Saint Edouard Roi, confesseur
Sommaire :
Actualité nationaliste Europe
- Les nationalistes brûlent des drapeaux catalans
France
- Attentats de Paris : la majorité des envahisseurs terroristes sont arrivés en Europe parmi les pseudos « migrants »
- Corbeil-Essonnes : les voisins d’une maison squattée par des Rroms excédés
- Des Musulmans prient dans la rue cinq fois par jour
- Ahmed Gdir, récidiviste, 10 mois ferme pour 2 cambriolages à Angoulême
- Licencié, Saïd Mjama met le feu à la voiture de son patron
- 263 filières d’envahisseurs ont été démantelées en 2016
- Sohiba raconte la nuit où Mimoune, son mari, a essayé de l’égorger
Etranger
Europe
- Royaume-Uni : IKEA retire sa publicité représentant un petit garçon trop ressemblant à Hitler
- Royaume-Uni : condamnation d’un imam africain pédomaniaque
- Allemagne : les envahisseurs arabes et turcs commettent 70 % des crimes juvéniles de Berlin
- Allemagne : indemnisation des déviants condamnés pour leurs mœurs sodomites
- Espagne : expulsion de l’envahisseur marocain, profanateur d’églises et salafiste jihadiste
Monde
- Irak : un drone piégé de l’État Islamique blesse des soldats français
- Yémen : les États-Unis complices d’un crime de guerre
- Australie : le projet de parodie de « mariage » des sodomites repoussé d’au moins 3 ans
Vidéo
- Discours de Charles Maurras lors de son entrée à l’Académie Française
Kiosque
- Rivarol n° 3253
Ephéméride nationaliste
- 13 octobre 1887 : naissance de Jozef Tiso
- 13 octobre 2000 : mort de Jean-Henri Azema
Agenda
- Bruxelles : Concert de Docteur Merlin – 15 octobre 2016
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Actualité nationaliste Europe
Les nationalistes brûlent des drapeaux catalans
Des centaines de nationalistes espagnols sont descendus dans les rues de Barcelone pour marcher contre l’indépendance de la Catalogne, hier.
France
Attentats de Paris : la majorité des envahisseurs terroristes sont arrivés en Europe parmi les pseudos « migrants »
Le chef de l’anti-terrorisme hongrois a affirmé que la majorité des jihadistes qui ont participé aux attentats de paris le 13 novembre 2015, sont entrés en Europe en se faisant passer pour ce que les bien-pensants appellent des « migrants » ! Sept des assaillants, qui ont tué 130 personnes et blessé plus 360 autres dans les actions offensives du 13 novembre, se sont glissés à travers les frontières de la Hongrie en se faisant passer pour des « réfugiés ». Et sur les 10 jihadistes impliqués dans la planification et l’exécution du massacre de Paris, une poignée a aussi pris part aux attaques de Bruxelles en mars 2016 qui ont coûté la vie à 32 personnes. Selon le Centre hongrois de lutte contre le terrorisme, le groupe de fanatiques islamistes avait mis en place une sorte de « plate-forme logistique » en Hongrie au cours de l’été 2015 et a commencé à utiliser la « route des Balkans » pour faire pénétrer par les pays d’Europe orientale les combattants formés en Syrie.
Les gouvernants de l’Union européenne et des États membres qui laissent se dérouler l’invasion migratoire extra-européenne depuis des dizaines d’années, et particulièrement depuis 3 ans, ont les mains pleines du sang des Européens tombés sous les coups des envahisseurs. Nous n’oublions pas !
Corbeil-Essonnes : les voisins d’une maison squattée par des Rroms excédés
Malgré le froid, l’odeur est saisissante. Les trottoirs sont jonchés d’excréments. Rue de Seine, en plein centre-ville de Corbeil-Essonnes, les riverains n’en peuvent plus. Voilà trois ans que des familles rroms squattent une maison dans la rue. Entre 30 à 60 personnes vivraient là, dans des conditions d’hygiène déplorables.
« Ils jetaient des excréments et des serviettes hygiéniques par-dessus le mur, sur ma terrasse, se plaint un voisin. J’ai dû le rehausser en installant un grillage. » Dans cette copropriété, les habitants sont excédés. « Ils jettent leurs huiles de vidange dans le caniveau, dans nos poubelles, ils ont cassé le portail pour venir se servir. Nous avons des rats dans les caves. Et tous les matins on les entend taper, ils démontent des frigos, des voitures… on a l’impression d’être à la casse. »
Le propriétaire de la maison squattée n’est autre que l’union locale CGT. Cette belle bâtisse bourgeoise était louée par le syndicat au ministère de la Justice jusqu’à il y a cinq ou six ans. Elle est ensuite restée vide. « Un jour, des Rroms sont entrés. La police les a mis dehors. Mais ils sont revenus », explique Olivier Gauthier, secrétaire de l’union locale CGT. Au départ, une association suit les quatre ou cinq familles qui sont là. « On y allait aussi, on leur demandait de nettoyer la cour, ça se passait bien. »
Mais la situation se dégrade. « D’autres familles sont arrivées. Ça nous a échappé. Ils ont viré l’association et même nous, nous n’osons plus y mettre les pieds, déplore le syndicaliste. Nous avons essayé de gérer ça humainement. On se voyait mal nous, CGT, mettre des familles à la porte. Mais là, trop, c’est trop. Nous sommes désolés pour les gens du quartier. »
Cet été, la CGT a engagé une procédure d’expulsion. « La mairie se dit prête à nous aider et à faciliter les procédures quand l’expulsion sera prononcée », assure Olivier Gauthier. D’autant qu’un acheteur a été trouvé.
Des Musulmans prient dans la rue cinq fois par jour
Lagny-sur-Marne : les musulmans font de leurs prières de rue un acte militant
Une dizaine de jeunes tiennent la place, casquettes et capuches vissées sur la tête pour certains, le verbe haut pour d’autres. À quelques mètres, une quinzaine d’autres prient à genoux sur des tapis. Nous sommes au cœur du quartier prioritaire Orly parc de Lagny-sur-Marne. En face d’une école élémentaire et devant plusieurs commerces de proximité. Depuis plus d’un mois, jusqu’à une trentaine de musulmans investissent l’espace public cinq fois par jour le temps de la prière.
Impuissante, la mairie de Lagny a verbalisé quelques-uns d’entre eux et la police municipale effectue des rondes régulières. Rien pourtant ne s’en est suivi, et les musulmans sont toujours plus déterminés. Aucun texte de loi n’encadre les prières de rue, le maire dans son pouvoir de police peut toutefois considérer la chose comme un attroupement pouvant troubler l’ordre public.
Au-delà de la pratique religieuse, ces prières prennent la forme d’un acte militant pour ces fidèles privés de mosquée depuis sa fermeture administrative dans le cadre de l’Etat d’urgence en décembre dernier. Sous surveillance des services de renseignements, la mosquée serait noyautée par une poignée de fidèles, fichés S, assignés à résidence, mis en examen pour l’un d’entre eux et suspectés de liens avec l’organisation Etat islamique. Plusieurs d’entre eux auraient rejoint les zones de combat en Syrie et en Irak, notamment l’ancien imam radical Mohamed Hamoumi qui a fui en Égypte en décembre 2014.
Dégoûtés par « le traitement médiatique et l’utilisation politique » qui ont suivi la fermeture de leur mosquée, ces musulmans ne croient plus en l’État ni en la mairie en qui ils voient désormais un ennemi. Ils ont fait de ces prières de rue un droit. « On nous a retiré notre lieu de culte, qu’est-ce que vous voulez qu’on fasse d’autre, on ne fait de mal à personne, et vous voyez, la police nous laisse faire ! », s’insurge un autre fidèle, son tapis sous le bras tandis que les anciens se font discrets et quittent la place rapidement après la prière.
Ahmed Gdir, récidiviste, 10 mois ferme pour 2 cambriolages à Angoulême
«J’avais bu, sinon je n’aurais jamais fait ça». Pour le procureur Cyril Vidalie, l’argumentaire d’Ahmed Gdir, 25 ans, qui comparaissait lundi après-midi devant le tribunal d’Angoulême pour avoir cambriolé, dans la nuit de samedi à dimanche, la boucherie et la boulangerie de la rue de Bordeaux à Angoulême, laisse à désirer.
«Il ne s’agit pas d’un geste de survie sociale, mais d’un vidage méthodique, pour lequel il ne fallait pas être si alcoolisé que cela». Le procureur rappelle que les policiers, qui ont intercepté en flagrant délit le voleur, ont retrouvé quelques mètres plus loin, 10 sacs, remplis de viande de premier choix, de l’alcool, du jus de fruit, pour 3 000 € de préjudice. Mais aussi, un tournevis et un couteau sur lui. «Pourquoi un couteau ?», interroge rhétoriquement le procureur. Et cette bouteille, que le prévenu a jetée à terre en direction des policiers quand il tentait de leur échapper.
Sur le banc des victimes, le boucher et son épouse ont décidé de ne pas se porter partie civile, mais sont venus dire le choc et les conséquences morales que ce cambriolage a eues sur eux, au-delà de la porte qu’il va falloir changer pour plus de 2000€.
Sortie de prison il y a à peine 20 jours pour d’autres cambriolages de commerces, Ahmed Gdir n’aura pas mis de temps à retrouver le chemin de la prison. Le tribunal l’a condamné à 10 mois ferme.
Licencié, Saïd Mjama met le feu à la voiture de son patron
« ON NE PEUT tout de même pas garder quelqu’un qui vient travailler seulement trois jours par semaine ! », lance la victime devant les juges. « Peu de temps avant que je le licencie, il avait justifié sa nouvelle absence en prétendant qu’il était allé au chevet de son frère aux urgences, alors que nous avons appris par la suite qu’il avait fait la fête en boîte de nuit à Montbéliard. Ce gars-là, c’est un mensonge ambulant. »
Le « gars-là » en question, Saïd Mjama, 28 ans, ne s’est ni présenté ni fait représenter à son procès.
Il lui est reproché d’avoir mis le feu à la voiture du patron qui venait de le licencier en raison de son absentéisme chronique et injustifié (licenciement qui n’a donné lieu à aucune procédure prud’homale).
L’incendie s’est produit le 1er mai 2015 à Avanne-Aveney. Il a non seulement détruit le véhicule mais s’est propagé à une autre voiture à proximité, endommageant au passage la haie de thuyas de la propriété attenante.
Et de décrire les conséquences du sinistre pour ses clients qui, très choqués, ont entrepris un suivi psychologique et ont fini par déménager, perturbés d’avoir été frappés à leur domicile, d’autant que, inquiets, leurs enfants hésitaient désormais à venir les voir et à leur confier leurs petits-enfants.
« De toute façon il m’avait prévenu », a également expliqué le patron. « Lorsque je lui ai annoncé que j’allais le licencier, il m’a dit “Moi je ne parle pas, j’agis”. Sachant qu’aujourd’hui, je sais où il est puisqu’on livre le magasin où il travaille. Et quand il nous voit, il s’en va… »
Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet en inscrivant une troisième condamnation au casier judiciaire de Saïd Mjama, à hauteur de six mois ferme.
263 filières d’envahisseurs ont été démantelées en 2016
Quelque 263 filières clandestines, animées par « plusieurs milliers d’individus », ont été démantelées en 2016, soit un bond de 25 % par rapport à l’an passé, a annoncé mardi Bernard Cazeneuve.
Ces trafiquants « exploitent des femmes, des enfants, des familles, en prélevant sur des personnes qui n’ont rien des sommes considérables pour les conduire dans des impasses », a expliqué le ministre de l’Intérieur lors des questions à l’Assemblée nationale.
Sohiba raconte la nuit où Mimoune, son mari, a essayé de l’égorger
« Je t’avais dit qu’un jour j’allais me venger. » Cette phrase, Sohiba l’a entendue alors que la lame du couteau entaillait sa gorge. A la barre de la cour d’assises des Hauts-de-Seine, mardi, elle déroule les interminables minutes de la nuit du 5 au 6 octobre 2014, lorsque son mari a surgi dans la chambre de leur appartement, à Bagneux, pour lui trancher la gorge. Et ainsi la punir d’une infidélité supposée, une « tromperie » qu’il s’est imaginée jusqu’à devenir irrationnellement jaloux.
Dans le box, Mimoune semble impassible, écoute sans réagir le récit de celle qu’il a épousée il y a seize ans. « Vers 2 ou 3 heures du matin, j’ai senti quelqu’un me tirer les cheveux par-derrière. J’ai reconnu sa voix quand il a dit qu’il avait promis de se venger. Le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait, dès que j’ai senti le couteau sur ma gorge, j’ai réagi et je me suis retrouvée de l’autre côté du lit. Il me tenait toujours par les cheveux, on s’est retrouvé par terre. Il ne lâchait pas, il voulait faire ce qu’il avait à faire : me tuer. »
Réveillé par les cris, l’aîné des enfants, 13 ans, a appelé lui-même Police secours tandis que les voisins accouraient. Parmi eux, Moussa, le voisin direct, s’est précipité dans l’appartement. « J’ai vu Madame apparaître ensanglantée. Monsieur, lui, il est sorti de l’appartement calmement », relate cet homme d’une soixantaine d’années à la barre. Comme tous dans l’immeuble de la rue Abraham-Lincoln, Moussa connaît les « scènes de ménage » du couple et surtout la violence de Mimoune à l’encontre de son épouse. Condamné à plusieurs reprises pour l’avoir frappée et s’en être pris aux enfants, Mimoune ne devait pas se trouver dans le logement familial.
Le verdict sera rendu cette semaine.
Etranger
Europe
Royaume-Uni : IKEA retire sa publicité représentant un petit garçon trop ressemblant à Hitler
L’entreprise suédoise Ikea a retiré de son magasin à Cardiff au Royaume-Uni la photo encadrée d’un petit garçon : un client estimait que la pose prise par le modèle laisse croire qu’il imite Hitler. Ce ne devait être que la photo d’un enfant qui s’amuse, encadrée dans une chambre. Disposé dans la partie « showroom » d’un magasin Ikea, ce cliché n’a pourtant pas été du goût de tout le monde. Il montre un petit garçon qui pose son index au dessus de sa bouche, mimant qu’il a une moustache, et fait partie d’une série de quatre portraits. Pour Stevie Davies-Evans qui venait acheter quelques meubles pour son appartement, ce geste implique trop de « connotations négatives » pour être utilisé ainsi. « Quand j’ai vu ce cadre au dessus d’un lit, j’ai eu un choc. Ma fille a 11 ans et ça m’embêterait beaucoup qu’elle s’inspire de cette pose inappropriée ». « Nous confirmons qu’une photographie de nature à offenser certaines sensibilités a été exposée chez nous. Nous l’avons retirée et nous présentons nos excuses à ceux qu’elle a heurtés », a fait savoir le manager du magasin.
Exemple type de la « reductio ad hitlerum » et de l’antiracisme délirant. D’un côté le malade de la « reductio ad hitlerum », cette psychose qui frappe ceux qui voient Adolph Hitler partout. Et de l’autre ceux qui confortent le malade en approuvant son délire car n’osant pas braver le totalitarisme antiraciste…
Royaume-Uni : condamnation d’un imam africain pédomaniaque
Hafiz Rahman, âgé aujourd’hui de 57 ans, est un envahisseur d’origine ou d’ascendance africaine, imam et professeur de religion islamique dans les mosquées de Dudley et Cradley Heat. Il a été reconnu coupable vendredi 7 octobre d’agressions sexuelles sur deux jeunes filles à la mosquée de Queens Cross dans les années 80. Il avait été arrêté et inculpé après que l’une des victimes, aujourd’hui âgée de 40 ans, a dénoncé à la police en 2012 qu’elle avait été agressée sexuellement étant enfant par l’imam de la mosquée, alors qu’elle était âgée de 7 ou 8 ans. Elle a affirmé que l’imam l’avait « convaincu » à l’époque de se laisser faire, en argumentant à partir du Coran. L’enquête a établi que Hafiz Rahman était l’imam de la mosquée dans ces années-là et il a été arrêté en 2014. Au cours des interrogatoires de police, il a nié avoir agressé sexuellement ou connaître la jeune fille mais l’enquête a révélé une deuxième victime permettant de compléter son cas avec d’autres accusations en janvier 2016. Le service enquêteur a déclaré : « Les abus ont commencé avec des attouchements inappropriés mais ont dégénéré à des agressions plus graves La première plaignante nous a raconté comment les abus se sont produits presque tous les jours, sans qu’elle n’en ait jamais parlé à personne en raison du au haut rang de l’imam dans la communauté et pensant qu’elle ne serait pas crue ». La peine sera prononcée à une date ultérieure par la Cour de Wolverhampton Crown.
Allemagne : les envahisseurs arabes et turcs commettent 70 % des crimes juvéniles de Berlin
Le chef de campagne d’Hillary Clinton a reçu le 21 février 2016 un dossier du renseignement extérieur américain sur l’immigration musulmane en Europe. Outre l’effet dévastateur des migrations actuelles et passées sur la criminalité dans l’Europe entière, on peut aussi y trouver des statistiques plus détaillées pour l’Allemagne. On y apprend ainsi que 70 % des crimes juvéniles à Berlin sont commis par des envahisseurs musulmans. Et plus précisément 46 % sont commis par des envahisseurs d’origine ou ascendance arabe et 33 % par des envahisseurs d’origine ou d’ascendance turque. Alors que ces catégories ne représentent que 9 % de la population à Berlin… Le rapport affirme que certains quartiers de Berlin sont composés quasi-exclusivement de populations à problème et que les enfants dès l’âge de 6 ou 7 ans n’ont plus comme modèle que des individus tombés dans la délinquance et « l’argent facile ». La police allemande admet que les quartiers abritant un grand nombre d’immigrés à Berlin, à Hambourg, dans la Ruhr sont devenus des zones dites de non-droit mais en réalité sous occupation étrangère.
Et le rapport explique les conséquences de cet état de fait : les Allemands de souche fuient ces quartiers de Berlin Ouest où le racisme et la criminalité s’exerce exclusivement contre eux. Plus généralement le rapport dit que « le racisme anti-blanc de l’espèce la plus virulente est devenue une réalité de la vie à travers l’Europe, mais peut-être nulle part plus qu’en Allemagne ».
Et il ressort du rapport également que ces situations se retrouvent à travers toute l’Europe de l’Ouest y compris dans la patrie du modèle communautaire d’intégration des envahisseurs extra-européens, le Royaume-Uni.
Allemagne : indemnisation des déviants condamnés pour leurs mœurs sodomites
Le ministre allemand de la Justice Heiko Maas annonce l’intention des autorités fédérales de réhabiliter et d’indemniser les invertis condamnés auparavant afin de « rétablir les victimes dans leur dignité ». Le projet de loi organisant à la fois l’annulation des condamnations et l’indemnisation des déviants sodomites pourrait être soumis au Bundestag dans le courant du mois d’octobre, a promis le ministre allemand de la Justice Heiko Maas, ajoutant qu’il était prévu de débloquer 30 millions d’euros pour indemniser « les victimes de l’injustice ». Il s’agit de réhabiliter et d’indemniser 50 000 hommes condamnés pour leurs mœurs sodomites.
L’ancien article 175 du Code pénal allemand, adopté en 1871 et qui condamnait « les actes sexuels contre nature (…), que ce soit entre personnes de sexe masculin ou entre hommes et animaux », avait été aggravé par une réforme de 1935 prévoyant jusqu’à 10 ans de travaux forcés. Plus de 42 000 déviants ont été condamnés à ce titre sous le IIIe Reich, envoyés en prison et pour certains en camp de concentration. Tous ont été réhabilités par une première loi de 2002 qui annulait aussi les condamnations infligées aux déserteurs de la Wehrmacht. Mais l’article 175 a été maintenu après-guerre, restant pendant des décennies la seule survivance légale des « persécutions nazies » et conduisant à 50 000 nouvelles condamnations en République Fédérale d’Allemagne. Ces procès ont eu lieu pour l’essentiel jusqu’en 1969, date à laquelle l’article 175 est revenu à sa version d’avant 1935, mais le texte n’a été abrogé qu’en 1994.
L’opinion internationale et le lobby LGBT de la subversion des mœurs et valeurs familiales saluent l’intention de Berlin de « rétablir les victimes dans leur dignité », tout en déplorant que l’initiative « arrive tard, bien trop tard », une partie des intéressés étant « morts depuis longtemps ».
Ca coutera moins cher aux Allemands qui paient déjà depuis fort longtemps pour d’autres pseudos persécutions.
Espagne : expulsion de l’envahisseur marocain, profanateur d’églises et salafiste jihadiste
Le Marocain responsable d’une série de profanations d’objets et édifices chrétiens en Espagne, dont jeune Nation avait rendu compte dans son journal du 19 septembre dernier, a été expulsé le 7 octobre par les autorités. L’envahisseur de 21 ans, Naoufal El Khayat, a été renvoyé au Maroc sur ordre du secrétaire d’État du ministère de l’Intérieur à la demande du chef de la police de la communauté autonome de Navarre. Un rapport du 16 septembre, rédigé par la Brigade provinciale d’information et la Brigade provinciale des étrangers et des frontières démontre la dangerosité du Marocain et ses « intenses activités criminelles ». Ainsi, les actes perpétrés par l’envahisseur ont pu être qualifiés d’infractions administratives « très graves » par la législation en vigueur sur les droits et les libertés des étrangers et leur intégration sociale. Mais le rapport démontre également que l’expulsion peut être motivée en raison de la participation du Marocain à des « activités contraires à la sécurité extérieure de l’État, qui peuvent endommager les relations de l’Espagne avec d’autres pays ou contraires à l’ordre public. Le citoyen marocain a attiré l’attention de ces services de par son extrême radicalisme, étant fidèle à l’un des aspects les plus radicaux de l’islam sunnite, connu comme le salafisme djihadiste ».
Pour rappel, liste des profanations perpétrées par l’adepte du salafisme jihadiste : le 8 septembre, le Marocain avait allumé un incendie dans l’église de Fontellas qui a brûlé deux statues de la Vierge du Rosaire et de Notre-Dame des Douleurs et un missel. Le 9 septembre l’envahisseur avait brûlé un drapeau qui lui rappelait le drapeau d’Israël ou une oriflamme chrétienne. Arrêté, il est relâché le 10 septembre avec une ordonnance lui enjoignant de se tenir à plus de 10 mètres de tout bâtiment où se déroule le culte catholique. Le 13 septembre, de nuit le Marocain est entré par effraction dans l’église de Ribaforada où il a vandalisé la statue de saint Barthélémy et jeté une croix en pierre depuis le toit. Il est arrêté le 14 septembre par la Garde Civile.
L’envahisseur a également était frappé d’une interdiction d’entrée sur le territoire espagnol et sur le territoire d’un quelconque des États membres de l’espace Schengen pendant 10 ans… seulement !
Monde
Irak : un drone piégé de l’État Islamique blesse des soldats français
Le gouvernement français a confirmé mercredi 12 octobre l’attaque par un drone piégé qui a blessé deux membres des forces spéciales françaises à Erbil et qui a aussi tué deux kurdes. Les deux commandos parachutistes de l’air français, très grièvement blessés dimanche 2 octobre, étaient déployés auprès des peshmergas.
Ils appartiennent au CPA-10 basé à Orléans-Bricy. Ils ont été aussitôt rapatriés en France pour être soignés à l’hôpital militaire de Percy-Clamart. L’un d’eux serait entre la vie et la mort. La discrétion du ministère de la défense tient au souci de protéger les familles des soldats, mais aussi, dans ce cas précis, au moyen employé pour cette attaque. En effet les deux hommes ont été touchés par un drone volant piégé, envoyé par un groupe lié à l’État Islamique, dans des circonstances non confirmées. Les militaires auraient intercepté le drone, avant que celui-ci explose à terre. D’autres blessés français plus légers seraient à déplorer : une dizaine de soldats français, dont certains appartenant au 1er RPIMa, ont été évacués.
Ce mode d’action contre des forces françaises est en tout état de cause inédit.
Yémen : les États-Unis complices d’un crime de guerre
L’administration de Barack Obama a donné en 2015 son feu vert à la vente à l’Arabie Saoudite d’armes pour 1,8 million de dollars, ignorant les avertissements selon lesquels les États-Unis risquaient ainsi d’être impliqués dans des crimes de guerre. Les transactions exigeaient que Riyad minimise les victimes parmi les civils et les États-Unis ont remis aux Saoudiens une liste de lieux qu’il fallait éviter de bombarder. Mais des documents émanant du département d’État, tombés entre les mains de journalistes expriment parallèlement des doutes concernant la capacité de l’Arabie saoudite à respecter ces exigences… La main droite ignore ce que fait la main gauche ?
Et le cauchemar des juristes américains du département d’État pourrait donc se concrétiser alors que la coalition saoudienne a bombardé une cérémonie funéraire en plein cœur de Sanaa, la capitale yéménite, faisant au moins 140 morts et 525 blessés samedi 8 octobre dernier. La frappe « a pu viser des personnalités de premier plan liées aux houthistes et à Saleh, présentes à la réception », note un chercheur du Conseil européen des relations internationales. Le maire de la ville, Abdulqader Hilal, a ainsi été tué, ainsi que l’ancien gouverneur de la province d’Al-Bayda Mohammed Naser Al-Amri et un puissant général rebelle, Ali Al-Dafi. Le ministère rebelle de la santé demandait la réouverture de l’aéroport de Sanaa, bloqué par la coalition saoudienne depuis des semaines pour évacuer certains blessés, conjointement avec le ministre iranien des Affaires Étrangères, Mohammad Javad Zarif, dont le pays soutient politiquement les rebelles houthistes.
La coalition de pays arabes sunnites menée par l’Arabie saoudite, qui bombarde le Yémen depuis 18 mois, a démenti tout rôle dans cette frappe particulièrement meurtrière. Mais la déclaration est peu crédible sachant que la coalition arabe a l’entière maîtrise des airs au-dessus du pays. Le Haut Commissaire des Nations-Unies pour les droits de l’homme a dénoncé lundi le « climat d’impunité » qui règne au Yémen.
Alors que les bombardements des forces russes et syriennes sur Alep, contre de vrais islamo-terroristes, sont dénoncés à longueur de colonnes dans les médiats et par les chancelleries occidentales, les bains de sang provoqués par l’Arabie Saoudite avec les armes américaines semblent peu émouvoir dans les mêmes sphères…
Australie : le projet de parodie de « mariage » des sodomites repoussé d’au moins 3 ans
Le Premier Ministre australien a présenté le mois dernier un texte au Parlement proposant un référendum sur la question du mariage des déviants pour février 2017. Mais le soutien du Parti travailliste était nécessaire, car la coalition gouvernementale ne dispose que d’un siège de majorité à la chambre basse et n’est pas majoritaire au Sénat. Mardi 11 octobre, le Parti travailliste a rejeté ce projet de référendum du gouvernement de centre-droit de Malcolm Turnbull, lui préférant la voie parlementaire. Et en conséquence l’éventuelle adoption du mariage homosexuel en Australie est reportée d’au moins 3 ans, après cette décision.
Favorable de longue date aux unions parodiques du mariage pour les déviants sodomites, Turnbull avait averti qu’en cas de rejet de son texte, aucune décision ne serait prise avant les prochaines élections législatives, qui doivent avoir lieu d’ici novembre 2019. Les déviants sodomites ont déjà accès à l’union civile mais la parodie de « mariage » était une promesse de campagne de Malcolm Turnbull, arrivé au pouvoir en septembre 2015.
Échec, temporaire certes, à la culture de mort en Australie !
Vidéo
Discours de Charles Maurras lors de son entrée à l’Académie Française
Kiosque
Rivarol
N° 3253 du 13 octobre 2016
Sommaire :
Syrie : le ton monte entre Moscou et Washington ; En exclusivité pour RIVAROL le testament du professeur Faurisson ; Théorie du genre : l’“Education nationale” dans ses basses œuvres ; La future guerre ethnique a-t-elle déjà commencé ? ; Jean-Michel VERNOCHET : “Si Daech n’existait pas il serait opportun voire urgent de l’inventer” ; Haïti, Matthews et Réchauffement Climatique pour entretenir la crétinerie globale ; Qui était Louis Pergaud, l’auteur de La Guerre des Boutons ? etc…
3,5€ en kiosque ou en ligne ici
ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande difficulté) : 100 euros.
RIVAROL 19 avenue d’Italie 75013 Paris Tél. : 01-45-86-06
Ephéméride nationaliste
13 octobre 1887 : naissance de Jozef Tiso (biographie)
13 octobre 2000 : mort de Jean-Henri Azema
Agenda
Bruxelles : Concert de Docteur Merlin
15 octobre 2016
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© Jeune nation – 2016
La Famille Lomellini, 1623, Antoine van Dyck
(National Gallery of Art – Washington)