exterminons les loups. Que le ciel (sic) pulvérise Sodome et Gomorrhe. Mais si, excluant l’horreur, on ne veut voir que la poésie des « contes pour enfants » — du Petit Chaperon rouge au Petit Poucet —, on peut aussi évoquer avec prudence la littérature de papa Gay quand la chair s’y fait trop tendre : Que devient l’oncle Gide ? Le Moustique de Montherlant ? Plus subtilement, le « porteur d’enfant », roi des Aulnes de Tournier ? Gabriel Matzneff et Cohn-Bendit ne pensaient pas se retrouver un jour “examinés” dans le même placard. Alain Finkielkraut s’en inquiète : « interdit d’interdire ? … Il est aujourd’hui interdit d’approcher les enfants… L’ange est en danger, dit-on. Aussi “la pédophilie sentimentale” (la protection de l’enfance dont se moquent Finkielkraut et Brincourt) s’emploie-t-elle à terrasser le dragon de la pédophilie. » Brincourt était ami avec Roger Peyrefitte, et avec Philippe Tesson qui lui préfaça son Malraux, ou le temps du silence.
ALAIN DE BENOIST, BOUTANG ET SCHÉRER : LA TRIADE DU MAL
En octobre 2019 l’anniversaire de Gabriel Matzneff (83 ans) fut perturbé par de valeureux militants nationalistes de Jeune Nation dans un bistrot. Nous apprenions par la presse à cette occasion que le pédocriminel était entouré à ce moment-là par Philippe Tesson (toujours lui !) et son fils Sylvain, récipiendaire du dernier Prix… Renaudot. Voilà en tout cas des soutiens platoniques de poids pour Matzneff. Mais ils ne sont pas les seuls, ils sont bien loin d’être les seuls.
Avant l’éclatement de l’affaire provoquée par le témoignage de Vanessa Springora, nous nous intéressions au cas Matzneff dont nous avions déjà parlé sans ménagement dans RIVAROL, notamment pour dénoncer en 2013 le fait que le Prix Renaudot lui ait été attribué, et nous ne comprenions décidément pas pourquoi il était apprécié, protégé voire adulé par une certaine droite, une certaine extrême-droite et une certaine dissidence tant son œuvre est artistiquement médiocre et ses propos sales, dégoûtants, pervers, inadmissibles, scandaleux (et scandaliser les petits est le pire des crimes). Les biographies succinctes de Gabriel Matzneff ne parlent guère de son parcours lycéen et étudiant. Elles en viennent rapidement à ses débuts professionnels, et à son recrutement dans le journal Combat de Philippe Tesson.
Etrange calendrier culturel du petit media de la fausse droite, TV Libertés, qui se répand sur Internet : le dernier numéro, le 25e, de l’émission « Les idées à l’endroit » — sic ! — (animée par de drôles d’invités) d’Alain de Benoist, grand laudateur de Matzneff depuis des décennies, tant le chef autoproclamé de la nouvelle droite est acquis d’avance à tout ce qui est immoral, abject, glauque et radicalement contraire à la morale chrétienne (le pédocriminel Maztneff a toujours été complaisamment interviewé et mis en avant par la revue néo-païenne Eléments dont il est une égérie, qui se ressemble s’assemble), était consacré à Pierre Boutang, faux maurrassien, vrai gaulliste, sioniste, philosémite et homme profondément équivoque. Gabriel Matzneff fut l’élève de Pierre Boutang, professeur agrégé, qui ne jurait que par l’éducation à la grecque. Dans ses écrits, Matzneff parle très souvent du philosophe de L’Ontologie du secret. Un bon papa à la grecque qui venait le réveiller chaque matin dans sa petite chambre de bonne. Boutang était très proche de ses élèves, il était formidablement pédagogue, voyez-vous. Matzneff l’adore, Boutang lui ayant visiblement tout appris. Néanmoins, Gabriel est désormais un homme mûr qui a travaillé inlassablement pour la banalisation de la “pédophilie” durant toute sa vie. Lui et ses amis veulent des résultats, des résultats concrets. Depuis bien des années, lui-même et ses soutiens attendent des résultats, des coming out de personnalités, ou des survivants de personnalités.
En 2009, l’infâme Matzneff qui, rappelons-le, s’est vanté entre autres ignominies dans son journal intime, Mes amours décomposées, de violer de jeunes garçons de 10-11 ans à Manille, ce qui ne l’empêche pas de poser à côté de crucifix, de portraits de la Sainte Vierge et de dénoncer la décadence de l’Occident (peut-on aller plus loin dans la tartuferie et la volonté de tout profaner ? Tout cela est proprement satanique) se trouvait dans un état d’excitation caractéristique : « Je souhaite que ceux qui ont la charge d’éditer les œuvres posthumes de Pierre Boutang (dont au moins deux, son fils Pierre-André et Jean-François Colosimo, comptent parmi mes plus chers amis) nous disent avec précision comment, neuf ans après la mort du maître, se présentent les choses. Je leur demande aussi, avec instance, de résister à la tentation du caviardage, de ne pas faire un choix, de nous donner un texte sans coupures, sans montage. Il est préférable de ne publier qu’une seule année, mais une année intégrale, non expurgée, non censurée, avec tout ce qu’un pareil texte peut avoir de choquant ou d’immoral, à publier des morceaux choisis où l’on ferait prendre à Boutang la pose du penseur, du grand philosophe, et où l’on aurait châtré, occulté l’homme d’aventures et de passions qu’il fut tout au long de sa vie impétueuse et non conforme. Les carnets de Boutang sont assurément ceux d’un philosophe, mais Boutang ne philosophait pas vingt-quatre heures sur vingt-quatre, il dévorait la vie avec gourmandise, et je suis persuadé que cette voracité est, au même titre que de savantes considérations sur Platon et sur Heidegger, présente dans ces milliers de pages inédites. Je comprends donc que, étant marié, père de famille, enseignant, engagé dans le combat pour la monarchie, Pierre Boutang n’ait pas choisi, contrairement à tel de ses cadets, la voie de la confession publique, et donc du scandale ; mais il est mort, il est en présence du Souverain Juge, il est face à face avec le Dieu de miséricorde, et le bien ou le mal que les hommes pensent de lui n’a désormais pas la moindre importance. Pierre Boutang est hors d’atteinte. Seule reste l’œuvre, et c’est cette œuvre que nous, ses amis, ses lecteurs, nous réclamons. »
Ne faut-il pas être le dernier des demeurés pour ne pas comprendre où veut en venir le monomaniaque Matzneff qui, dans une société civilisée et digne de ce nom, protégeant réellement les enfants de prédateurs sans scrupules, aurait déjà été jugé et exécuté pour ses crimes ? Boutang, ce faux-monnayeur, a éduqué Matzneff à la grecque. Il fut aussi le professeur très proche de René Schérer (frère du cinéaste Eric Rohmer et oncle de l’antifasciste René Monzat, l’ami de Jean-Yves Camus, tout se tient décidément !) qui est aujourd’hui, ou qui fut tant il est vieux, le philosophe par excellence de la pédomanie. René Schérer, le plus grand défenseur occidental de la pédophilie, fut aussi ami de Matzneff et donc de Boutang qu’il défendit quand ce dernier obtint un poste à la Sorbonne malgré sa réputation de maréchalisme. D’aucuns se demandèrent pourquoi un homme comme Schérer, fouriériste, anarchiste, défendait un royaliste comme Boutang. Le pédocriminel Gabriel Matzneff mais aussi le malsain et amoral Alain de Benoist comprirent immédiatement la raison profonde de ce soutien. Il est des réseaux, des pratiques et des affinités qui n’ont manifestement rien de spirituel.
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François-Xavier ROCHETTE.