Sommaire :
Actualité nationaliste France
- L’enquête judiciaire sur la mort de Clément Méric est terminée
Actualité nationaliste Europe
- Le Tribunal pénal international acquitte Vojislav Seselj
France
- Karim A. menace de faire sauter les locaux de pôle emploi
- Oise : accusé de braquages aux assises, il se dit victime de sa réputation
- Musulman converti, il crie «vive Daesh»… sans faire l’apologie du terrorisme !
- Le Sénat adopte le délit de consultation habituelle de sites terroristes
- Arrestations de « Camp-volant »
- Les jeudi étudiants en Normalie
- Xavier Bertrand augmente son salaire de 4000€
- La réforme Sapin II, le mépris pour l’artisanat
- 15% des sondés font encore confiance à Hollande
Étranger
Europe
- L’Église catholique polonaise intervient ouvertement dans le débat sur l’avortement
- Italie : l’infirmière qui se prenait pour Dieu
Monde
- Trump suggère de punir les femmes qui avortent
- Libye : l’Union européenne prend des sanctions contre des personnalités politiques
- Turquie : attentat à la voiture piégée contre la police
Vidéo
- La situation n’est pas catastrophique pour ceux qui financent les élus
Ephéméride nationaliste
- 1er avril 1939 : Francisco Franco est Chef de l’Etat Espagnole
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Journal du 1er avril 2016
Actualité nationaliste France
L’enquête judiciaire sur la mort de Clément Méric est terminée
Les juges d’instruction ont clôturé leur enquête le 22 mars sur l’attaque des antifas contre des jeunes militants nationalistes qui avait causé la mort d’un des agresseurs d’extrême gauche, Clément Méric, le 5 juin 2013 à Paris.
Quatre militants nationalistes sont mis en examen, dont deux pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, des faits passibles de la cour d’assises, et deux autres pour violences.
Alors ministre de l’Intérieur, Manuel Valls avait évoqué un « assassinat » et le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, avait promis de « tailler en pièces » les groupuscules d’extrême droite.
Dans la foulée, le gouvernement avait dissous l’OEuvre française, la « matrice de l’extrême-droite » selon Valls. Mouvement nationaliste qui était totalement étranger à cette affaire !
Les juges d’instruction avaient écarté une intention de tuer dans leurs mises en examen, notamment à l’égard des deux principaux mis en cause, Esteban Morillo et Samuel Dufour, qui ont été remis en liberté après plus d’un an de détention provisoire.
La fin de l’enquête judiciaire ouvre un délai théorique de trois mois durant lequel les parties peuvent encore faire des observations ou demander de nouveaux actes d’enquête.
Ensuite, il appartiendra au parquet de Paris de prendre ses réquisitions, avant la décision des juges d’instruction de renvoyer ou non les protagonistes en procès.
Actualité nationaliste Europe
Le Tribunal pénal international acquitte Vojislav Seselj
Vojislav Seselj a été acquitté jeudi matin par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) des neuf accusations qui pesaient sur lui, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, commis entre 1991 et 1993 en Bosnie-Herzégovine, Croatie et Voïvodine.
L’accusation avait requis 28 ans de prison. Vojislav Seselj, chef historique des nationalistes serbe, a suivi son propre verdict à la télévision, depuis sa résidence de Belgrade, avant de convoquer les journalistes à une triomphale conférence de presse puis d’aller fêter sa « victoire » avec ses partisans.
Il avait en effet été remis en liberté provisoire et autorisé à revenir en Serbie pour « raisons de santé » en novembre 2014, au terme de plus de onze années de détention dans la prison internationale de Scheveningen.
Vojislav Seselj a toujours été un anticommuniste convaincu : en 1984, quand la Yougoslavie était encore occupée par les bolcheviques, ce jeune professeur de droit, Serbe de Sarajevo, était condamné à huit années de prison pour « activité contre-révolutionnaire et nationalisme ».
Quand l’Etat fédéral éclate, au tournant des années 1990, il crée le Parti radical serbe (SRS), une formation disparue depuis la Seconde Guerre mondiale, et s’autoproclame « voïvode des tchétniks« , chef des unités paramilitaires serbes… Il est tour à tour opposant et partenaire de Slobodan Milosevic, et plusieurs fois ministre.
France
Karim A. menace de faire sauter les locaux de pôle emploi
La semaine passée, le demandeur d’emploi de 33 ans rend visite à l’agence Pôle Emploi de Nice-Est.
Mécontent de l’accueil, le visiteur commence à élever le ton. De fil en aiguille, il menace de tout faire sauter, s’en prenant aux «sales Français» et dans un éclair de lucidité aux Juifs !
Les pandores viennent l’interpeller à son domicile dès 11h50.
À leur tour, ils se voient gratifier d’un flot d’injures. Vendredi dernier, Karim A. a été présenté en correctionnelle dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate, pour outrages à des personnes chargées d’une mission de service public, menaces de mort et injures publiques à l’égard d’une personne en raison de son sexe.
Son procès est renvoyé au 6 mai. D’ici là, il est laissé libre sous contrôle judiciaire.
Oise : accusé de braquages aux assises, il se dit victime de sa réputation
Mamadou Sy, 25 ans, comparaît depuis mardi matin devant les assises de l’Oise. Son camarade Bakari Oukid, 25 ans qui aurait dû se trouver à ses côtés devant les jurés, est toujours en cavale. Les assises de l’Oise le jugent donc en son absence, pour le braquage de la bijouterie Histoire d’Or, commis le 16 mai 2011 dans la galerie marchande de Cora, à Saint-Maximin, mais aussi pour celui de la bijouterie Platroz de Creil, le 19 avril 2011.
Il est également poursuivi pour une tentative d’homicide sur des gendarmes, et pour avoir dérobé un véhicule sous la menace d’une arme au domicile d’un habitant de Bruyère-sur-Oise (Val-d’Oise).
Mamadou Sy, déjà 16 condamnations à son casier judiciaire dément son implication : « Je n’ai rien à voir avec ça, affirme-t-il. Je suis victime de ma réputation. » Bakari Oukid (17 condamnations), interpellé le 24 mai 2011 à l’aéroport d’Orly et incarcéré à Compiègne, il s’est fait la belle en janvier 2012, lors d’une consultation à l’hôpital.
Musulman converti, il crie «vive Daesh»… sans faire l’apologie du terrorisme…
Logan Demorgny, 20 ans est «converti depuis cinq ans ». « Je lis le coran en français et en arabe phonétique. Je suis sunnite. Pour moi, il faut couper les mains des voleurs et mettre en prison les femmes qui ne sont pas voilées. Je fais cinq prières par jour et j’allais tous les jours à la mosquée d’Amiens Nord avant d’être emprisonné », explique-t-il au policiers.
Renvoyé au tribunal pour apologie de terrorisme : « Je suis Daesh. Dès que je sors, je mets le feu au commissariat. Nique Charlie. Ils ont bien travaillé nos frères. On vous a bien niqués à Paris », il ne sera pas condamné !
Le tribunal d’Amiens a considéré mercredi 30 mars, que ces propos, proférés dans le cadre du commissariat de la ville, ne constituaient pas une apologie publique du terrorisme, pas plus que les inscriptions à la gloire de l’« État Islamique » qu’il avait affichées dans sa cellule de la maison d’arrêt. Ces deux enceintes ne seraient pas, ainsi que l’a plaidé avec succès son avocat, des lieux publics…
Il avait aussi, le 12 janvier dernier, pris en otage, bâillonné et menacé d’une fourchette un codétenu : « Je m’en suis pris à Kevin parce qu’il est chrétien », à la maison d’arrêt de la route d’Albert. Le jeune musulman a tout de même été condamné à deux ans de prison ferme.
A suivre, la semaine prochaine, quand il passera en comparution immédiate à Beauvais, pour… apologie du terrorisme. Il a réitéré ses propos dans la prison isarienne où il a été transféré, après ses exploits amiénois.
Son casier compte déjà 19 mentions et devrait bien vite s’étoffer.
Le Sénat adopte le délit de consultation habituelle de sites terroristes
Un outil de plus dans l’arsenal répressif. Le Sénat a créé mercredi un délit de consultation habituelle de sites terroristes.
Les sénateurs ont adopté un amendement en ce sens déposé par le groupe Les Républicains qui prévoit que sera sanctionnée la consultation habituelle de sites « provoquant aux actes de terrorisme, ou faisant l’apologie de ces actes, lorsque ces sites comportent des images ou représentations montrant la commission d’actes de terrorisme consistant en des atteintes volontaires à la vie ». Demain, plus ou moins discrètement, le « racisme » ou autre « antisémitisme » sera inclus dans cet amendement. Jeune nation vous en fait le pari !
Ce délit serait puni de deux ans d’emprisonnement et de 30.000 euros d’amende. Toutefois, aucune infraction ne sera commise si cette consultation entre dans le cadre d’une profession ayant pour objet d’informer le public, intervient dans le cadre de recherches scientifiques ou est réalisée afin de servir de preuve en justice.
Pour que cette mesure soit définitive, il faut qu’elle soit adoptée dans les mêmes termes à l’Assemblée, où la gauche est majoritaire.
Qui décidera jusqu’où l’opposition au système sera une liberté, un droit ou bientôt un acte de terrorisme ? Consulter Jeune Nation, bientôt un délit ?
Arrestations de « Camp-volant »
Un réseau de cambrioleurs opérant la nuit dans de nombreux départements du Sud-Ouest a été démantelé. Neuf personnes, âgées de 20 à 50 ans, tous « romanichels » et ayant de lourds antécédents judiciaires, ont été interpellées dans le Tarn-et-Garonne mardi. Leur butin est estimé à 600 000 €.
Les jeudi étudiants en Normalie
Sous fond d’une loi scandaleuse de destruction accélérée du travail par la ministre étrangère El Khomri, l’extrême-gauche multiplie impunément les rassemblements de plus en plus violents chaque semaine.
Pillage, saccage, agressions de policiers et CRS, destruction de mobilier urbain, c’est ce que subissent les principales villes de France depuis quatre semaines.
Ce jeudi, les mêmes scènes de violence se sont reproduites à Toulouse, Rouan, Lille, Strasbourg, Rennes, Paris, Nantes, où les étudiants nervis d’extrême-gauche se sont particulièrement défoulés.
Malgré des saccages de mobilier urbain considérables, de vitrines commerciales, de feux de poubelles, 13 policiers et CRS blessés, seulement une centaine de racailles a été interpellée, (certainement relâché dans la foulée) sur l’ensemble des regroupements sauvages.
Xavier Bertrand augmente son salaire de 4000€
Le président LR de la région Nord pas de Calais Picardie Xavier Bertrand, a augmenté son salaire en catimini de 4000€ par mois. Une indemnité indécente au titre de son poste de président de l’agglomération de Saint-Quentin, ajoutée à ses revenus de président de région, de 5236€, soit 9236€ brut mensuels, quand sa région est l’une des plus touchées par le chômage et l’invasion.
Pour se justifier de se servir au lieu de servir les français, le républicain exemplaire a évoqué sa situation précaire, due à sa démission de député-maire « Si j’étais resté député, ma situation aurait été plus confortable car je percevrais les mêmes indemnités ». C’est sûr que 9000€ c’est à peine suffisant pour tenir le mois, surtout qu’il y avait le dîner du CRIF le 7 mars.
Les français contraints de dormir dehors, quand les envahisseurs sont logés dans des camps de vacances, les familles qui ne parviennent pas à finir le mois apprécient.
Les français veulent un chef et des responsables qui serviront la France aux français, plutôt qu’une république de voleurs et de traitres qui se servent et servent les intérêts étrangers sur le dos des français.
La réforme Sapin II, le mépris pour l’artisanat
La réforme de l’énarque Michel Sapin sur l’emploi présentée mercredi prévoit de modifier les conditions d’accès à certaines professions de l’artisanat, comme la maçonnerie et la coiffure, qui ne nécessiteraient plus de qualifications.
Ces métiers déjà affectés par une concurrence illégale, subiront dès lors une compétitivité inégale de [travailleurs] non qualifiés peu onéreux, face à des artisans professionnels naturellement plus chers.
Non seulement Sapin dénigre les artisans et ouvriers français, mais facilite les dérives qu’engendreront inéluctablement de telles pratiques, et les répercussions qu’elles auront : chômage pour les professionnels, médiocrités, malfaçons, sinistres… pour les étrangers.
Cette réforme irresponsable s’adresse aux [ingénieurs] étrangers qu’il faut occuper, avant que les français ne s’agacent qu’ils soient logés et nourris à caillasser et agresser les automobilistes à Calais.
15% des sondés font encore confiance à Hollande
Un sondage publié jeudi démontre que le président de la république creuse pour trouver des opinions favorables. 83% des sondés ne lui font pas confiance, -1point en mars, et 69% ne font pas confiance à Manuel Valls. Il est tout de même surprenant qu’ils parviennent encore à s’attirer respectivement 15 et 27% d’opinions favorables. Les homosexuels, les délinquants et les nouveaux envahisseurs doivent fortement contribuer à ce relatif résidu de popularité.
Étranger
Europe
L’Eglise catholique polonaise intervient ouvertement dans le débat sur l’avortement.
Dans une lettre qui sera lue dimanche dans toutes les paroisses polonaises, les évêques du pays soutiennent une proposition de loi visant l’interdiction totale de l’avortement, récemment déposée au Parlement dominé par les conservateurs du parti Droit et Justice (PiS).
Actuellement, la loi limite déjà strictement l’interruption volontaire de grossesse en Pologne, et ne l’autorise que dans trois cas: risque pour la vie et la santé de la mère, examen prénatal indiquant une grave pathologie irréversible chez l’embryon, et grossesse résultant d’un viol ou d’un inceste. Selon la nouvelle proposition de loi, l’avortement ne serait plus autorisé que s’il est nécessaire pour préserver la vie de la mère.
Ce projet porte aussi la peine maximale pour la personne qui pratique l’avortement à cinq ans de prison, contre deux ans aujourd’hui.
Italie : l’infirmière qui se prenait pour Dieu
Mercredi 30 mars, la police italienne a arrêté une infirmière de 56 ans qui est soupçonnée d’avoir assassiné 13 patients de l’hôpital où elle travaillait depuis 2014. L’infirmière aurait tué les personnes qui étaient toutes dans des états graves mais non agonisantes, en leur administrant une forte dose d’anticoagulant. Les enquêteurs sont remontés jusqu’à elle grâce aux statistiques de décès anormales pour cet hôpital alors qu’elle était la seule personne présente dans tous les cas de morts suspectes.
En Italie les « anges de la mort » (ces personnes déviantes appartenant souvent au personnel médical qui s’arrogent le droit de tuer « au nom des souffrances des patients ») sont souvent justement et lourdement condamnées. Ainsi il y a quelques semaines, une infirmière arrêtée en octobre 2014 pour l’assassinat de près de 40 patients dans son service, Daniela Poggiali, a été condamnée à la prison à perpétuité par la cour d’assises de Ravenne.
Au contraire, en France où la culture de mort est plus avancée, une dangereuse quasi-impunité s’est installée ces dernières années à l’égard de ces assassins :
– en 1988, l’infirmière Malèvre est condamnée à 12 ans (elle en fera 4) pour avoir tué 6 patients.
– en 2003 le docteur Tramois prescrit une injection létale à une patiente de 65 ans en phase terminale. Elle est condamnée pour empoisonnement à un an de prison avec sursis.
– en 2004, le docteur Chaussoy de Berck injecte une dose de potassium mortelle à Vincent Lambert. Il est acquitté.
– en 2015, le docteur Bonnemaison est condamné aux assises à 2 ans de prison avec sursis pour avoir tué 7 patients en fin de vie.
Monde
Trump suggère de punir les femmes qui avortent
L’homme à la moumoute, favori des primaires républicaines pour la présidentielle américaine, a suggéré, mercredi 30 mars, de punir les femmes qui avortent, suscitant des réactions ulcérées des partisans de la culture de mort.
« Il doit y avoir une certaine forme de punition », a déclaré le milliardaire sur la chaîne MSNBC. Il a aussi affirmé qu’il fallait « interdire » l’avortement, qui a été légalisé aux Etats-Unis par une décision historique de la Cour suprême en 1973.
Le sujet divise les Américains, entre partisans de la vie et adeptes des cultures mortifères. M. Trump a publié ensuite un communiqué pour tenter de s’expliquer : « Cette question n’est pas claire et devrait revenir aux Etats pour qu’ils tranchent ».
Libye : l’Union européenne prend des sanctions contre des personnalités politiques
L’Union européenne a décidé de s’impliquer en faveur d’une résolution de la crise politique qui déchire la Libye où deux gouvernements, un à tripoli et un à Tobrouk, s’affrontent arguant chacun de leur légitimité. L’initiative européenne survient au lendemain de l’échec de la tentative de rapprochement menée, avec le soutien des Nations-Unies, par le premier ministre d’un « gouvernement d’union nationale », Faiez Sarraj, qui, arrivant à Tripoli mercredi, a été immédiatement enjoint par le gouvernement local de quitter la ville sans délai.
L’Union européenne a ainsi décidé, jeudi 31 mars, d’imposer des sanctions à trois figures de la politique libyenne jugées coupables d’« obstruction » au plan de paix conçu par l’ONU. Les sanctions consistent en interdiction de voyager en Europe et gel des avoirs financiers. Les individus sanctionnés appartiennent aux deux camps rivaux : le président du Parlement de Tobrouk, Aguila Saleh, le président du Parlement de Tripoli, Nouri Abou Sahmein, et le chef du gouvernement de Tripoli, Khalifa al-Ghweil.
La population libyenne livrée à l’anarchie, au banditisme et aux tentatives des islamo-terroristes de prendre le contrôle du territoire doit bien regretter le temps du « guide de la révolution ».
Turquie : attentat à la voiture piégée contre la police
Une voiture piégée a explosé à Diyarbakir (Sud-Est de la Turquie), province majoritairement peuplée de Kurdes, au passage d’un bus de policiers. 7 policiers ont été tués, 8 ont été blessés ainsi que 19 civils. Le président Erdogan a attribué l’attentat à « des séparatistes kurdes » et appelé les Européens à le soutenir dans la campagne militaire lancé contre ces groupes.
Si les opérations turques contre les Kurdes pourraient motiver des représailles terroristes, il ne faut pas oublier les doubles ou triples jeux que la Turquie a joué avec des groupes terroristes et avec l’État Islamique en Syrie qui pourraient aussi donner lieu à des retournements d’alliances…
Vidéo
La situation n’est pas catastrophique pour ceux qui financent les élus
Éphéméride nationaliste
1er avril 1939 : Francisco Franco est Chef de l’Etat Espagnole
La guerre civile se termine le 1er avril 1939, après la bataille de l’Èbre, qui sonne le glas des espoirs républicains, et la conquête de la Catalogne en février 1939. Le Général Franco se retrouve seul maître de l’Espagne et devient officiellement « chef de l’État ».
Il fait diffuser depuis Burgos l’« último parte », communiqué de victoire déclarant que les armées nationalistes ont atteint tous leurs objectifs militaires et que la guerre est terminée.
Il impose alors une politique empirique sur les principes du national-catholicisme. Les démocraties ne tardent guère d’ailleurs à reconnaître le nouveau régime et la France envoie le Maréchal Pétain comme premier ambassadeur dès le défilé de la victoire à Madrid
Conscient de son inexpérience en matière politique, Franco s’appuie d’abord sur son beau-frère, Ramón Serrano Súñer, la Falange et l’Église catholique, ralliée après les massacres anticléricaux de 1936, sans oublier les monarchistes carlistes.
En revanche, Franco n’est ni Falangiste, ni carliste, ni fasciste, ni libéral, ni démocrate-chrétien. Ce n’est pas un idéologue mais un militaire conservateur, déçu tout à la fois par Alphonse XIII et par la République.
Sa tactique repose sur son prestige personnel et consiste à s’entourer de toutes les familles idéologiques de son camp et à arbitrer leurs conflits sans jamais souscrire personnellement à aucune tendance.
© Jeune nation – 2016
Saint Louis reçoit Robert, patriarche de Jérusalem à Damiette, circa XIXème, Jean-Marie Oscar de Gué
– (Château de Versailles)
Lundi 4 avril, le Ministre de l’Economie assistera au traditionnel dîner de gala de la Chambre de commerce.
http://www.tribunejuive.info/france-israel/gala-de-la-chambre-de-commerce-france-israel-lundi-4-avril