Sommaire :
Actualité nationaliste France
- Jugement du professeur Faurisson : un mois ferme et 3.000 euros requis
- La cour de cassation rejette le pourvoi de Vincent Reynouard
France
- Oussama Atar le mentor des terroristes de Bruxelles veut rallier la France
- A peine sorti de prison, Jamel Lebbader brise une bouteille sur le crâne de son rival
- Farid Bouazzan, 11 condamnations, de nouveau condamné pour menaces de mort
- Une « Franco-Tunisienne » condamnée pour apologie du terrorisme à Nice
- Ilyes Chékir, 10 ans de réclusion pour des coups mortels sur David
- Prison ferme pour une Africaine clandestine ne voulant pas partir
- Prison pour Alidiouma Cissoko, l’agresseur des agents de la préfecture
- Un vigile radicalisé fait une prière musulmane dans la fan zone de Nice
- Un homme d’origine tchétchène tué par balles dans une fusillade à Toulouse
- Le Fn ne tient pas à défendre la famille
- Yvelines : un humanitaire jugé pour le viol de 66 enfants pendant ses missions
Etranger
Europe
- Un suisse converti à l’Islam arrêté à son retour de Turquie
- Suède : le chantage pervers de la directrice d’un centre pour envahisseurs
- Hongrie : Orbán implore les Britanniques de rester dans l’Union européenne
- Allemagne : plainte contre Helma Maaß, 92 ans pour complicité d’holocauste
Monde
- États-Unis : corruption de policiers new-yorkais par des hommes d’affaires juifs
- Venezuela : émeutes de la faim et référendum révocatoire
Vidéo
- Débat entre André Frossart et Maurice Bardèche (1987)
Kiosque
- Rivarol n° 3241
Ephéméride nationaliste
- 23 juin 1753 : naissance d’Antoine de Rivarol
- 23 juin 1897 : naissance de Winifred Wagner
- 23 juin 1959 : mort de Cesare Maria De Vecchi
Agenda
- 25 juin 2016, Isère : Feux de la Saint Jean du PNF
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Actualité nationaliste France
Jugement du professeur Faurisson : un mois ferme et 3.000 euros requis
Un mois ferme et 3.000 euros d’amende ont été requis mardi à l’encontre du professeur Robert Faurisson, jugé à Paris pour « diffamation raciale » pour des propos niant l’existence des chambres à gaz lors d’une conférence à Téhéran en 2006.
Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 27 septembre.
Il avait participé les 11 et 12 décembre 2006 à Téhéran à une conférence mettant en cause la réalité de l’Holocauste.
Parmi les propos visés, Robert Faurisson avait déclaré: « Le président Ahmadinejad -alors à la tête de la république islamique d’Iran- a eu le mot juste, le prétendu ‘’Holocauste’’ des juifs est un mythe, c’est-à-dire une croyance entretenue par la crédulité ou l’ignorance ».
« Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’Etat d’Israël et le sionisme international et les principales victimes sont le peuple allemand (…) et le peuple palestinien tout entier », avait-il ajouté.
Si les propos tenus à l’étranger ne peuvent être poursuivis en France, tel n’est pas le cas lorsqu’ils sont repris sur internet comme cela a été le cas, selon l’accusation.
Trois plaintes ont été déposées contre Faurisson. Deux d’entre elles, dont l’une du garde des Sceaux de l’époque Pascal Clément, portent sur la « contestation de crime contre l’Humanité ». La troisième de la Licra vise la « diffamation raciale ».
Saisi en début d’audience de nullités de procédure, le tribunal a reporté sa décision sur la conformité des premières plaintes au 27 septembre, concentrant l’audience sur celle de la Licra. « Nous sommes face à une diffamation proférée par haine du juif », a dénoncé Me Christian Charrière-Bournazel pour la Licra.
Pour l’avocat de Robert Faurisson, Me Daniel Viguier, il est abusif de tirer cette conclusion: « Tous les habitants d’Israël ne sont pas juifs et il y a des sionistes chez les chrétiens ».
L’avocat a par ailleurs contesté que le texte de son client diffusé sur internet soit la retranscription de son discours de Téhéran qui, dit-il, n’a duré que 10 minutes et a été prononcé en anglais.
La cour de cassation rejette le pourvoi de Vincent Reynouard
Le 17 juin 2015, la cour d’appel de Caen avait condamné notre Ami à une peine d’un an d’emprisonnement pour « contestation de crime contre l’humanité ».
Dans une vidéo postée au début de l’année 2014 à quelques mois de commémorations du soixante-dixième anniversaire du débarquement, il comparait la participation de jeunes bas-normands à des voyages à Auschwitz à « un embrigadement au nom du devoir de mémoire ».
Vincent Reynouard avait saisi le Conseil constitutionnel d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) visant la loi Gayssot.
Le Conseil avait rejeté cette QPC le 8 janvier dernier. Ne restait plus que la Cour de cassation. Cette dernière a rejeté le pourvoi mardi 21 juin.
France
Oussama Atar le mentor des terroristes de Bruxelles veut rallier la France
À 32 ans, Oussama Atar est déjà un vieux routier de la zone irako-syrienne. Ce citoyen « belge » s’y est rendu pour la première fois en 2002, pour de l’humanitaire à l’en croire. Depuis, son parcours a convaincu les services antiterroristes qu’il était un djihadiste, vraisemblablement en lien avec les attentats de Bruxelles. Ainsi, le 22 mars, quelques heures seulement après les attaques, son domicile d’Anderlecht fut l’un des premiers à être perquisitionnés par les enquêteurs. Las, l’oiseau s’était envolé.
Un « message de vigilance » diffusé ces dernières heures au sein de la police française atteste de la présence d’Oussama Atar en Syrie. Surtout, il tenterait de rallier la France via l’Albanie. Les forces de l’ordre ont pour consigne de l’interpeller, tout en ayant conscience du fait qu’il s’agit d’un « combattant étranger dangereux et armé ».
A l’âge de 21 ans, il avait été arrêté en février 2005 à Ramadi (Irak). Ses proches le présentent alors comme un simple bénévole. Mais les services américains sont persuadés qu’il s’agit d’un combattant. Oussama Atar écope de dix ans de prison, qu’il purge en partie au camp Bucca, toujours en Irak. C’est là que naît Daech, fruit du rapprochement entre radicaux sunnites et laïcs anciens des services de renseignement de Saddam Hussein.
A Bucca, Atar croise Abu Bakr al- Baghdadi, l’actuel chef du groupe Etat islamique. Au terme d’une importante campagne médiatique de soutien orchestrée par sa famille, il finit par regagner la Belgique en 2012. Un an plus tard, il est arrêté alors qu’il s’apprête à rejoindre un groupe de djihadistes en Tunisie. Il revient encore au pays puis disparaît des radars. Jusqu’aux attentats de Bruxelles. Car Oussama Atar n’est rien de moins que le cousin des frères Ibrahim et Khalid el-Bakraoui. Le premier est l’un des kamikazes de l’aéroport de Zaventem, le second s’est fait exploser dans le métro.
Pour le renseignement belge, Atar était leur mentor. Son petit frère, Yacine, a d’ailleurs été interpellé après les attaques. Des traces d’explosifs ont été découvertes sur son visage et ses vêtements. Atar aurait aussi influencé Moustapha et Jawad Benhattal. Depuis samedi, cet oncle et cet autre cousin des El-Bakraoui dorment en prison. Connus pour banditisme, ils ont été arrêtés lors d’un vaste coup de filet lié à « une menace d’attentat imminente ». Des écoutes, et la présence de leur véhicule près d’une fan-zone en marge du match Irlande – Belgique, ont convaincu les autorités qu’ils préparaient une action terroriste.
A peine sorti de prison, Jamel Lebbader brise une bouteille sur le crâne de son rival
Samedi 26 avril 2014, 6 heures du matin. Les clients quittent une discothèque installée à proximité de Loisinord. Un différend entre deux groupes de jeunes gens qui a éclaté à l’intérieur de l’établissement se poursuit sur le parking. Un jeune homme étranger à l’affaire urine à proximité d’une voiture avant de regagner son domicile. Il sent que quelqu’un le pousse, puis reçoit un violent coup de bouteille qui se brise sur son crâne. Résultat : une plaie de quatre centimètres à l’arcade sourcilière et dix jours d’incapacité totale de travail.
L’auteur des violences, Jamel Lebbader, 20 ans à l’époque, est rapidement identifié par les services de police auprès de qui il avait reconnu son acte : « J’ai frappé sur la tête du gars qui avait chauffé mon copain dans la boîte… Il s’en prenait aussi à ma copine », leur avait-il déclaré. Une version contredite par des témoins et le film des caméras de surveillance. En revanche, Jamel Lebbader ne déclarera rien au tribunal puisqu’il ne s’est pas présenté à l’audience.
Le prévenu, avec cinq condamnations au casier, était sorti de détention le jour même.
Le tribunal est allé au-delà des réquisitions : Jamel Lebbader écope de huit mois ferme, la révocation de dix mois prononcés dans le passé et il est désormais sous mandat d’arrêt.
Farid Bouazzan, 11 condamnations, de nouveau condamné pour menaces de mort
Déjà condamné à 11 reprise, Reconnu coupable de menaces contre un policier messin et sa famille depuis deux ans par le biais des réseaux sociaux, ce trentenaire résidant à Montigny-lès-Metz, déjà condamné à onze reprise par la justice, a été écroué. Le policier a demandé sa mutation dans un autre service. A l’origine de cette affaire, une interpellation en 2014 que le condamné n’a pas digéré.
Farid Bouazzan a été condamné lundi 20 juin 2016 par le tribunal correctionnel de Metz à 18 mois de prison dont 6 mois de prison ferme.
Une « Franco-Tunisienne » condamnée pour apologie du terrorisme à Nice
Une « Franco-Tunisienne » de 28 ans, fichée S, avait été contrôlée à l’aéroport de Nice, de retour de Tunisie. Son téléphone et sa tablette numérique étaient bourrés de propagande de Daesh, des centaines de vidéos et photos de décapitation notamment.
Placée en garde à vue, elle a été condamnée à trois ans de prison ferme pour apologie du terrorisme. Une décision de justice qui a incité Eric Ciotti, président du conseil départemental, de suspendre l’allocation du Revenu de solidarité active (RSA) dont bénéficiait cette jeune femme.
« Devant la gravité de ces faits, j’ai décidé de mettre fin immédiatement au versement de son allocation. La situation de cette habitante du Cannet, qui percevait régulièrement le RSA depuis avril 2014, fait en outre, dès à présent, l’objet d’un contrôle approfondi en vue de sa radiation rétroactive du RSA. Le départ prolongé pour l’étranger d’un allocataire du RSA constitue, en effet, un motif d’interruption de son versement et, s’il est établi, permet d’en exiger le remboursement a posteriori. »
En novembre 2014 déjà, un cas semblable avait entraîné la même décision du conseil général de l’époque.
« Il n’est pas tolérable que l’attribution d’une allocation permettant le retour rapide vers l’emploi des plus fragiles de notre société soit détournée abusivement pour constituer un revenu d’appoint à des individus qui portent atteinte à la sécurité des Français et aux intérêts du pays », conclut Eric Ciotti.
Ilyes Chékir, 10 ans de réclusion pour des coups mortels sur David
Le 21 octobre 2013, à Nantes, un homme de 39 ans est mort. A leur arrivée, pour atteindre le corps de David Marquis, les secours ont dû traverser un grand désordre, bouteilles d’alcools, vêtements souillés et verre brisé. La victime, elle, avait la peau du visage brûlée.
Son colocataire, Ilyes Chékir, 37 ans, était jugé depuis jeudi par la cour d’assises de Loire-Atlantique pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner et abstention de porter secours. Pendant l’enquête et jusqu’à l’ouverture de son procès d’assises, il a toujours clamé son innocence.
Ilyes Chékir a finalement été reconnu coupable, lundi soir, d’avoir frappé son colocataire et d’avoir brûlé son visage, provoquant involontairement sa mort. Il est condamné à 10 ans de réclusion criminelle. A sa sortie de détention, le Tunisien sera, définitivement, interdit de territoire français.
Prison ferme pour une Africaine clandestine ne voulant pas partir
Une femme de nationalité angolaise a été condamnée à 2 mois de prison ferme.
En situation irrégulière en France, elle avait multiplié les recours avant que la justice n’ordonne son expulsion, lui reprochant également le vol d’un téléphone portable à Saint-Etienne.
Mais la femme a à deux reprises refusé d’embarquer dans l’avion qui la ramenait dans son pays. A la justice, elle a expliqué qu’elle tentait désespérément de retrouver son père qui vit à Toulouse. Une version qui n’a pas convaincue puisqu’elle n’a jamais quitté la région depuis son arrivée en France.
Prison pour Alidiouma Cissoko, l’agresseur des agents de la préfecture
Alidiouma Cissoko reconnaît volontiers être impulsif. Une impulsivité qu’ont pu mesurer les agents du service carte grise de la préfecture de Beauvais, jeudi dernier. Parce qu’ils refusaient de lui délivrer un duplicata de permis de conduire, ils ont essuyé les foudres de Cissoko. Incontrôlable, le « Creillois » de 22 ans a forcé la porte des guichets avant de s’en prendre aux agents et de les menacer de mort. Des menaces qu’il réitérera devant les policiers qui tentaient de le maîtriser. Dans sa fureur, Cissoko assènera même plusieurs coups de poing à l’un des motards de la police nationale appelé à la rescousse.
Pour ces menaces, ces violences et ces outrages, Cissoko a été condamné, lundi, à 18 mois de prison dont 10 assortis du sursis.
Un vigile radicalisé fait une prière musulmane dans la fan zone de Nice
L’agent de sécurité privé, embauché par un fournisseur de bière de la fan zone, a effectué une prière musulmane au sein de celle-ci vendredi soir, alors que, selon un arrêté municipal, les actes de prosélytisme sont interdits dans cet espace, souligne la mairie dans un communiqué.
« Nous avons demandé à la police nationale d’intervenir immédiatement et d’exfiltrer cet individu. Après un simple contrôle d’identité, aucune poursuite n’a été engagée », précise Christian Estrosi.
« J’affirme que cette personne, dont j’ai désormais l’identité, appartient à une mouvance radicale », affirme l’élu, en interpellant le gouvernement sur son « laxisme ».
« Je demande avec gravité à l’État de faire toute transparence sur ce dossier et d’expliquer pourquoi cet agent de sécurité a pu travailler dans cet espace, alors même que les services de l’État ont procédé à des contrôles sur l’ensemble des accréditations », insiste-t-il.
Un homme d’origine tchétchène tué par balles dans une fusillade à Toulouse
Un homme d’origine tchétchène a été tué, un autre a été blessé, durant la nuit de mardi à mercredi à Toulouse.
Il a été tué par les balles d’un homme armé, passager d’un scooter qui a pris la fuite.
Un autre homme a été blessé mais ses jours ne sont pas en danger. Les deux blessés ont été évacués mais l’un d’eux, âgé de 32 ans, a succombé à ses blessures par balle lors de son transport à l’hôpital, rapportent les pompiers.
L’enquête a été confiée au Service régional de police judiciaire de Toulouse.
Le Fn ne tient pas à défendre la famille
Lu dans Minute :
« Le colloque était intitulé « Pour une France fraternelle » mais son visuel ne laissait pas de doute : il devait être principalement consacré à la famille. Enfin un colloque du Front national sur la famille ! Hélas, trois fois hélas… Cet événement organisé par Louis Aliot et annoncé pour ce mardi 21 juin a été discrètement annulé. Raison invoquée : la salle réservée pour la conférence, dans les locaux du Parlement européen boulevard Saint-Germain à Paris, où le Front national avait déjà organisé des événements sous couvert du groupe Europe des nations et des libertés (ENL), est devenue subitement indisponible. Si c’est pas un coup de pas de chance, ça… »
D’après nos informations, ce sont des pressions internes qui ont fait annuler ce colloque, ce qui vient confirmer cette seconde information :
« Quand la scoumoune s’abat sur la famille, ce n’est pas à moitié. Nous annoncions la semaine dernière la prochaine naissance d’un Cercle Fraternité, consacré à la famille, au sein des Clubs Idées Nation de Louis Aliot, après que le Rassemblement Bleu Marine avait refusé d’accueillir le nouveau-né. Hélas, trois fois hélas… (bis). L’annonce était prématurée. Pas de sa constitution robuste qui lui permettrait d’ores et déjà d’affronter la vie politique mais de sa venue au monde. L’arrivée du Cercle Fraternité a été différée. Reportée à une date ultérieure. Le cas aurait été évoqué en bureau politique et il n’aurait pas été jugé « opportun » de lancer cette structure… »
Yvelines : un humanitaire jugé pour le viol de 66 enfants pendant ses missions
La Cour d’assises des Yvelines juge depuis le 21 juin un homme accusé de viols et agressions sexuelles sur plus de 66 enfants entre 2002 et 2011. Le pédomane de 52 ans, Thierry Darmentière, militant d’une organisation humanitaire bretonne, profitait de ses missions à l’étranger pour assouvir ses pratiques criminelles perverses. L’enquête a donc établi qu’il était allé au Sri Lanka à 21 reprises entre 2005 et 2012, mais aussi en Tunisie et en Égypte, où une quarantaine d’enfants victimes ont été identifiés. Si la Tunisie et l’Égypte avaient coopéré, d’autres victimes auraient sans doute été identifiées, selon les enquêteurs. Il a été confondu grâce à des informations transmises par le FBI aux enquêteurs français. « Sous couvert d’humanitaire, des pédophiles profitent de l’implantation des ONG sur place pour approcher des enfants », explique à la cour la commissaire de police affectée à l’Office central pour la répression des violences aux personnes, en charge des investigations. « Après le séisme au Népal, on a observé ce même type de phénomène », ajoute-t-elle.
Mercredi, l’avocat général a requis une peine de 18 années de réclusion criminelle contre ce « cynique », « manipulateur », qui s’est « fabriqué une couverture avec son engagement humanitaire ».
Voilà encore une fois l’illustration de ce que les « héros humanitaires modernes » pressés d’aller soulager la misère humaine, surtout lorsque c’est à l’autre bout de la planète, ne sont pas toujours animés des sentiments les plus charitables et désintéressés…
Etranger
Europe
Un suisse converti à l’Islam arrêté à son retour de Turquie
Après les premiers départs de Genevois sur le chemin du djihad, voici le premier retour. Parmi les cinq cas connus des autorités, un Suisse de 21 ans, converti, disparu pendant six mois, vient d’être arrêté à l’aéroport de Zurich. Placé en détention préventive, il est accusé d’être en lien avec une organisation terroriste, a appris la Tribune de Genève. C’est le dixième retour de ce genre en Suisse.
Dans quel but A. est-il parti ? A-t-il rejoint ou comptait-il rejoindre la Syrie ou l’Irak ? Qu’a-t-il fait pendant six mois ? Pour une raison que l’on ignore, A. aurait passé en tout cas les dernières semaines dans un camp fermé en Turquie. Il aurait finalement révélé son identité dans le but d’approcher les autorités suisses pour pouvoir rentrer à la maison.
Pourquoi ? A-t-il changé d’idée ou revient-il avec des intentions peu louables ? Autant de zones d’ombre que les enquêteurs doivent éclaircir, non sans difficulté.
En fait, les investigations sont menées depuis des mois. «Le MPC a ouvert le 19 février une procédure pénale contre ce citoyen suisse, révèle André Marty. Il lui est reproché d’avoir enfreint l’art. 2 de la loi fédérale interdisant les groupes Al-Qaida et Etat islamique et les organisations apparentées. Il est en outre prévenu de soutien, respectivement de participation à une organisation criminelle, selon l’art. 260ter du Code pénal.» A. risque jusqu’à cinq ans de prison. L’affaire est suffisamment grave pour que le Tribunal des mesures de contrainte ait ordonné trois mois de détention préventive.
Exceptionnelle, «cette arrestation illustre la poursuite conséquente sur le plan pénal de toutes les personnes en Suisse étant soupçonnées de vouloir rejoindre des organisations djihadistes», précise le porte-parole. Le MPC a de quoi faire avec plus d’une soixantaine de procédures liées à cette menace.
Suède : le chantage pervers de la directrice d’un centre pour envahisseurs
Une enquête a été ouverte en Suède à l’encontre de la directrice d’un centre d’accueil pour envahisseurs. La femme aurait forcé deux mineurs afghans à avoir des rapports sexuels avec elle sous peine de les renvoyer dans leurs pays. Les 2 envahisseurs se sont d’abord plaints auprès des services sociaux, puis des forces de police suédoise, sans succès. Conseillés par un membre de la famille qui vit en Suède, ils ont contacté un journal suédois qui s’est alors emparé de l’affaire, et s’est procuré les images… des ébats entre la directrice et ces mineurs ! En effet la directrice perverse du centre aurait imposé aux jeunes afghans de filmer certaines de leurs relations. La police suédoise enquête.
Cela illustre parfaitement combien, souvent, les plus empressés à faire venir, accueillir et s’occuper des envahisseurs, n’ont pas que des motivations pures et charitables
Hongrie : Orbán implore les Britanniques de rester dans l’Union européenne
À l’approche du référendum du 23 juin sur le Brexit, le Premier ministre populiste, Viktor Orbán, connu pour son euroscepticisme, publie une lettre dans la presse britannique implorant les électeurs de maintenir le lien avec Bruxelles. Il explique : « La décision est la vôtre, mais la Hongrie est très fière d’être un membre de l’UE avec vous ». Il a même décidé de faire campagne pour le maintien du Royaume-Uni au sein de l’Union par le biais d’une publicité dans les journaux britanniques.
En effet, malgré son euroscepticisme, Budapest estime que sans Londres, le projet de construction d’une Europe puissante et influente s’affaiblirait. Et Viktor Orbán sait qu’il a besoin d’alliés à l’intérieur du système s’il veut le réformer. Le porte-parole du gouvernement, Zoltán Kovács, a déclaré que « le gouvernement hongrois est souvent accusé d’être anti-européen, cependant avec cette position « pro-européenne », il montre qu’il croit résolument et fermement dans les résultats importants de l’Union, même si souvent il imagine l’avenir du continent autrement ».
De plus la date choisie pour la publication de sa lettre ouverte n’est pas des plus opportunes : elle coïncide avec le 25e anniversaire du départ des dernières troupes russes du sol hongrois alors qu’Orbán, à l’époque défenseur des États-nations forts, avait fait irruption sur la scène politique en 1989 avec un discours exigeant que les soldats russes quittent la Hongrie.
Victor Orban n’est finalement devenu qu’un vague conservateur eurosceptique, certes opposé aux flux d’invasion massive du continent par des extra-européens, mais pas vraiment convaincu de la nécessité de mettre à bas une Union européenne irréformable, en voie de soviétisation et devenant de plus en plus une véritable prison des peuples !
Allemagne : plainte contre Helma Maaß, 92 ans pour complicité d’holocauste
Helma Maaß, allemande de 92 ans, devra peut-être se justifier bientôt devant le Tribunal de grande instance de Kiel pour avoir travaillé dans le camp d’Auschwitz comme télégraphe. Le ministère public de Schleswig l’accuse d’être complice du meurtre de 266 390 personnes entre avril et juillet 1944 dans les chambres à gaz du camp d’Auschwitz. Selon la plainte, en tant que « membre de l’administration de la SS », elle a soutenu « les exécutions dans les chambres à gaz d’Auschwitz-Birkenau ». Selon les accusateurs, elle ne pouvait ignorer ce qui se passait à Auschwitz durant les quelques semaines où elle y travailla en 1944, avant de rejoindre l’administration du camp de concentration alsacien de Natzweiler, alors qu’elle était chargée de transmettre des messages chiffrés aux plus hautes instances de l’appareil nazi qui faisaient état de l’activité du camp d’extermination. Précisant même qu’il arrivait parfois que le zyklon B, le gaz utilisé prétendument pour exterminer les déportés à leur arrivée au camp, était commandé par message radio. L’accusation est prête depuis un an mais, la femme étant infirme, il n’est pas certain qu’elle puisse supporter la procédure pénale. Une évaluation de son état de santé est en cours.
S’il a lieu, son procès s’inscrira dans la vague de procédures plus que tardives (70 ans plus tard) qui a débuté en 2011 avec la condamnation à une peine de 5 ans contre John Demjanjuk, ancien gardien du camp d’extermination de Sobibor alors âgé de 90 ans. Puis qui s’est poursuivie en 2015 avec Oskar Gröning, ancien comptable d’Auschwitz qui a été lui aussi condamné par la justice allemande à 4 ans de réclusion.
Pas de justice là-dedans, seulement une haine inexpugnable destinée à impressionner et soumettre le goy.
Monde
États-Unis : corruption de policiers new-yorkais par des hommes d’affaires juifs
Jeune Nation avait rendu compte de l’enquête lancée par le FBI sur la police de la ville de New York au mois d’avril dernier au sein de laquelle des officiers étaient soupçonnés de s’être laissés corrompre. L’enquête a trouvé son premier aboutissement lundi 20 juin avec l’arrestation de 3 responsables de la police et d’un homme d’affaires de Brooklyn, Jeremy Reichberg, influent membre de la communauté juive de la ville. Les 3 policiers sont accusés d’avoir reçu depuis 2012 des dizaines de milliers de dollars en voyages, repas, bijoux et autres cadeaux, en échange de « services » dans le cadre de leurs fonctions. Les faveurs accordées par les policiers corrompus avaient donc pour bénéficiaires Jeremy Reichberg et un autre homme d’affaire juif mais également les instances religieuses ou communautaires juives de la ville de New York.
Les faveurs accordées par les policiers étaient variées : suppression de contravention, escortes policières avec sirènes pour les déplacements de Reichberg et ses « amis », dispersion de manifestants devant le magasin d’un associé de Reichberg, passe-droit pour accéder à des parades, patrouilles de police près de sites religieux juifs, voire fermeture d’une voie du Lincoln Tunnel pour faciliter les déplacements d’un homme d’affaires visitant les États-Unis ou encore la délivrance de permis d’armes à feu sans vérification.
En échange de leurs services, les policiers avaient pu bénéficier de voyages en jets privés avec Jeremy Reichberg vers Israël ou Las Vegas pour le Super Bowl (la finale du championnat de football américain), avec prostituées à bord, hôtels et repas payés. Ils avaient reçu des bijoux, fait faire gratuitement des travaux dans leurs domiciles…
Venezuela : émeutes de la faim et référendum révocatoire
Pendant des années, croissance et développement issus de la production pétrolière, ont fait du Venezuela un miracle en Amérique latine. Mais la chute des prix du baril a tout balayé. La République bolivarienne du Venezuela, qui compte un peu plus de 30 millions d’habitants, est désormais au bord de la faillite. Les produits y compris alimentaires, de première nécessité manquent conduisant à des émeutes, des pillages et une augmentation phénoménale de la corruption et de la criminalité. À Caracas, les établissements scolaires sont devenus trop dangereux et les enfants restent à la maison pendant que leurs parents cherchent de la nourriture. Quant à la situation sanitaire, elle est encore plus désastreuse du fait des infrastructures qui tombent en ruine, de la pénurie de médicaments qui font exploser la mortalité.
Le président Maduro refusait de négocier avec les États-Unis pour résoudre la situation, considérant qu’ils sont responsables de la situation critique de son pays. Mais poussé par l’urgence, il a accepté de recevoir un diplomate de Washington. En attendant, les citoyens du pays pressent leur gouvernement de leur trouver à manger.
En parallèle, l’opposition a lancé un processus pour demander un référendum contre le président Maduro, qui a réuni plus d’un million et demi de signatures. Le gouvernement a échoué à empêcher le processus, il tente maintenant de le retarder en organisant une procédure de validation par nouveau recueil des signatures et empreintes digitales.
Le Venezuela est le premier producteur de pétrole au monde ce qui ne peut manquer d’attirer l’intérêt et la convoitise américaine. Il est donc probable que les États-Unis se tiennent en embuscade dans l’attente de la chute de Maduro, voire ne soient pas pour rien dans ce qui lui arrive…
Vidéo
Débat entre André Frossart et Maurice Bardèche (1987)
https://www.youtube.com/watch?v=BdUXJ–rCnY
Kiosque
Rivarol
N° 3241 du 23 juin 2016
Sommaire :
Les liaisons dangereuses entre terrorisme et démocratie ; Que penser de la crise à Radio Courtoisie ? ; Non à une rue Robespierre à Paris ! ; Les Britanniques seront-ils lâches ou braves ? ; Tir à vue sur la cible Croatie ; La finale des jeux intermarxistes ; Le meurtre de la députée travailliste Jo Cox entre complotisme et exploitation ; Journaliste et théologienne, la Danoise Tranholm en croisade contre l’invasion islamique etc…
3,5€ en kiosque ou en ligne ici
ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande difficulté) : 100 euros.
RIVAROL 19 avenue d’Italie 75013 Paris Tél. : 01-45-86-06-39
Ephéméride nationaliste
23 juin 1753 : naissance d’Antoine de Rivarol
23 juin 1897 : naissance de Winifred Wagner
23 juin 1959 : mort de Cesare Maria De Vecchi
Agenda
25 juin 2016, Isère : Feux de la Saint Jean du PNF
© Jeune nation – 2016
Napoléon III à la bataille de Solférino, 1863, Jean-Louis-Ernest Meissonier
Alternativ fur Deutschland refuse d’exclure un de ses membres au nom de la liberté d’expression.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/06/21/97001-20160621FILWWW00358-un-elu-allemand-afd-accuse-de-negationnisme.php
https://de.wikipedia.org/wiki/Wolfgang_Gedeon
Le ghetto de Venise fete son 500e anniversaire. A l’occasion d’une representation de la piece de Shakespeare « le Marchand de Venise », un proces symbolique sera preside par la Juge Supreme US Ruth Bader Ginsburg.
http://www.algemeiner.com/2016/06/20/merchant-of-venice-to-be-staged-for-first-time-in-italian-jewish-ghetto-as-area-marks-500th-anniversary/