Sommaire :
France
- Mohamed frappe deux « amis » Sabhi et Mohsen avec une hache
- Malgré la fin de réquisition, les clandestins squattent toujours le gymnase
- Mastaneh Djazayeri, avocate et escroc : 1,2 M d’€ de fraudes
- Marseille: prison ferme pour Vianney Mamboundou le marabout footballeur
- Fatia Founas condamnée à douze mois ferme pour escroquerie et apologie d’actes de terrorisme
- Filière syrienne: prison ferme pour Sofiane, Mohamed, Abdel-Atif et Gaëtan
- Deux mineurs clandestins Lybiens interpellés pour vol de carte bleue
- Prosélytisme Islamique dans une salle de sport
Etranger
Europe
- Bulgarie : menace de décapitation par Daech contre le chasseur d’envahisseurs Dinko Valev
- Invasion migratoire : déjà plus d’un million d’envahisseurs entrés en Europe en 2016
- Hongrie : critiques des Nations-Unies contre le contrôle des frontières
- République de Macédoine : opération anti-terroriste contre une filière de l’État Islamique
- Allemagne : rallonge de 500 millions pour les « survivants de l’holocauste »
Monde
- États-Unis : le tireur de dallas, suprémaciste noir, se préparait à la guerre raciale
- États-Unis : le tireur de Dallas a été éliminé par un robot-tueur
- Irak : 40 morts dans un attentat contre un mausolée chiite
Vidéo
- Entretien d’André Figueras avec Henry Coston
Ephéméride nationaliste
- 11 juillet 1970 : mort de Agustín Muñoz Grandes
Agenda
- 23 juillet – Ile d’Yeu : Hommage au Maréchal Pétain
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France
Mohamed frappe deux « amis » Sabhi et Mohsen avec une hache
Mohamed, un Tunisien âgé de 40 ans en séjour irrégulier, n’a pas apprécié, le 15 avril 2015, que Sabhi et Mohsen aient déposé chez lui, dans la nuit, une moto volée. Après avoir ruminé en buvant 4 litres de vin rosé, il est parti à 5h30 à leur recherche. Il a trouvé les deux hommes attablés à la terrasse d’un bar.
Il a asséné un coup de hache sur la tête de Mohsen. Puis il a poursuivi Sabhi, qui sera touché légèrement dans le dos.
Il a été condamné à la peine de 3 ans de prison, dont 18 mois avec sursis et maintien en détention. Mohamed a déjà effectué 15 mois de préventive.
Malgré la fin de réquisition, les clandestins squattent toujours le gymnase
Les choses étaient claires entre l’Etat et la Ville de Lagny-sur-Marne. Le gymnase devait être réquisitionné pendant quatre semaines pour permettre de loger 233 envahisseurs. L’arrêté prenait fin mercredi 6 juillet à 00 h. Mais les réfugiés ne sont partis que vendredi 8 juillet. Des bus sont venus les chercher. Ils ont été emmenés dans des centres en Ile-de-France notamment dans les Yvelines, Val-de-Marne et Essonne.
Jeudi 7 juillet, dans la soirée, près de 70 envahisseurs étaient encore présents à Lagny. 59 étaient partis mardi 5 juillet. 30 autres jeudi 7 juillet dans la matinée.
D’après la mairie de Lagny, ils seraient désormais logés dans “des lieux d’accueil mieux adaptés dans le département de l’Essonne”.
D’après des habitants, des envahisseurs, qui sont partis mardi 5 juillet, sont revenus à pied à Lagny.
Mastaneh Djazayeri, avocate et escroc : 1,2 M d’€ de fraudes
Une avocate du barreau de Grasse a été jugée en fin de semaine dernière par le tribunal correctionnel où elle plaidait par le passé.
Mastaneh Djazayeri, 43 ans, qui a prêté serment en 2003, est poursuivi pour escroqueries, abus de confiance, usage de faux, contrefaçon de chèques.
Le montant des détournements au préjudice de ses clients est évalué à 1,2 million d’euros.
Le procureur Thierry Bonifay a requis ce mercredi cinq ans de prison dont quatre ans ferme assortis d’un mandat de dépôt.
La prévenue qui comparaît libre a jusqu’à présent, a été détenu pendant quatre mois, durée maximale prévue pour ce genre délit.
Marseille: prison ferme pour Vianney Mamboundou le marabout footballeur
Vianney Mamboundou, 23 ans, marabout et footballeur à ses heures. Expert en incantations et autres massages à proximité immédiate du lit de ses victimes. En bon gestionnaire des mauvaises ondes de ses patients, « Toumba » –c’était son nom de scène maraboute– avait un complice présumé, autoproclamé « Grand marabout de Marseille ».
Et il y eut, figurez-vous, des gens pour les croire. Françoise notamment, croisée fin juin dans un salon de coiffure ami et à laquelle il entreprit de faire la conversation. Françoise était en détresse. Même morale. Mais elle avait manifestement des sous. À coups de retraits de 2 000 euros, il commença par exercer son art, jusqu’à lui soutirer 18 000 euros en deux mois.
Il lui fera même croire qu’il pouvait l’emmener au Maroc pour une séance totale de désensorcellement, moyennant la modique somme de 6 000 euros.
Le procureur a réclamé contre lui 8 mois de prison, dont 5 avec sursis, mais assortis d’un placement en détention. Mais le tribunal, qui n’avait guère l’oreille maraboute, a infligé 8 mois ferme à « Toumba ».
Fatia Founas condamnée à douze mois ferme pour escroquerie et apologie d’actes de terrorisme
Fatia Founas, bien connue du tribunal de grande instance d’Arras, était jugée pour des nouveaux faits d’escroquerie. En garde à vue, elle aurait aussi menacé les policiers de tuer l’un d’entre eux.
« Mme Founas, comme je suis heureuse de faire votre connaissance ! Depuis le temps que je vous condamne sans pouvoir mettre un visage sur votre nom », s’exclamait la présidente du tribunal de grande instance d’Arras. Fatia Founas, 36 ans, est régulièrement jugée pour des vols et escroqueries. Sa spécialité : la vente de faux billets sur Internet. Mais la prévenue ne prend jamais la peine de répondre aux convocations. Sous escorte, puisqu’emprisonnée à la maison d’arrêt d’Amiens pour des faits antérieurs, elle n’a cette fois pas eu le choix.
L’Arrageoise est soupçonnée d’avoir escroqué une mère de famille en lui « vendant » des entrées au parc Disneyland Paris, pour 175 €. La jeune maman a bien donné l’argent, mais n’a jamais vu la couleur des billets, « que ma petite fille souhaitait plus que tout pour son anniversaire ».
Fatia Founas doit aussi s’expliquer pour apologie d’actes de terrorisme. En garde à vue, elle aurait hurlé aux forces de l’ordre, quelques jours après l’assassinat du couple de policiers dans les Yvelines : « Je comprends ceux qui tuent vos collègues et je vais en faire autant ! »
La prévenue est condamnée à douze mois de prison ferme avec mandat de dépôt, a interdiction définitive de gérer une société ou d’exercer une activité professionnelle de la fonction publique ainsi que de détenir un chéquier.
Filière syrienne: prison ferme pour Sofiane, Mohamed, Abdel-Atif et Gaëtan
Vendredi midi, comme en début de semaine au cours des débats, Sofiane O., comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris pour « association de malfaiteur en lien avec une entreprise terroriste », aux côtés de quatre autres prévenus, tous accusés d’avoir rejoint ou tenté de rejoindre le groupe « Etat islamique » en Syrie au courant de l’année 2014. Tous fréquentaient une mosquée de Lens (Pas-de-Calais). Ils ont été condamnés à des peines allant de 1 an à 10 ans de prison ferme.
Le plus âgé d’entre-eux, Mohamed E.B., 34 ans, est présenté comme l’instigateur principal et l’organisateur en chef des voyages. Parti en Syrie en septembre 2014 avec femme et enfants – âgés de 4 ans, 2 ans et 7 mois, il y combattrait toujours, et n’est donc pas là pour répondre de ces accusations. En son absence, c’est Gaëtan V. , 23 ans, barbe généreuse « à connotation religieuse», qui est le premier interrogé.
C’est d’abord dans l’armée que Gaëtan cherche des réponses à ses « questionnements » : il intègre le 3ème régiment de Charleville-Mézières (Ardennes) fin 2011. Il démissionne rapidement, et se tourne vers l’islam. Il se convertit dans la foulée, et épouse religieusement sa jeune compagne, qui répond à ses deux « critères principaux » : elle porte le voile intégral, et est d’accord pour émigrer dans un pays appliquant la charia. C’est donc « dans une démarche purement religieuse, et pas pour rejoindre l’EI », jure-t-il à l’audience, que le couple « émigre » à la mi-août 2014 en Syrie, via Istanbul.
Il explique les fichiers djihadistes, les photos d’armes et les vidéos de combattants retrouvés dans son ordinateur par une clef USB remise par Mohamed E.B. « Je voulais des documents religieux sur la Syrie, je ne pensais pas qu’il y mettrait tous ces fichiers », justifie-t-il.
Les frères Abdel-Atif et Sofiane O. partent à leur tour. Tous les trois prennent en tous cas le train pour Luxembourg, le 17 septembre à l’aube. De là, seuls les deux frères O. montent dans l’avion pour Istanbul. « On a profité de l’absence de nos parents – en vacances au Maroc, leur pays natal – pour partir en Syrie », explique Sofiane, d’une voix à peine audible, seul prévenu à comparaître libre.
Leur voyage tourne court : après le vol pour Istanbul, un trajet en bus jusqu’à une ville proche de la frontière syrienne, une nuit à l’hôtel et un dernier trajet en taxi, ils sont interpellés par des militaires turcs alors qu’ils tentent de franchir la frontière avec un passeur. Ils sont emprisonnés douze jours dans les geôles turques, puis expulsés vers la France. Comme Gaëtan, tous deux invoquent un voyage pour des motifs religieux. « Notre seul but était de faire l’hijra », comprendre l’émigration en terre musulmane pour pratiquer un « islam sain », promet Abdel-Atif.
Abdallah B., 25 ans, est le dernier des 5 prévenus à partir en Syrie, qu’il parvient à rejoindre après avoir quitté son domicile lensois le 13 octobre 2014 à l’aube. Il emprunte le parcours « officiel » de l’EI : confiscation du passeport à l’arrivée, entraînement militaire et cours de religion dans une Katiba, avant de prêter allégeance à Daech et d’être envoyé sur le front. Là, il explique s’être rebellé, sans qu’on comprenne vraiment pourquoi.
Dans son réquisitoire, la procureure a mis les prévenus face à leurs contradictions : « à l’été 2014, période charnière en Syrie, tout le monde sait ce qu’il s’y passe. A fortiori ceux qui s’y intéressent », affirme-t-elle d’emblée, écartant d’un revers de la main les motifs humanitaires ou religieux invoqués par les prévenus, pointant un « projet réfléchi, ancien, et commun ».
Au prononcé du délibéré, vendredi à 13h30, le tribunal a indiqué qu’il n’avait « pas été convaincu » par les explications données par Gaëtan V. et Abdallah B. sur les conditions de leurs sorties de Syrie, les condamnant à 9 ans de prison chacun, une peine plus lourde que les 8 années requises.
Les deux frères O, qui n’ont pas réussi à atteindre la Syrie, sont eux moins lourdement condamnés : Abdel-Atif est condamné à 5 ans, et son jeune frère Sofiane à 3 ans de prison, dont un an ferme, peine qu’il effectuera en étant porteur d’un bracelet électronique. Le grand absent du procès, Mohamed E. B. a quant à lui été condamné en son absence à la peine de 10 ans d’emprisonnement, la peine maximale encourue.
Deux mineurs clandestins Lybiens interpellés pour vol de carte bleue
Deux hommes ont été interpellés dans la nuit de vendredi à samedi, à Rennes, alors qu’ils venaient de payer des consommations avec une carte bleue volée dans un bar du centre-ville, place du Champ-Jacquet. Au moment de régler l’addition ils ont utilisé la carte dont le propriétaire se trouvait être une connaissance du serveur. Alertée, la police a pu arrêter les deux hommes, vers 3 h 30, peu de temps après les faits. Âgés de 16 et 17 ans et de nationalité libyenne selon leurs déclarations, ils ont été placés en garde à vue.
L’un d’eux a été remis en liberté, l’autre devrait être déféré dimanche au parquet. Profitant de la liesse populaire, d’une foule fêtant la victoire de l’équipe de France de football face à l’Allemagne, plusieurs vols de portefeuilles et de téléphones portables ont été commis aux terrasses des bars.
Prosélytisme Islamique dans une salle de sport
La salle « Jean-Claude Bouttier », plus communément appelée « salle Oxygène » vient de fermer ses portes brutalement. La mairie a fait changer les serrures de cet équipement en toute discrétion et, mercredi, un élu s’est rendu sur place, avec les nouvelles clés afin que les habitués de la salle récupèrent leurs affaires !
Depuis de nombreuses années, la ville laissait à l’association Oxygène la jouissance des lieux grâce à une convention d’occupation. Musculation, boxe, arts martiaux… Plusieurs centaines de sportifs de toutes générations la fréquentaient.
Mais depuis plusieurs mois, la situation financière de l’association s’était dégradée. « Les subventions ont baissé et dans le même temps, nous avons été confrontés à une érosion du nombre d’adhérents, explique Mounir Naït Outaleb, fondateur de l’association.
La salle est surveillée depuis plusieurs mois par les services de l’Etat et a fait l’objet de rapports et de notes. En cause : la fréquentation des lieux. « Il existe de nombreux indices qui permettent de penser que cette salle est le théâtre de prières et de prosélytisme religieux, assure une source préfectorale. Certaines femmes ont fait l’objet de remarques. Le gérant des lieux est dépassé et ne contrôle plus ce qui s’y passe. Dans ces conditions, il est difficile d’imaginer l’Etat continuer à subventionner un tel lieu. »
Au lendemain de la fermeture de la salle Jean-Claude Bouttier, les habitants du quartier sont remontés. « Personne n’était au courant, c’est arrivé brutalement. Ni la ville, ni Mounir n’ont fait leur travail d’information, s’irrite, anonymement, un habitué des lieux. Les habitants sont en colère : les adhérents de la musculation ont perdu leurs cotisations. Et que vont devenir les activités sportives pour les enfants ? » Ce sportif s’énerve aussi contre les soupçons de prosélytisme : « On est au cœur du Val-Fourré ! Que des musulmans viennent s’entraîner n’a rien d’étonnant… »
Etranger
Europe
Bulgarie : menace de décapitation par Daech contre le chasseur d’envahisseurs Dinko Valev
L’Agence nationale bulgare pour la sécurité nationale a averti le « chasseur de migrants », Dinko Valev, qu’il est devenu une cible de l’État Islamique. Le groupe jihadiste l’aurait placé sur une liste de personnes pour lesquelles une prime de 50 000 dollars est offerte pour leur décapitation filmée. Les informations émanent de plusieurs sites islamistes connus pour leur financement et leur soutien à des organisations terroristes islamiques.
Dinko Valev est le chef d’un groupe décrit par les organisations non gouvernementales de défense des envahisseurs comme une « unité paramilitaire opérant à la frontière bulgaro-turque avec des véhicules militaires et des chiens qui maltraite et vole les pseudos réfugiés ». Lui-même récuse ces accusations et concède seulement qu’il immobilise et remet aux autorités les envahisseurs qui traversent clandestinement la frontière. Il se présente avec ses amis comme un groupe de citoyens bulgares vigilants qui prennent le relai d’un État et d’une Union européenne défaillants à empêcher les infiltrations jihadistes en Europe. Il affirme n’être effrayé ni par les menaces des islamistes ni par celles des prétendus « humanistes » qui sont en réalité des traîtres complices de l’invasion.
Comme son homologue Petar Nizamov qui est toujours assigné à résidence à Bourgas depuis plus de 3 mois, Dinko Valev fait maintenant l’objet de poursuites initiées par le parquet sous la pression des lobbies islamistes et de leurs complices. Il lui est reproché des crimes de « violence et discrimination à caractère haineux » à l’encontre des envahisseurs du fait de son action de défense des frontières de la Bulgarie et de l’Europe…
Invasion migratoire : déjà plus d’un million d’envahisseurs entrés en Europe en 2016
Les médiats et gouvernants en Europe affirment que le flux d’envahisseurs s’est réduit voire tari depuis la signature d’accords entre l’Union européenne et la Turquie. En réalité un nouveau rapport d’une agence européenne, le Bureau européen d’appui en matière d’asile, affirme que le nombre d’envahisseurs ayant violé les frontières pendant les 6 premiers mois de 2016 a été plus importants que celui des 6 premiers mois de l’année 2015 ! Selon le rapport de 2015, il y avait eut 350 000 envahisseurs entrés clandestinement entre janvier et mai de l’année dernière. En 2016 ce chiffre a augmenté exponentiellement à un demi-million d’individus qui ont violé les frontières par la route des Balkans et en traversant la Méditerranée. La plupart d’entre eux viennent de Syrie ou d’Irak évidemment mais bien souvent aussi d’Afghanistan, Somalie, Erythrée, Nigéria… L’année dernière, c’est l’Allemagne qui a reçue la majeure partie des envahisseurs entrés en Europe et la tendance semble se poursuivre cette année, les rapports faisant valoir que l’Allemagne a accepté quelques 226 000 envahisseurs jusqu’à présent cette année.
L’agence européenne Frontex, dite « de protection des frontières », affirment que les problèmes qui ont conduit à cette crise migratoire ne sont toujours pas résolus. Et en conséquence le flux d’envahisseurs ne peut que continuer à croître au cours des mois qui viennent. Et les gesticulations de l’Union européenne et des gouvernants des États membres pour fermer certaines routes d’accès ne font que pousser les passeurs et envahisseurs à utiliser des itinéraires de rechange.
Hongrie : critiques des Nations-Unies contre le contrôle des frontières
Le Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (UNHCR) a vivement critiqué la Hongrie pour avoir déployé 10 000 policiers et soldats à ses frontières. Les Nations-Unies voient d’un mauvais œil la politique hongroise de refoulement et blocage des envahisseurs à la frontière serbe alors que le flux qui traverse les Balkans est reparti à la hausse. Et le gouvernement serbe accuse la Hongrie de violer le droit international lorsque les forces hongroises interceptent et expulsent vers la Serbie les envahisseurs attrapés à moins de 8 kilomètres de la frontière.
Le représentant local du Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés, en poste à Budapest, affirme qu’il se sent particulièrement concerné par les pratiques hongroises et le sort fait aux personnes côté serbe dont le nombre atteint plus de 800 et continue à grossir. Le chef de cabinet du Premier Ministre hongrois lui a tacitement répondu vendredi 8 juillet que « aujourd’hui la protection de la Hongrie et de l’Europe est la tache de son gouvernement et que pour la Hongrie la sécurité et l’arrêt de l’immigration clandestine sont les priorités les plus importantes » !
République de Macédoine : opération anti-terroriste contre une filière de l’État Islamique
Le ministère de l’Intérieur de la République de Macédoine a annoncé le 9 juillet qu’une vaste opération anti-terroriste a été lancée dans le pays à Skopje et Tetovo. 7 personnes étaient ciblées, 4 ont été arrêtés et 3 sont en fuite. Il s’agit d’individus suspectés de terrorisme et d’affiliation au groupe jihadiste État Islamique selon le bureau du Procureur du Tribunal chargé de la criminalité organisée et de la corruption. Les suspects en fuites pourraient avoir déjà ralliés la Syrie. Les investigations se poursuivent pour faire parler les ordinateurs, téléphones et autres clés USB saisis.
Allemagne : rallonge de 500 millions pour les « survivants de l’holocauste »
La Claims Conference, qui gère les aides aux survivants de l’Holocauste, a négocié une hausse de son budget jusqu’en 2018. Pendant ses négociations avec le gouvernement allemand, la Claims Conference s’est assuré un financement de près de 312 millions de dollars en soins à domicile pour les survivants en 2016, environ 350 millions de dollars pour 2017 et plus de 380 millions de dollars pour 2018. La partie la plus importante de l’accord, selon le vice-président exécutif de la Claims Conference, Greg Schneider, est qu’il supprime le seuil sur le nombre d’heures de soins à domicile que les survivants pouvaient obtenir. Avant, les survivants n’avaient le droit qu’à 25 heures par semaine. A présent, les survivants des ghettos et des camps de concentration pourront bénéficier d’un nombre illimité d’heures de soins à domicile. Les autres survivants pourront obtenir au maximum 40 heures par semaine. « Les soins à domicile sont cruciaux pour fournir une vie digne aux survivants de l’Holocauste, a déclaré Schneider. En supprimant le seuil pour les personnes qui étaient dans les camps et les ghettos, le gouvernement allemand a montré qu’il comprenait cela et était prêt à répondre aux besoins. »
Au total, en comptant les services sociaux et les paiements directs aux survivants, la Claims Conference distribuera 835 millions de dollars cette année. Le groupe fournit de l’aide à 121 000 survivants, dont 67 000 qui bénéficient de soins à domicile. « Nous nous battons pour les droits des survivants depuis 65 ans, et ce nouvel accord aura un impact énorme pour les survivants les plus vulnérables, les plus pauvres et les plus handicapés », a déclaré dans un communiqué Julius Berman, président de la Claims Conference. L’accord doit être maintenant approuvé par le Parlement allemand, ce dont nous ne doutons pas.
Les retraités allemands, dont une fraction très pauvre doit continuer à travailler dans des petits boulots mal rémunérés pour pouvoir survivre, apprécieront la largesse avec laquelle l’État allemand distribue les fonds publics à 160 000 privilégiés de la « petite communauté » qui dit avoir beaucoup souffert… Alors que dans le passé la Claims Conférence n’a pas toujours eu bonne presse et qu’elle a fait l’objet de soupçons de pratiques financières douteuses et d’accusations de manque de transparence. Certains membres de son personnel ont même été accusés d’avoir siphonné des fonds en falsifiant des milliers de demandes d’indemnisations de victimes présumées de l’oppression nazie… (Source : Bocage)
Monde
États-Unis : le tireur de dallas, suprémaciste noir, se préparait à la guerre raciale
Selon les médiats et les autorités américaines, le tireur de Dallas, assassin de 5 policiers jeudi 7 juillet, n’avait pas de lien connu, ni n’a été inspiré par un groupe terroriste international. Noir américain, Micah Xavier Johnson était réserviste de l’armée de terre américaine et avait été déployé en Afghanistan de novembre 2013 à juillet 2014. En tant que soldat il était spécialiste de maçonnerie et menuiserie. Il n’avait pas de casier judiciaire. Pendant les négociations avec la police, il a soutenu avoir agi seul en soutien du mouvement « Black Lives Matter » (« Les vies noires comptent »). Selon le chef de la police de Dallas, il a expliqué être « en colère » après la mort de Noirs aux mains de la police cette semaine, et dit qu’il voulait « tuer des Blancs, en particulier des policiers blancs ». Il a aussi affirmé qu’il « n’était affilié à aucun groupe, et a affirmé qu’il avait fait ça tout seul ».
Mais si effectivement Micah Johnson n’avait pas de lien avec des groupes terroristes islamiques internationaux, il n’en est pas pour autant un « déséquilibré » ou même un simple individu « révolté » par de prétendus bavures policières ! C’était un authentique adepte du suprémacisme noir qui se préparait à la guerre raciale et dont les actes étaient destinés à déclencher un cycle provocation-répression, voie révolutionnaire vers le « black power ».
En effet il vivait dans la banlieue de Dallas et la police américaine a retrouvé à son domicile un véritable arsenal : « En fouillant le domicile du suspect, la police a découvert du matériel servant à fabriquer des bombes, des gilets pare-balles, des fusils, des munitions et un journal personnel de tactiques de combat ».
Mais surtout Micah Xavier Johnson avait été (était toujours ?) membre du « New Black Panther Party ». Selon un des activistes du groupe, Quanell X, Micah Johnson avait été adhérent et affilié au chapitre de Houston du mouvement pendant au moins 6 mois sans préciser à quelle époque, lointaine ou récente… Et il a précisé que s’il avait quitté le mouvement, ce n’était pas pour une divergence de fond mais parce que il avait du mal à se plier à la discipline du mouvement et à la chaine de commandement…
Et des images tournés au mois d’août 2015, lors d’une démonstration de force du New Black Panther Party au Texas, semble montrer Micah Johnson (avec barbe et keffieh sur la tête) défilant armé d’un fusil d’assaut M16 et entonnant notamment les slogans du mouvement à destination des policiers : « Time to pick up the gun » (« Il est temps de prendre les armes »), « Off the pigs » (« Mort aux porcs »), « The pigs are gonna get dead » (« Les porcs vont crever »), « No more pigs in my community » (« Plus de porcs dans mon quartiers »).
États-Unis : le tireur de Dallas a été éliminé par un robot-tueur
Après avoir assassiné 5 policiers et blessé 7 autres par arme à feu jeudi 7 juillet au cours de la manifestation raciste des « Black Lives Matter » à Dallas, Micah Johnson s’est retranché dans un bâtiment pendant plusieurs heures. La police de Dallas qui disposait d’un robot Northrop Grumman Andros, conçu pour les équipes de démineurs et l’armée, l’a utilisé pour neutraliser le suspect sans mettre en danger ses hommes. Après plusieurs heures de négociations infructueuses, le robot télécommandé a été équipé d’une charge explosive qui a été déclenché à proximité de Micah Johnson.
Le maire de Dallas a affirmé que la police avait laissé au suspect la possibilité de se rendre ou de rester retranché, et que ce dernier a choisi la seconde possibilité. Il a expliqué que « le même équipement robot automatisé qui est utilisé pour faire exploser des bombes et pour les désamorcer, a été utilisé pour installer du C-4 (et le faire exploser ». « Nous n’avons pas eu d’autre choix que d’utiliser notre robot piégé, et de placer un dispositif dans son prolongement afin de le faire exploser là où était le suspect. Les autres options auraient exposé les agents à un grave danger », a dit le chef de la police de Dallas.
Irak : 40 morts dans un attentat contre un mausolée chiite
Le groupe État Islamique a revendiqué un attentat perpétré à Balad, 80 kilomètres au nord de Bagdad. Le mausolée chiite Sayed Mohamed de la ville a d’abord été frappé au mortier puis des jihadistes ont ouvert le feu à l’arme automatique avant de se faire exploser sur un marché à proximité tuant plus de 40 personnes !
L’attaque survient 5 jours après l’explosion d’un véhicule piégé dans un quartier commerçant de Bagdad, qui a fait près de 300 morts et de nombreux blessés, l’attentat le plus meurtrier qu’ait connus l’Irak. Ces actes ont suscité la colère de nombreux Irakiens face à l’incapacité du gouvernement à protéger les populations civiles et à mettre en œuvre des mesures de sécurité efficaces. L’ayatollah Ali al-Sistani, plus haute autorité religieuse chiite d’Irak, affirme que les forces de sécurité ont failli à leur tâche : « Si les autorités ne sont pas à la hauteur de leurs responsabilités et ne mettent pas un terme à ces violations de la sécurité, les terroristes vont continuer à commettre leurs crimes contre le peuple irakien ». En conséquence, le Premier ministre Haïder al-Abadi a limogé trois chefs de la sécurité et a accepté la démission du ministre de l’Intérieur.
Vidéo
Entretien d’André Figueras avec Henry Coston
Ephéméride nationaliste
11 juillet 1970 : mort de Agustín Muñoz Grandes (biographie)
Agenda
23 juillet – Ile d’Yeu : Hommage au Maréchal Pétain
© Jeune nation – 2016