Saint Jean de Kenti, confesseur.
Sommaire :
Actualité nationaliste France
Actualité nationaliste Europe
France
- Valls : « l’islam est une part indissociable de nos racines »
- A, Sourour et leur frère Hamzi: agresssion sauvage aux urgences
- Muhittin Ulug, Kurde, tue Julien le petit ami français de sa fille
- Une femme violée et des journalistes agressés par des envahisseurs Afghans
- Le FN du Var accusé de se faire passer pour la Ligue des droits de l’Homme
- Malgré 2,4 milliards d’euros de bénéfices PSA supprime plus de 2000 emplois !
Etranger
Europe
- Terrorisme et invasion migratoire : l’Union européenne craint un afflux de jihadiste
- Espagne : l’exposition antifranquiste attaquée par les indépendantistes catalans
- Royaume-Uni : la mascarade des « réfugiés mineurs isolés » de la jungle de Calais
- Suisse : un envahisseur kosovar, assassin et violeur, bientôt relâché
Monde
- L’ONU se penche sur la politique d’occupation de l’entité sioniste
- États-Unis : la bienveillance « secrète » d’Hillary Clinton pour les banksters de Wall Street
- Syrie : les rebelles jihadistes bombardent Alep malgré la suspension des frappes russes
Vidéo
- Les gangsters et la République – Au nom du drapeau (vidéo 3/3)
Kiosque
- Rivarol n° 3254
Ephéméride nationaliste
- 20 octobre 1892 : naissance de Eoin O’Duffy
- 20 octobre 2011 : mort de Yann Fouéré
Agenda
- Nice : Hommage aux victimes du 14/07/2016
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France
Valls : « l’islam est une part indissociable de nos racines »
Manuel Valls participait lundi 17 octobre dans l’Essonne, à Evry son ancien fief, à une cérémonie d’installation du conseil local de la laïcité. Extraits :
Valls a assuré que la laïcité « n’est pas dirigée » contre les musulmans mais qu’elle est là pour « les protéger » en affirmant que l’islam était « une part indissociable de notre culture et désormais de nos racines ».
Il a défendu la laïcité comme une spécificité française, « le supplément d’âme » du pays, se posant en protecteur des musulmans face aux discours « populistes » et appelant de ses vœux un « islam de France débarrassé de son poison salafiste », quand même…
« Face à ce déchaînement qui vise toujours à pointer du doigt, à trouver des boucs émissaires, moi je veux m’adresser directement (…) aux millions de musulmans français, qui pratiquent leur culte dans le respect le plus absolu des valeurs de la République… L’islam de France, comme toutes les religions, a toute sa place en France. »
« L’islam certes rencontre et pose des défis considérables à nos sociétés mais il n’est pas LE problème, (…) il n’est pas le problème qui poserait toutes les difficultés au pays. »
Manuel Valls est là dans la lignée de ses prédécesseurs, toutes tendances politiques confondues, comme l’a rappelé la revue « Militant » (n°685, septembre 2016) dans son article « La république et l’islam » : des affirmations qui prennent le relais « de celle de Lionel Jospin ignorant l’islamisation en cours et celle de Chirac sur les racines musulmanes de la France ».
Ainsi, en bon petit soldat du judaïsme politique, Manuel Valls a tenu des propos d’une violence antifrançaise et antichrétienne qui ne peuvent manquer d’encourager les envahisseurs à se sentir de plus en plus chez eux, chez nous ! C’est le plan du judaïsme politique : « déraciner » physiquement, mentalement et spirituellement les peuples pour détruire les identités et les nations.
Sabri.A, Sourour et leur frère Hamzi: agresssion sauvage aux urgences
Les trois personnes arrêtées après l’agression de deux médecins et d’un interne à l’hôpital de Tourcoing, dans la nuit de samedi à dimanche, ont été déférées en comparution immédiate lundi. Elles ont été placées sous contrôle judiciaire en attendant le procès, le 7 novembre.
Il faudra attendre le 7 novembre pour déterminer les responsabilités des auteurs présumés de l’agression de deux médecins et d’une interne, samedi soir, aux urgences du CH Dron.
Sabri A., 36 ans, sa sœur Sourour, 33 ans, et leur frère Hamzi, 18 ans, déférés lundi en comparution immédiate, ont demandé un délai pour préparer leur défense.
Le choix d’une comparution immédiate, où les prévenus sont arrivés menottés après un week-end de garde à vue, témoigne d’ailleurs de cette gravité. La représentante du ministère public a demandé un placement sous contrôle judiciaire strict. Le fond du dossier n’a donc pas été évoqué. La présidente Geneviève Créon a seulement rappelé que les deux frères et la sœur accompagnaient leur père toujours hospitalisé. Sabri A. a un casier judiciaire, des condamnations anciennes pour des délits routiers. L’homme en invalidité ne travaille pas, il vit chez ses parents.
Le trio est aussi mis en cause pour des outrages. Les deux frères et la sœur ont été placés sous contrôle judiciaire avec l’interdiction de paraître au centre hospitalier jusqu’à leur jugement.
Muhittin Ulug, Kurde, tue Julien le petit ami français de sa fille
Meurtre de Julien Videlaine à Nogent : la famille dénonce l’inaction de l’Etat
« L’enquête est bouclée, lâche Claude Videlaine, le père de Julien, massacré de dix-huit coups de couteau à l’âge de 19 ans, le 24 juillet 2014, à Nogent-sur-Oise. Les enquêteurs ont le coupable, des preuves et un témoin. » Pourtant, le suspect court toujours en dépit d’un mandat d’arrêt européen effectif depuis septembre 2014. « Il n’est pas en fuite », insiste-t-il. Une source proche de l’enquête menée par la police judiciaire de Creil confirme : « Nous savons où il se trouve. » Depuis plus d’un an, la ville de Batman, au cœur du Kurdistan turc, abriterait le suspect en fuite, mais les parents de Julien Videlaine attendent, en vain, une interpellation. Aujourd’hui, cette famille de Pont-Sainte-Maxence sort du silence d’un deuil tragique pour faire réagir les autorités françaises. « Nous demandons qu’elles exercent une pression sur la Turquie afin que le meurtrier de notre fils soit arrêté. »
Muhittin Ulug, aurait surpris le couple de 19 et 20 ans dans la salle de bains de son domicile. Sa fille, qui a témoigné avant d’être placée sous protection judiciaire, a assisté à toute la scène. Le corps du garçon a été retrouvé dans un bain de sang, nu, lacéré de dix-huit coups de couteaux dont l’un en pleine tête, un autre dans le coeur. «L’une des scènes les plus dures que j’ai vues dans ma carrière », se souvient un policier de l’agglomération creilloise. Sur les réseaux sociaux la famille du suspect a justifié l’horreur évoquant un «crime d’honneur». Celle de Julien Videlaine, elle, peine à contenir sa colère : «il n’y a pas plus lâche que de tuer, que de s’enfuir. Où peut bien être l’honneur là-dedans ?», s’interroge Claude Videlaine qui ne pourra jamais oublier ce funeste 24 juillet 2014, le jour où sa famille «s’est brisée». «Quand on a frappé chez moi, ce jour-là, j’ai cru que c’était Julien, qu’il avait encore oublié quelque chose à la maison… C’étaient des policiers venus pour m’annoncer sa mort», confie-t-il. «Tous les jours, nous allons nous recueillir au cimetière, explique le père. J’ai vu mon fils recouvert de pansements dans la chambre funéraire, j’ai demandé à voir les lieux du crime… Tous les jours, je repasse en boucle les hypothèses.» Comment le meurtrier a t-il pu s’enfuir ? Qui sont ses complices ?… «Au départ, on nous a dit qu’il se rendrait dans la nuit. Ses proches l’avaient affirmé à la police.» Cependant, il s’est échappé. «Je veux des réponses !», insiste le père qui a fait de cette arrestation un combat. «Chaque semaine, j’appelle les enquêteurs mais rien n’avance. En quinze mois, le juge d’instruction du tribunal de Senlis, en charge des investigations, a changé quatre fois. Le dernier a été nommé en octobre. A nouveau, nous repartons de zéro.»
«Julien était militaire à la Base aérienne 110 de Creil. Il servait son pays, il serait allé au combat. Aujourd’hui, que fait la France pour lui ?», interroge sa famille. Un proche du dossier souligne : «Il y a une part diplomatique dans cette affaire.» Pour faire bouger les lignes, Claude Videlaine demande aux élus locaux de se mobiliser. Il a également écrit au ministère des Affaires étrangères, à la garde des Sceaux et au président de la République. «Ces démarches ont abouti à l’installation d’un juge de liaison au sein de l’ambassade française à Ankara (Turquie). Mais, je n’ai aucun retour.» Désormais, il réclame une audience à l’Elysée. En effet, « un procès par défaut, sans accusé à la barre, je ne pourrais jamais le supporter. »
Une femme violée et des journalistes agressés par des envahisseurs Afghans
Une femme interprète victime d’un viol aux abords du bidon-ville de Calais.
Une interprète en langue pachtoune, qui accompagnait un journaliste pour réaliser un documentaire sur les mineurs étrangers isolés, a été violée dans la nuit de lundi à mardi. Les faits se sont produits entre la « jungle » et Marck, où des envahisseurs rejoignent l’A16 pour tenter le passage en Angleterre. Le procureur de Boulogne-sur-Mer Pascal Marconville a confié l’enquête à la police judiciaire de Coquelles.
Selon le Parquet de Boulogne-sur-mer, l’un des trois individus a obligé l’interprète à avoir un rapport sexuel sous la menace d’un couteau tandis que les deux autres maintenaient à distance, également avec un couteau, le journaliste de 42 ans. Lorsque les trois personnes les ont laissé partir, le journaliste et son interprète se sont rendus au commissariat de Calais et l’interprète en pachtoune de 38 ans, originaire d’Afghanistan, a été prise en charge par le CHR de Calais. Le matériel de l’équipe a également été volé.
Les trois agresseurs sont toujours recherchés…
Le FN du Var accusé de se faire passer pour la Ligue des droits de l’Homme
Un faux mail demande à un élu qui a récemment quitté le Front national d’accueillir des migrants à son domicile.
Drôle d’ambiance à Brignoles, commune LR de 15.000 habitants du Var. Romain Tardieu, conseiller municipal et ancien membre du FN, affirme avoir reçu le 12 octobre un courriel dans lequel une mystérieuse « Mélanie Perrin », qui se présente comme une responsable à la Ligue des droits de l’Homme (LDH), lui demande d’accueillir à son domicile personnel sept migrants, compte tenu de la « combativité » avec laquelle l’élu a « pris le parti sur les réseaux sociaux de défendre ceux qui fuient la guerre et la misère ».
Le courriel, sur lequel figure à deux reprises le logo de la LDH, ajoute, assez sournoisement :
« Je sais que pour vous la solidarité n’est pas un vain mot et que vos actes seront en rapport avec vos principes. »
A la LDH, personne n’a jamais entendu parler de Mélanie Perrin, la « Coordinatrice accueil ». Et pour l’association comme pour le destinataire du courrier, l’auteur de cette étrange demande d’asile ne fait aucun doute : le Front national local.
Un « épisode de plus », dans la longue série de menaces et intimidations dont Romain Tardieu affirme être la victime depuis son départ avec fracas du FN, quelques semaines avant les élections départementales de mars 2015.
Malgré 2,4 milliards d’euros de bénéfices PSA supprime plus de 2000 emplois !
Le groupe PSA compte supprimer 2 133 postes en 2017 dans ses usines françaises. Le groupe ne prévoit pas de licenciements secs. Dans le détail, 1 025 départs volontaires ne seront pas remplacés, auxquels il faut ajouter 983 congés seniors (des préretraites pour les ouvriers les plus âgés), ainsi que 125 congés longue durée.
Un comité central d’entreprise extraordinaire doit se réunir. La direction de PSA a contesté, l’interprétation des informations. « Il s’agit d’un non sujet », selon un porte-parole du groupe, qui met en avant une « politique de l’emploi responsable du constructeur qui anticipe avant tout les transformations majeures du groupe ».
Depuis début 2013 et la fermeture du site d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le constructeur automobile a supprimé 17 000 postes au total. Le contexte est pourtant bien moins morose aujourd’hui : PSA, qui était au bord du dépôt de bilan il y a quatre ans, se porte beaucoup mieux, avec des ventes en hausse de plus de 7% en Europe au premier semestre 2016.
Pour Jean-Pierre Mercier, délégué syndical central CGT du groupe PSA Peugeot-Citroën, c’est la « douche froide ». Il explique : « Ce que je retiens surtout, ce sont les 2,4 milliards d’euros de bénéfices engrangés depuis ces dix-huit derniers mois. Des milliards qui sont sortis du travail de l’ensemble des salariés. On est de moins en moins nombreux à y travailler, dans ces usines. »
« Pour nous, ces milliards doivent servir à maintenir l’emploi, c’est-à-dire à embaucher les intérimaires et les chômeurs en CDI dans les usines du groupe, poursuit le syndicaliste. Ce n’est plus possible de continuer à travailler aussi durement, aussi vite que ça. Les cadences ont explosé, l’exploitation s’est aggravée. Je suis révulsé, écœuré, choqué, révolté. »
Ceux qui restent vont travailler encore plus durement. Les départs volontaires sont de moins en moins volontaires.
« On sent dans les ateliers, mais aussi dans les bureaux d’étude, que la pression est de plus en plus forte, pour pousser les salariés à la porte. (…) C’est une explosion de la précarité, il y a de plus en plus d’intérimaires. Et pour nous, c’est intolérable ».
Etranger
Europe
Terrorisme et invasion migratoire : l’Union européenne craint un afflux de jihadiste
Alors que la bataille pour chasser l’État Islamique de Mossoul est engagée, le commissaire européen pour la sécurité a mis en garde, dans une entrevue publiée mardi 18 octobre, contre un afflux de jihadistes en Europe si leur fief irakien venait à tomber. « La reprise du fief de l’État Islamique dans le nord de l’Irak, Mossoul, peut conduire à ce que des combattants du groupe État Islamique prêts à en découdre reviennent en Europe ». « Même un petit nombre (de jihadistes) représentent une menace sérieuse, à laquelle nous devons nous préparer » en « augmentant notre capacité de résistance face à la menace terroriste », a estimé le commissaire britannique.
Des jihadistes qui n’auront vraisemblablement aucun mal à rentrer en Europe en se glissant dans le flot d’envahisseurs appelés « migrants » et des attentats comme ceux de Paris ou Bruxelles puissance dix peut-être… mais toujours aucun début de solution pratique et de décision effective pour contrer l’invasion…
Espagne : l’exposition antifranquiste attaquée par les indépendantistes catalans
La mairie de Barcelone a présenté lundi une exposition sur « l’impunité » de la dictature de Francisco Franco (1939-1975) incluant l’installation en pleine rue de statues d’époque. Intitulée « Franco, Victoire, République. Impunité et espace urbain », l’exposition est censée « jeter la lumière sur les symboles de la dictature toujours présents dans les rues de Barcelone, plus de 40 ans après la mort du dictateur, début de la transition vers la démocratie en Espagne ». Prévue jusqu’au 8 janvier 2017, elle « a pour objectif de dénoncer les crimes du franquisme et leur impunité, même en démocratie », selon Gerardo Pisarello, numéro deux de la mairie dirigée depuis 2015 par un rassemblement de gauche radicale. Il s’agit donc bien d’une dénonciation en règle et d’un dénigrement unilatéral de Franco et de l’épisode espagnol franquiste au détriment de la réconciliation nationale de l’Espagne et de la mémoire des victimes de la République espagnole et des Brigades internationales.
Hélas, pour nos antifranquistes militants, l’événement n’a pas été du tout compris des indépendantistes catalans qui ont manifesté, provoqué une controverse et se sont opposés à l’exposition. Un groupe de « victimes du franquisme » est venu manifester en silence, tandis que des indépendantistes catalans ont crié « pas de fascistes dans nos quartiers » et que des échauffourées ont éclaté. Les indépendantistes se sont opposés à l’exposition, l’accusant de banaliser la dictature franquiste qui réprima durement les nationalismes régionaux. Ils critiquent de plus l’emplacement choisi pour l’événement qui est installé dans un haut lieu de l’indépendantisme catalan.
Indépendantistes catalans contre antifranquistes militants, nous on aime !
Vidéo :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=LAf3rbDDVhQ[/youtube]
Royaume-Uni : la mascarade des « réfugiés mineurs isolés » de la jungle de Calais
Dans le cadre du démantèlement de la jungle de Calais, à titre exceptionnel, un accord franco-anglais a créé une procédure de transfert rapide des envahisseurs dit « les plus vulnérables » ou des « mineurs isolés » de la jungle vers le Royaume-Uni. Et ce sont principalement des « jeunes » afghans ou pakistanais qui profitent de cette procédure et mais il en profitent pour mentir sur leur âge réel. En effet il semble bien que deux tiers de ces pseudos réfugiés « mineurs » qui entrent au Royaume-Uni soient des adultes. Et les photos diffusées dans la presse, montrant les envahisseurs qui descendent des bus, laissent souvent peu de doute : taille, corpulence, silhouette, barbe, démontrent sans avoir besoin de l’avis d’un ethno-anthropologue que les Afghans ou Pakistanais concernés sont des majeurs ayant allègrement passés 25 ou 30 ans…
Cette situation a provoqué la colère d’un membre du parlement britannique qui a pointé le fait que « ces jeunes hommes ne ressemblent pas à des mineurs. Ces Afghans sont tout sauf des adolescents ». Le ministère de l’Intérieur britannique assure que ces garçons ont entre 14 et 17 ans même s’il n’a aucun moyen de vérifier si les « jeunes » envahisseurs en provenance de Calais sont vraiment des mineurs. Et il a fait savoir que « toutes les sources disponibles d’information pertinente et de preuves doivent être prises en compte, car aucune évaluation technique, aucune combinaison de techniques ne permettra de déterminer avec une bonne probabilité de précision l’âge du demandeur ». Cependant, les demandeurs d’asile ont droit au « bénéfice du doute », c’est-à-dire que tous ceux qui n’ont pas « l’apparence physique ou le comportement » d’un adulte « doivent être traités comme des enfants »… Dans le doute, pourquoi pas comme des nourrissons ?
Le déni de réalité gauchiste tourne à la maladie mentale.
Suisse : un envahisseur kosovar, assassin et violeur, bientôt relâché
Un envahisseur kosovar de 34 ans, vivant depuis 25 ans en Suisse, avait écopé en première instance d’une peine de prison de 9 ans, assortie d’un internement pour viol et contraintes sexuelles. En octobre 2011, il avait abusé d’une jeune femme de 23 ans. La victime avait d’abord dû lui faire une fellation pendant qu’il roulait un joint. Ensuite, l’homme avait fini par la violer. Tout au long de l’agression, il l’avait menacée avec un couteau et l’avait même légèrement blessée avec l’arme. Après l’annonce du verdict, tant le Ministère public, qui avait requis 12 ans de prison, que le prévenu avaient fait appel et le Tribunal cantonal de Zurich devait se prononcer mardi 18 octobre.
Au début de l’audience, l’envahisseur a fini par avoué son crime, confirmant que la victime avait dit la vérité. Il a ainsi non seulement avoué les contraintes sexuelles, mais aussi le viol. Les juges ont donc finalement condamné le trentenaire à 8 ans et demi de prison, dont 5 ans ont déjà été purgés ainsi qu’a dédommager la victime avec 12 000 francs suisses.
En revanche la Cour a affirmé être contrainte d’annuler l’internement d’office précédemment prononcé, ouvrant ainsi la voie à une libération rapide du violeur. En effet, l’expert psychiatre qui s’était prononcé sur la dangerosité et le risque de récidive du condamné, avait pris en compte dans son expertise les très graves faits commis par l’envahisseur alors qu’il était encore mineur : en 1999 alors âgé de 17 ans, l’envahisseur Kosovar avait non seulement participé à un vol à main armée sur une chauffeur de taxi, mais il avait également tué de plusieurs coups de couteau la mère de son ex-amie…
Or ces faits, commis pendant sa minorité, ont été effacé de son casier lorsqu’il a atteint 18 ans et selon la loi suisse il est donc devenu interdit de les utiliser pour réaliser un pronostic de récidive. Le meurtre de 1999 était l’élément principal mis en avant par l’expert psychiatre pour justifier l’internement de l’assassin violeur.
Les juges du tribunal cantonal ont affirmé mardi être obligé de faire comme si les faits commis à l’époque n’avaient jamais existé, prononçant donc l’annulation de l’internement malgré la dangerosité extrême du sujet…
Monde
L’ONU se penche sur la politique d’occupation de l’entité sioniste
Le gouvernement de Nétanyahou s’inquiète d’une possible résolution du Conseil de sécurité qui ordonnerait l’arrêt de la colonisation ou l’évacuation des Territoires occupés.
«L’ennemi intérieur». C’est ainsi que les dirigeants de l’Etat hébreu qualifient l’organisation israélienne de défense des droits de l’homme B’Tselem et le mouvement La paix maintenant après que leurs responsables ont accepté de témoigner devant le Conseil de sécurité de l’ONU à l’occasion d’une réunion organisée vendredi soir sur la situation dans les Territoires palestiniens occupés depuis juin 1967.
Benyamin Nétanyahou et ses principaux ministres visent spécialement Hagaï el-Ad, le secrétaire général de B’Tselem, qu’ils présentent comme un «menteur» et un «traître». Parce qu’il a évoqué les arrestations arbitraires, les destructions de maison et les obstacles à la libre circulation de la population locale ? Surtout parce qu’il a appelé le Conseil de sécurité «à agir concrètement pour arrêter l’occupation».
Furieux, Nétanyahou et les partis de la majorité veulent d’ailleurs punir B’Tselem. Ils promettent de voter une loi interdisant aux volontaires du service national – un substitut au service militaire armé – de travailler pour l’ONG. Plusieurs députés de la majorité annoncent également un texte supprimant l’exemption fiscale pour les dons accordés à cette organisation.
Une mesure discriminatoire supplémentaire pour B’Tselem, qui est déjà, avec une quinzaine d’autres ONG, obligée par la loi de signaler sur chacun de ses courriers et publications qu’elle est «financée par des gouvernements étrangers».
La virulence de la réaction de Nétanyahou aux propos d’El-Ad en dit long sur ses inquiétudes. Car lui et ses principaux ministres redoutent vraiment de voir, dans les prochaines semaines, le Conseil de sécurité voter une résolution ordonnant l’arrêt de la colonisation ou l’évacuation des Territoires occupés. Un texte qui aurait force exécutoire et auquel les Etats-Unis n’auraient pas, pour une fois, opposé leur véto.
États-Unis : la bienveillance « secrète » d’Hillary Clinton pour les banksters de Wall Street
Wikileaks n’en finit pas de publier des révélations fondées les fuites du courrier électronique dont Hillary Clinton a permis le piratage par sa propre négligence. Dans la fournée de la semaine, le site révèle le contenu des discours rémunérés d’Hillary Clinton à Wall Street, tenus en 2013 et 2014, après son départ du secrétariat d’État. Il s’agit entre autres de 3 interventions de la candidate à la Maison Blanche, payée pour s’exprimer par la banque Goldman Sachs, la fameuse pieuvre financière que l’on retrouve derrière de nombreux scandales dans le monde entier et dont le judaïsme politique s’est servi comme bras financier armé pour endetter et asservir des nations. La candidate démocrate y affiche sans complexe sa proximité avec le monde de la finance. Quelques extraits :
« Je vous ai tous représentés pendant huit ans », lance-t-elle, lors d’un discours lorsqu’elle évoque la crise financière de 2008 et la réforme qui a suivi, nécessaire, « pour des raisons politiques ».
Hillary Clinton affirme lors d’une autre intervention la nécessité d’avoir une « position publique » – donc officielle – et une « position privée ». Un double discours en quelque sorte qui « n’est pas très ragoûtant, mais ça a toujours été comme ça », affirme-t-elle. « Mais si tout le monde voyait les discussions en coulisses et les accords conclus, les gens deviendraient un peu nerveux ».
Elle s’y révèle aussi d’une grande hypocrisie, prenant les électeurs américains pour des imbéciles lorsqu’elle conseille, avec ironie, le patron de Goldman Sachs : « Si vous voulez vous présenter, je pense que vous devriez quitter [la banque] et lancer une soupe populaire quelque part, alors là, vous pourriez devenir une légende ».
Et la finance le lui rend bien, puisque Hillary Clinton a gagné plus de 3 millions de dollars rien qu’en 2013 pour avoir donné des conférences à des entreprises ou des banques comme Morgan Stanley, Goldman Sachs, Deutsche Bank ou UBS. Et les commentateurs ne manque pas de confirmer que « sa proximité avec les grandes banques de Wall Street est sincère, elle est sincère, établie de longue date et bien connue » selon un ancien gouverneur du Maryland. Logiquement la réaction de Wall Street à son plan de réglementation des grandes banques a été surtout pour les établissements financiers rapaces un soupir de soulagement : « Nous continuons de croire que Clinton serait l’un des meilleurs candidats pour les sociétés financières » avait écrit un analyste à l’époque…
Syrie : les rebelles jihadistes bombardent Alep malgré la suspension des frappes russes
Après les pressantes demandes internationales, Moscou a annoncé que les armées russe et syrienne suspendent « leurs frappes aériennes et tous les autres tirs » jeudi à Alep de 08h00 à 16h00 heure locale. Et sur le terrain, dès ce mardi, les frappes avaient cessé avant la date prévue, pour assurer la préparation d’une pause humanitaire. Malgré cela, au cours des 24 dernières heures, on a enregistré 51 violations du régime de cessez-le-feu à Alep. Le 18, c’est le quartier densément peuplé d’Al-Jamiliya qui a été soumis à des tirs intenses, qui ont fait au moins 3 morts et 100 blessés, dont des enfants.
En fait, l’opposition au régime de Bachar el-Assad, composée en grande partie de jihadiste que la communauté internationale s’obstine à amalgamer au sein d’une « oppositon modérée », procède régulièrement à des tirs aveugles sur la partie d’Alep détenue par les troupes fidèles au gouvernement de Damas sans distinguer les résidents civils des militaires. En effet ce sont près de la moitié des combattants insurgés, présents actuellement à Alep, qui font partie du groupe islamiste Fatah al-Cham (ex Front al-Nosra) qui a fait allégeance à al-Qaeda, et qui est donc considéré comme une organisation terroriste par le Conseil de sécurité des Nations-Unies.
Le président turc Erdogan s’est ému de la possibilité qu’un million de réfugiés supplémentaires affluent sur la Turquie depuis la ville d’Alep en cas de reprise des hostilités annonçant d’avance l’incapacité de son pays à y faire face. De son côté le président syrien, Bachar el-Assad, dans une entrevue à un médiat suisse, a déclaré que le gouvernement syrien doit débarrasser Alep des terroristes pour protéger la population : « Notre mission, conformément à la Constitution, conformément à la loi, est précisément de protéger la population, d’évincer les terroristes d’Alep. C’est là où nous pouvons protéger les civils ».
Enfin, le délégué permanent russe auprès des Nations-Unies, Vitali Tchourkine, a souhaité que le cessez-le-feu à Alep devienne permanent sous condition que la coalition américano-saoudienne accepte enfin d’agir de son influence pour séparer les forces de l’opposition modérée des jihadistes appartenant aux organisations terroristes sur le terrain…
Vidéo
Les gangsters et la République – Au nom du drapeau (vidéo 3/3)
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZB2W323L4Ys[/youtube]
Kiosque
Rivarol
N° 3254 du 20 octobre 2016
Sommaire :
Donald Trump lâché par les apparatchiks du Parti Républicain ; Suite et fin du testament du professeur Faurisson ; Thaïlande : la mort du roi au si long règne (70 ans) ; Face à la submersion migratoire la trahison n’a jamais été aussi grande ! ; Le roi de Thaïlande est mort après 70 ans de règne ! ; La légalisation du cannabis comme panacée ; La crise politique espagnole s’éternise etc…
3,5€ en kiosque ou en ligne ici
ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande difficulté) : 100 euros.
RIVAROL 19 avenue d’Italie 75013 Paris Tél. : 01-45-86-06
Ephéméride nationaliste
20 octobre 1892 : naissance de Eoin O’Duffy
20 octobre 2011 : mort de Yann Fouéré
Agenda
Nice : Hommage aux victimes du 14/07/2016
22 octobre à 14:00 – 17:00
Manifestation contre l’islamisation et le terrorisme.
Le lieu exact sera communiqué le jour même par téléphone.
Informations et renseignements : 06 14 71 80 45
© Jeune nation – 2016
Autoportrait en Pâris, 1628, Antoine van Dyck
(Wallace Collection – Londres)
Optimisation fiscale : Bpifrance organise un webinar fintech (sic) France-Israel.
http://www.bpifrance.fr/Actualites/Evenements/Webinar-fintech-France-Israel-28481