Saint Raphaël, Archange.
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Marseille : violente agression contre le local et les militants d’Action Française
France
- Calais: déjà 210 millions d’euros dépensés en deux ans pour les envahisseurs
- Youssouf Fofana du gang des barbares est de retour au tribunal de Paris
- Yacine lance un galet de 2,5 kg et défigure un enfant
- Un Algérien suspecté d’un meurtre à Roubaix arrêté 2 ans plus tard en Jordanie
- Un Tunisien interpellé pour 36 vols avec violences sur personnes âgées
- En djellaba, Rachid Slami, fiché S, frappe des enfants au Lidl
- 5 ans de prison pour Zakia Medkour, l’ex compagne d’un homme battu
- Encore une vingtaine d’élus frontistes démissionnent – il n’y plus de groupe FN à la Métropole Aix-Marseille
- Paris : les policiers veulent les « francs-maçons en prison » !
- Albi : «Ici vous êtes sur une terre d’Allah. C’est pas des mécréants qui vont nous dicter leur loi »
- Marseille : plainte contre l’abattage rituel juif par une association communautaire
Etranger
Europe
- Invasion migratoire : la complicité active des traîtres « humanitaires », des États et de l’UE
- Italie : manifestation massive de colons islamiques devant le Colisée
- Grèce : des parents inquiets contre le danger sanitaire des envahisseurs risquent des poursuites pour racisme !
- Suède : incendies volontaires de 2 centres d’accueil pour envahisseurs
- Pays-Bas : harcèlement raciste des Turcs et Marocains contre le seul enfant blanc de la classe
Monde
- Afghanistan : la culture du pavot repart à la hausse
- Québec : série d’agressions sexuelles par des suspects de couleur à l’Université
Ephéméride nationaliste
- 24 octobre 1925 : naissance d’Emile Marotel
- 24 octobre 1945 : assassinat de Vidkun Quisling
- 24 octobre 1958 : mort de Henri Béraud
Agenda
- 6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
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Actualité nationaliste en France
Marseille : violente agression contre le local et les militants d’Action Française
La Fédération de l’Action française en Provence est implantée depuis quelques années dans le 6ème arrondissement de Marseille. Son siège connait, ces derniers mois, une recrudescence d’actes violents à son encontre. Vendredi 21 octobre elle organisait une conférence dans son local. Vers 22h30 alors que les derniers participants quittaient les lieux, une trentaine de militants de l’Action antifasciste, cagoulés et armés de triques et de bouteilles en verre ont fait irruption frappant les militants présents. L’un d’eux est grièvement blessé au crane.
Cette agression vraisemblablement préméditée survient quelques heures après la publication d’un communiqué du député PS Patrick Menucci demandant au maire de Marseille la fermeture du local. Dans un communiqué l’Action Française Provence dénonce la collusion certaine et le partage des taches entre un parti socialiste prétendument respectable et une extrême-gauche qui ne cache pas ses méthodes violentes. L’Action Française Provence souligne que le député, dans son communiqué, ne fait que valider le raisonnement fallacieux des antifascistes pour qui les agressés portent la responsabilité de l’existence de leurs agresseurs.
L’Action Française Provence annonce ne pas céder aux intimidations qui n’entament pas la détermination de ses militants.
France
Calais: déjà 210 millions d’euros dépensés en deux ans pour les envahisseurs
Plus de 210 millions d’euros déjà dépensés ! Et encore plus de 110 millions d’euros en 2017 quand le bidon-ville sera démantelée pour payer les seuls centres d’accueil et d’orientation créés par le gouvernement pour accueillir les envahissuers. Cette « facture de Calais », est la pièce maîtresse d’un document parlementaire qui doit être discuté à l’Assemblée nationale demain, mardi. Il s’agit de l’évaluation réalisée par le député les Républicains (LR) des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti, dans le cadre du rapport du budget de l’asile pour 2017.
Youssouf Fofana du gang des barbares est de retour au tribunal de Paris
Le procès du bourreau d’Ilan Halimi pour tentatives d’extorsion et menaces sur une quarantaine de personnes, entre 2002 et 2004, va –enfin- se tenir. Ce sera en janvier 2017…
Youssouf Fofana, le bourreau d’Ilan Halimi, n’en a pas fini avec la justice. L’autoproclamé chef du sinistre « gang des barbares » comparaîtra en janvier prochain devant le tribunal correctionnel de Paris pour y répondre de multiples tentatives d’extorsion. Des faits très anciens, antérieurs au rapt et au supplice du jeune retrouvé mort en février 2006. Près de quinze ans après les premiers actes dont il est suspecté, Youssouf Fofana, 36 ans, sera jugé du 10 au 13 janvier prochain.
Beaucoup moins connu que l’affaire d’Ilan Halimi, ce dossier revêt pourtant une importance particulière : ses contours portent en germe le mode opératoire que Fofana utilisera pour piéger le jeune vendeur de téléphones. Entre avril 2002 et octobre 2004, Youssouf Fofana est soupçonné d’avoir menacé 45 personnes, principalement de hauts dirigeants d’entreprise. Des personnalités en tout cas susceptibles de disposer d’une importante surface financière et auxquelles le maître chanteur est allé jusqu’à réclamer 500 000 $ !
Pour tenter de faire plier les grands patrons, Youssouf Fofana utilise non pas un appât comme avec Ilan Halimi mais la terreur. En 2002, il réclame à ses six premières victimes le versement de « l’impôt palestinien ». Dans quatre cas, les courriers ont été précédés de la dépose de grenades trafiquées au domicile de ses cibles. Le maître chanteur fixe la remise de rançon à la station Châtelet du RER, mais les surveillances policières n’aboutissent pas. En 2004, il est suspecté d’envoyer une nouvelle salve de courriers aussi menaçants que délirants. Certains sont accompagnés d’une cassette vidéo d’un homme cagoulé manipulant une arme. Fofana est également accusé d’avoir lancé deux cocktails Molotov dans la cour de l’ancien de président de Médecins sans frontières (((Rony Brauman))), une de ses cibles, et d’avoir piégé la voiture d’un couple de Sceaux (Hauts- de-Seine). D’autres victimes ont reçu des photos d’un homme au visage dissimulé, grenades ou lance- roquettes en mains, prises devant leur domicile. Aucune cible ne cède à cet odieux chantage. A l’époque, la police ne parvient pas à identifier l’auteur des courriers. Mais les investigations sur l’enlèvement et la mort d’Ilan Halimi menant à l’arrestation de Fofana vont révéler de troublantes coïncidences avec ce dossier. Plusieurs éléments matériels le confondent. En dépit de nombreux indices et d’aveux partiels, il nie sa participation à cette campagne de tentatives de chantage.
Le temps pris par l’instruction du dossier Halimi, soldé en décembre 2010 par la condamnation en appel de Fofana à la perpétuité, explique en partie la lenteur avec laquelle ce dossier a été traité. Il aura fallu attendre le 16 février 2015 pour qu’un juge d’instruction ordonne son renvoi devant le tribunal. Et près de deux ans supplémentaires pour audiencer le procès !
Yacine lance un galet de 2,5 kg et défigure un enfant
Yacine, un « Sorguais » de papier âgé de 28 ans, a perdu de son emploi dans une entreprise de dératisation. Au fil des semaines, son état psychologique s’est dégradé et la non-reconnaissance en maladie professionnelle de ses problèmes pulmonaires, a été la goutte d’eau de trop.
Le 26 janvier 2015, en fin d’après-midi, après une visite chez le médecin de la Sécurité sociale, il a laissé éclater sa colère, en rentrant au domicile familial de Sorgues. Il a brisé une cafetière et s’en est pris à son père qu’il aurait frappé. Une « simple bousculade », assurent aujourd’hui à l’unisson Yacine et son père, qui minimisent la scène. Finalement, la mère de Yacine a accepté pour le calmer, qu’il sorte du logement. Dans le jardin, Yacine s’est emparé d’un galet décoratif de 2,5 kg, a franchi le portail, et l’a lancé sur la route. Au même moment, une dame qui venait de récupérer ses deux petits-enfants à l’école, est passée devant la maison au volant de son véhicule Citroën DS4. La pierre a brisé la vitre arrière et percuté en plein visage son petit-fils. L’enfant, âgé de 8 ans, va être défiguré et devra ensuite subir une intervention chirurgicale pour retirer les morceaux de verre et réparer le fracas facial.
Pour la partie civile, il n’y a pas de place au hasard : « Le projectile a été lancé volontairement sur le véhicule. Un geste délibéré qui aurait pu tuer l’enfant », insiste Me Leroy.
Malgté ça, le tribunal a condamné Yacine à la peine requise de 18 mois de prison dont 14 avec sursis (les 4 mois restant sont couvert par la préventive !) et une mise à l’épreuve pendant trois ans avec obligation de soins. Le tribunal ordonne une expertise médicale de la victime et renvoie le dossier sur intérêts civils à l’audience du 22 juin 2017.
Un Algérien suspecté d’un meurtre à Roubaix arrêté 2 ans plus tard en Jordanie
Le corps de la victime n’avait été retrouvé que deux ans après le crime, totalement momifié. Un ressortissant algérien soupçonné d’avoir tué son épouse en 2014 a été arrêté en Jordanie. Le corps de sa femme, âgée d’une trentaine d’années, avait été découvert en juin par un huissier dans le quartier populaire de l’Alma, à Roubaix (Nord).
L’autopsie du corps de cette femme isolée, dont la famille vivait en Algérie, avait révélé beaucoup «de traces de sang et des coups de couteaux». Un juge d’instruction du tribunal de Lille avait alors émis un mandat d’arrêt international à l’encontre de l’ex-époux de la victime.
Cet Algérien de 44 ans s’est finalement fait arrêter le 9 octobre à Amman, la capitale jordanienne, grâce à des recherches menées «en étroite coopération policière» avec les autorités locales. Écroué dans une prison du pays, le mis en cause devrait être transféré en France dans les prochains mois.
Un Tunisien interpellé pour 36 vols avec violences sur personnes âgées
D’avril à juin 2016, 36 personnes âgées ont été victimes de vols avec violences, à Rouen et dans l’agglomération.
Le mis en cause a fait 36 victimes en l’espace de quatre mois, essentiellement dans le quartier Saint-Sever à Rouen et celui du Jardin des Plantes, mais aussi à Bois-Guillaume et Déville-lès-Rouen, dans l’agglomération. Les faits se sont déroulés entre avril et juillet 2016, à l’encontre de personnes âgées : 36 au total, dont trois hommes. À chaque fois, les victimes se trouvaient sur la voie publique ou entraient dans l’ascenseur de leur immeuble, quand elles ont été agressées pour leurs bijoux. Des vols commis avec une grande violence, portant majoritairement sur des colliers arrachés. La brigade criminelle de la Sûreté départementale a interpellé un suspect, après une enquête minutieuse…
L’une des victimes, âgée de 69 ans, avait été grièvement blessée lors de l’agression. Souffrant d’une fracture du rachis, elle avait été hospitalisée durant 13 jours et 60 jours d’ITT (Interruption totale de travail) lui avaient été prescrits. La brigade criminelle, après différents recoupements, notamment quant au mode opératoire utilisé, a mis 36 faits de violence en évidence et a décidé de mettre en place un dispositif de surveillance dans le secteur où le nombre d’agressions avait été le plus important, à savoir entre Saint-Sever et le Jardin des Plantes ».
Un concours de circonstances a finalement aidé les enquêteurs de la brigade criminelle dans leurs investigations : une des victimes, agressée le 2 juin 2016, a en effet croisé une nouvelle fois le suspect le 22 juin. Elle a alors eu la présence d’esprit de le photographier avec son téléphone portable et de transmettre la photo aux enquêteurs, qui ont pu exploiter ce fichier, pour découvrir l’identité du mis en cause. Celui-ci n’utilisait d’ailleurs pas sa vraie identité, mais un alias.
Durant la même période, le 28 juin, la brigade anti-criminalité veut contrôler un homme, qui prend la fuite. Ce dernier est toutefois interpellé : sur lui, les policiers retrouvent une arme à impulsion électrique et un poing américain. Il est placé en garde à vue pour port d’armes prohibées (catégorie D2).
La photo prise par l’une des victimes va permettre aux enquêteurs de la brigade criminelle d’identifier l’homme en garde à vue. Après des recherches, ils ont déterminé qu’il était âgé de 23 ans, d’origine tunisienne et en situation irrégulière sur le territoire. Il a été placé au centre de rétention administrative, du 28 juin au 5 juillet 2016, date où il devait être présenté au juge des libertés et de la détention », poursuit cette même source judiciaire.
Sauf qu’au moment d’être présenté au juge, le mis en cause est parvenu à fausser compagnie à ses gardiens et à prendre la fuite. Activement recherché, il a finalement été une nouvelle fois interpellé le 13 juillet et placé en rétention administrative. Il a été incarcéré le 12 août. Libérable le 20 octobre, il a été extrait de la maison d’arrêt le 19, pour être placé en garde à vue : durant son audition, il a nié les 36 faits de violences sur les personnes âgées dont il est soupçonné. Une information judiciaire devrait être ouverte à son encontre, pour vols avec violences sur personnes vulnérables.
En djellaba, Rachid Slami, fiché S, frappe des enfants au Lidl
Rachid Slami laissera un souvenir tenace à ceux qu’il aura croisés. Le 19 août dernier, il débarque, barbu et en djellaba, sur le parking du Lidl de Lomme. À vélo, il fond sur les passants avant de se mettre à taper sur les clients.
Dans le box, ce jeudi dernier au tribunal de Lille, l’homme ne cesse de geindre : « J’avais cessé de prendre mon traitement… ». Le 19 août dernier, ce garçon sous curatelle déboule sur le parking d’un magasin Lidl de Lomme. Une dame traverse le parking ? Elle a droit à une attaque bélier. Une autre passe ? L’intrus lui jette son vélo à la tête. La démonstration aurait pu s’arrêter là. Pourquoi donc ? Slami pénètre dans la grande surface et avise une gamine de douze ans. La petite a droit à deux atémis sur la nuque. Hurlement de la mère qui, du coup, attire la foudre du forcené sur elle. La dernière cible de la famille sera Karim Zidi, agent de sécurité. À son tour de subir une pluie de coups.
Manon Dugast, son avocate, relativise, deux phrases hurlées par son client au moment de sa crise : « Je suis un bon musulman ! Vous êtes tous des juifs ! »
Slami est déjà riche d’un casier judiciaire bien fourni. La procureure Elsa Gaussin réclame douze mois de prison, dont huit avec sursis et mise à l’épreuve. Ce sera finalement huit mois, dont cinq SME, avec maintien en détention.
5 ans de prison pour Zakia Medkour, l’ex compagne d’un homme battu
Elle l’avait battu, humilié : cinq ans de prison dont une partie avec sursis ont été requis jeudi dernier devant la cour d’appel de Paris à l’encontre de Zakia Medkour, 45 ans, pour avoir exercé des violences durant 15 mois sur son ex-compagnon Maxime Gaget
En première instance, le tribunal l’avait condamnée en mai 2015 à trois ans de prison dont 18 mois ferme et plus de 200.000 euros d’indemnisation. Mais le parquet, qui avait requis cinq ans de prison ferme – soit le maximum encouru – et un mandat de dépôt, avait fait appel. Ce dossier est « une arithmétique de l’horreur », a résumé l’avocate générale en rappelant le long calvaire de violences subies par la victime, humiliée, battue, torturée. Elle a également retenu contre la prévenue le vol de documents d’identité, l’escroquerie et la menace.
La cour a mis son arrêt en délibéré au 25 novembre. « Je m’excuse de l’avoir fait souffrir.
Interrogé par la cour sur le processus qui l’a conduit à rester au côté de son bourreau alors qu’il aurait pu s’enfuir, Maxime Gaget, 39 ans, a décrit ‘une « escalade incontrôlable » avec « la séduction comme arme, la soustraction de pièces d’identité et la violence psychologique pour contrôler, l’exploitation des documents pour escroquer et le début des violences physiques, la réduction en esclavage et les tortures. La cinquième étape, c’était la mort et j’en ai été très proche ».
Maxime Gaget avait rencontré Zakia Medkour en 2007 sur internet et avait emménagé sept mois plus tard avec elle. Mais la romance a vite tourné au cauchemar. Licencié de son travail, il devient une sorte d' »esclave domestique », obligé à dormir sur le sol dans l’entrée, sans accès à la salle de bain. Il est dépouillé de ses économies et menacé d’être dénoncé comme pédophile s’il se rebelle. Les sévices qu’il subit, coups de poings, de manche à balai, de tabouret et brûlures, lui vaudront deux hospitalisations.
Encore une vingtaine d’élus frontistes démissionnent – il n’y plus de groupe FN à la Métropole Aix-Marseille
Une vingtaine d’élus Front national viennent de démissionner dans les Bouches-du-Rhône, notamment à Marseille où il n’y a désormais plus de groupe FN représenté à la métropole.
La semaine dernière, trois nouveaux élus ont décidé de lâcher le maire FN du 7e secteur de la ville, Stéphane Ravier. Conséquence : le FN ne peut plus siéger à la Métropole Aix-Marseille. En effet, il faut un minimum de 18 conseillers et aujourd’hui ils ne sont plus que 16.
Parmi ces frontistes démissionnaires, on trouve Marie Mustachia qui, avec son collègue Antoine Maggio, vient de démissionner. Cette militante FN, fonctionnaire et âgé d’une cinquantaine d’années, était chargée des finances à la mairie des 13e et 14e arrondissements à Marseille. Elle a démissionné après un an et demi de travail en tant que première adjointe. « Le bilan est désastreux. Rien n’a été réalisé. Nous n’avons jamais fait notre rôle d’élu », déplore-t-elle ainsi. « Je suis déçue du parti, je quitte le Front national », annonce-t-elle encore.
Marie Mustachia explique que plusieurs élus FN locaux ont « fait appel aux grandes instances à Nanterre » mais qu' »ils n’ont apporté aucune solution ». Pour elle, le bilan est sans appel : « J’en déduis que si l’on n’est pas capable de gérer une situation de crise avec 150.000 habitants, je ne vois pas comment on peut gouverner un pays ».
Ces démissions touchent également d’autres villes comme Aix, Istres ou La Ciotat. Ces élus sont partis en guerre contre les méthodes de leur chef, le sénateur-maire Stéphane Ravier, surnommé « le leader nord-phocéen ».
Reste que pas moins d’une soixantaine d’élus FN ont démissionné de leur mandat en moins de deux ans sur la région Paca.
Paris : les policiers veulent les « francs-maçons en prison » !
Dans le cortège des policiers protestants contre le gouvernement jeudi 20 octobre, des manifestants scandent « Francs-Maçons en prison » ! Il s’agit d’un message clair de défiance à l’égard de l’encadrement et de la haute hiérarchie policière qui sont quasi complètement gangrénés par la franc-maçonnerie.
Albi : «Ici vous êtes sur une terre d’Allah. C’est pas des mécréants qui vont nous dicter leur loi »
Deux policiers en tenue du commissariat d’Albi ont été blessés lors d’une interpellation, dans la soirée de mercredi, quartier de Rayssac à Albi.
À 21 h 20, le commissariat d’Albi reçoit un appel dénonçant de jeunes perturbateurs dans le hall du bâtiment L7, rue du Maréchal-Juin. Selon un premier rapport, 6 hommes, en tenue et en civil, se rendent sur place. Ils constatent que le hall est effectivement occupé par 4 jeunes, dont 2 connus de leurs services, l’un fumant tranquillement un joint tandis que son voisin « buvait de l’alcool ». Selon la police, la prise de contact a été tranquille. Les fonctionnaires, dans un premier temps, auraient demandé au fumeur d’écraser son joint, au buveur d’aller boire ailleurs et à tous de dégager de là. Mais le ton serait rapidement monté, le « fumeur » et le « buveur », âgés de 22 et 23 ans, deviennent agressifs, proférant insultes, références à Allah et menaces de mort.
« Ici vous êtes sur une terre d’Allah. C’est pas des mécréants qui vont nous dicter leur loi… Je vais te tuer, toi et ta famille » Ces propos, cités dans le rapport des policiers, auraient précédé une confrontation physique avec l’un des jeunes, auteur d’un coup de poing dans la figure d’un policier, avant d’être maîtrisé et plaqué au sol. Un deuxième jeune, interpellé dans la foulée, aurait cravaté le policier pour tenter de lui faire lâcher prise. Un des policiers, blessé au visage, a une ITT de 3 jours, sous réserve d’examens ultérieurs. L’autre, blessé à la main, n’est pas arrêté.
Pendant leur garde à vue les deux jeunes n’ont reconnu ni la version des policiers, ni, en dehors d’insultes, les propos à caractère religieux dont ils les accusent. À ce point de l’enquête, hier le parquet n’a pas demandé leur comparution.
Ils ont été laissés libres vers 18 h…
Marseille : plainte contre l’abattage rituel juif par une association communautaire
« L214 », une association de défense des animaux, dénonce l’abattage rituel de poulets ayant lieu avant la fête juive de Yom Kippour et annonce avoir porté plainte à Marseille vendredi 21 octobre. « L214 a porté plainte en début de semaine auprès du procureur de Marseille. La mise à mort d’animaux dits d’élevage est interdite en dehors d’abattoirs agréés », selon l’association, après la diffusion sur internet d’une vidéo montrant une dizaine de poulets égorgés et malmenés dans la cour d’un centre communautaire juif de la citée phocéenne. Chez certains juifs orthodoxes, la fête de Yom Kippour comprend un rituel (le kapparot) causant la souffrance et l’agonie de centaines de milliers de jeunes oiseaux. « L214 a reçu des images filmées dimanche 9 octobre dans la cour d’un centre communautaire juif à Marseille. Elles montrent des dizaines d’oiseaux égorgés vifs, lâchés sans ménagement dans un cône de signalisation retourné, puis jetés à plusieurs mètres de distance ». « L214 a également écrit au grand rabbin de France, Haïm Korsia et au grand rabbin de Marseille, Rav Réouven Ohana, pour leur demander de prendre position en faveur des animaux tués lors du Kapparot et de renoncer à ce sacrifice archaïque ».
L’association fait observer qu’en Israël, le ministre de l’Agriculture « encourage le public à poursuivre cette coutume importante sans recourir à l’abattage de poulets, mais en réalisant à la place un don d’argent », au profit des personnes dans le besoin. Elle suggère donc de substituer un don d’argent au sacrifice d’un poulet…
L’association aura-t-elle gain de cause auprès des institutions communautaires et sera-t-elle entendue du Procureur de la république. Rien n’est moins sûr…
Etranger
Europe
Invasion migratoire : la complicité active des traîtres « humanitaires », des États et de l’UE
Un navire irlandais, le « Samuel Beckett » a porté assistance à une vingtaine d’embarcations et importé 772 envahisseurs au cours d’une opération complexe dite de « recherche et de sauvetage » au large de la côte de Tripoli, en Libye, le 21 octobre. L’opération a eu lieu à la requête du Centre de sauvetage et de coordination de la marine italienne. Au cours de cette seule journée de vendredi plus de 3 300 envahisseurs ont été aidés à rejoindre les côtes européennes ! Et le lendemain, samedi 22 octobre, une vingtaine d’opérations ont été menées au large de la Libye selon les gardes-côtes italiens, qui ont conduit à importer encore en Europe plus de 2 400 envahisseurs…
Le bilan de la semaine s’établit ainsi à plus de 8 000 envahisseurs aidés par les marines européennes, les équipes de Frontex et les navires affrétés par des organisations pseudo humanitaires. Ces traîtres et idéologues délirants multiplient les sorties au large de la Libye afin de venir en aide aux envahisseurs qui affluent ces dernières semaines.
Ce qui laisse présager d’une invasion record au mois d’octobre dont le chiffre devrait s’établir autour de 20 000 envahisseurs supplémentaires sur le sol européen…
Scandale à l’intérieur du scandale : ces opérations de « sauvetage » encouragent les envahisseurs à se lancer de plus en plus nombreux dans la traversée sachant que des navires européens les attendent au-delà des 12 milles nautiques des côtes c’est-à-dire dès qu’ils auront franchi la limite des eaux internationales.
Alors que les gardes-côtes libyens tentent semble-t-il, eux, à l’intérieur de leurs eaux territoriales, avec leurs faibles moyens, d’enrayer les départs ! Ainsi, des traîtres allemands de l’organisation « Sea Watch » rapporte que le 20 octobre un de leur navire a été envoyé par les gardes-côtes italiens au secours d’un canot pneumatique surchargé, à 14 milles nautiques au large de Sabrata. Mettant leurs 2 embarcations à l’eau pour commencer à distribuer des gilets de sauvetage aux envahisseurs, ils ont vu arriver des hommes armés sur un navire portant l’insigne des gardes-côtes libyens qui ont sauté à bord du canot pour tenter d’empêcher leur départ en confisquant leur moteur. Le canot s’est percé et rapidement dégonflé, et la plupart des envahisseurs se sont retrouvés à l’eau. Mais selon les allemands, les équipes de « Sea-Watch » ont réussi à secourir 120 personnes et à récupérer quatre corps…
L’Union européenne se trouve ainsi en pleine contradiction avec elle-même et avec l’utilisation qu’elle fait de fonds provenant des contribuables européens. D’un côté elle finance et organise ces criminelles opérations visant à aller chercher les envahisseurs au large de la Libye ; et de l’autre elle prévoit de former et équiper les gardes-côtes libyens pour qu’ils puissent empêcher les bateaux de partir, dans le cadre de son opération navale anti-passeurs « Sophia » lancée au printemps 2015…
La France doit rapidement sortir de cette schizophrène construction bureaucratique qui enchaîne et ruine les peuples.
Italie : manifestation massive de colons islamiques devant le Colisée
Plusieurs centaines de colons musulmans ont organisé le 21 octobre une grande manifestation sous forme de prière devant le Colisée à Rome, pour protester contre la fermeture récente de 5 mosquées dans la capitale italienne. « Les autorités ont fermé ces derniers temps cinq lieux de culte pour des irrégularités administratives », a déclaré M. Bacciu, envahisseur originaire du Bangladesh, et organisateurs de la manifestation. « Il est vrai qu’il y a eu quelques problèmes administratifs, des toilettes en moins ou en plus, mais ce n’est pas une raison suffisante pour fermer un lieu de culte. Et nous ne savons pas en plus qui a ordonné ces fermetures, tout le monde nie en être à l’origine, la municipalité, la préfecture, le ministère de l’Intérieur », a-t-il ajouté.
A l’écart des hommes qui scandaient « Allah Akbar », des femmes et des enfants ont prié dans un espace délimité entre plusieurs arbres par une grande toile bleue. M. Bacciu a rejeté l’argument selon lequel des imams risquent d’inciter à la violence dans les lieux de culte irréguliers. Selon lui, un grand nombre de musulmans comme lui « ne comprennent que quelques mots d’arabe et vont à la mosquée pour être en communion avec Dieu », a-t-il ajouté
Un Italien, traître inverti à l’islam conquérant, a clairement affirmé pour sa part la revendication politique de la manifestation : « Il n’y a pas de volonté politique de reconnaître notre présence sur le territoire. Donc nous sommes obligés de louer des locaux et nous nous mettons à prier. Parce que la prière, pour celui qui veut cultiver la dimension spirituelle, c’est comme l’air. Si nous ne prions pas, nous mourons ».
Contrairement à l’idée que les musulmans auraient besoin de bâtiments comme lieu de culte, en réalité selon le Coran et Mahomet la prière ne nécessite absolument pas que les croyants se réunissent en un lieu. Dans l’islam, la mosquée n’est pas essentiellement un lieu de culte mais plutôt un centre politico-éducatif, judiciaire et culturel destiné à assoir, faire appliquer et propager la loi islamique, la charia ! La revendication de mosquée est ainsi bien évidemment le masque de la colonisation étrangère : le maître d’un territoire étant celui qui y fait appliquer sa loi.
Grèce : des parents inquiets contre le danger sanitaire des envahisseurs risquent des poursuites pour racisme !
Vingt écoles à travers la Grèce ont ouvert leurs portes lundi 10 octobre aux premiers des 1 500 envahisseurs mineurs accueillis dans le cadre d’un programme gouvernemental de cours d’après-midi. À Profitis en Thessalonique, l’opération ne s’est pas déroulée dans le calme que les autorités auraient souhaité. Les parents d’élèves grecs s’inquiètent de la situation sécuritaire et des risques sanitaires provoqués par ces nouveaux envahisseurs avec la résurgence des cas de tuberculose, de VIH et de maladies cutanées alors que les « travailleurs humanitaires », les complices de l’invasion, portent, eux des masques chirurgicaux… « Nos enfants seront violés et qui va en assumer la responsabilité ? On nous a dit que ces enfants sont vaccinés mais nous n’y croyons pas », scandaient certains parents en brandissant des drapeaux grecs. Ainsi, une centaine de policiers ont dû former un couloir pour assurer l’entrée d’un nombre équivalent d’enfants d’envahisseurs dans l’établissement.
Et le 13 octobre on a appris qu’un procureur a lancé une enquête préliminaire pour déterminer si les lois antiraciste ont été violées dans ce village de Profitis par la protestation des parents contre la présence des enfants d’envahisseurs à l’école primaire locale. Selon des sources judiciaires, l’enquête examinera si l’affichage public de l’opposition, par la violence, des déclarations, des rassemblements et d’autres moyens, est une motivation raciale et si elle pourrait constituer une menace pour l’ordre public.
Le ministère de l’Éducation, qui a assuré que les enfants qui allaient suivre les cours d’après-midi étaient vaccinés, a souligné que l’accueil des pseudos réfugiés dans la plupart des autres écoles avait été enthousiaste. Dans une école de Thessalonique, des enfants grecs ont accueilli leurs nouveaux condisciples avec des applaudissements. Et d’autres écoles vont graduellement ouvrir dans le pays prochainement pour permettre la scolarisation de milliers d’enfants de ces « migrants » qui déferlent en Grèce et en Europe depuis plusieurs années. Le gouvernement grec a ainsi promis la scolarisation de plus de 10 000 d’entre eux d’ici la fin du mois d’octobre.
Un mouvement similaire de protestation avait déjà eu lieu : en septembre, des parents grecs dans le quartier d’Oreokastro près de Thessalonique avaient menacé de ne pas laisser les enfants d’envahisseurs entrer dans l’école pour des raisons de santé, une mobilisation que le gouvernement avait alors condamnée. Avec les poursuites engagées, les autorités grecques passent ainsi à la vitesse supérieure contre leur propre population dont le seul tort est de s’inquiéter des conditions de travail et d’étude de leurs enfants.
Le martyre des peuples européens ne durera pas toujours…
Suède : incendies volontaires de 2 centres d’accueil pour envahisseurs
Un centre d’accueil occupé par 37 pseudos réfugiés mais vrais envahisseurs a été détruit par un incendie dans le quartier de Fagersjo, banlieue sud de la municipalité de Stockhlom. Le bâtiment a été ravagé par les flammes dimanche 16 octobre au petit matin. La police a ouvert une enquête criminelle préliminaire mais n’a pas de suspect, affirmant que les enquêteurs devaient prendre connaissance d’abord de toutes les menaces dont le centre a pu faire l’objet. L’incendie est vraisemblablement d’origine criminelle, le personnel du centre ayant témoigné qu’un inconnu avait déjà tenté de mettre le feu au bâtiment le vendredi soir précédent. Des bidons d’huile avait été retrouvé dans un four sur les lieux mais le personnel d’astreinte à ce moment-là avait pu éteindre le foyer avant que l’incendie se propage.
Un autre incendie avait éclaté peu avant 2 heures à Sigtuna, ville aisée de la banlieue nord de Stockholm. Il a également ravagé complètement le bâtiment où logeaient 9 envahisseurs ayant demandé l’asile. « Une enquête préliminaire a été ouverte pour incendie volontaire », a indiqué la police dans un communiqué, comme elle le fait systématiquement dans pareil cas. Elle n’a pas précisé si elle avait des éléments pour conforter cette hypothèse.
L’année 2015, où la Suède a connu un pic de demandes d’asile, a été marquée par une vague d’une vingtaine d’incendies dans les centres pour réfugiés, la plupart d’origine volontaire. Mais les enquêtes ont rarement permis de retrouver leurs auteurs. En effet le territoire suédois a été violé par plus de 163 000 envahisseurs ayant demandé l’asile politique, c’est-à-dire plus que tout autre pays européen en proportion de sa population (plus de 9 millions d’habitants).
Ces incendies contre des centres d’hébergement d’envahisseurs interviennent alors que la criminalité a explosé dans le pays. À Malmö, troisième plus grande ville de Suède plus de 70 véhicules ont été volontairement brûlé depuis le mois de juillet. L’augmentation du taux de criminalité a contraint la police à inclure plus de 55 quartiers sur une liste des « territoires interdits ». Interdits à la police et aux autorités sous peine d’agression massive et délibéré par les populations étrangères qui les colonisent, ces territoires sont classés en 3 catégories depuis la « zone à risque » jusqu’à la zone de « danger extrême ». Les médiats rapportent que ce pays scandinave a vu une augmentation exponentielle de sa criminalité depuis le début de l’invasion migratoire de l’Europe et notamment une explosion des agressions sexuelles, du trafic de drogue, de la délinquance des mineurs et des détentions et ports d’armes. Cette évolution est tellement hors de contrôle que 3 policiers démissionnent chaque jour et que les recrutements ont chuté par manque de candidats.
Pays-Bas : harcèlement raciste des Turcs et Marocains contre le seul enfant blanc de la classe
Un garçon de 13 ans d’Amsterdam est le seul enfant blanc dans sa classe. Et cela n’a pas été facile. Il a été maltraité et victime d’intimidations pour le seul fait de sa couleur de peau. L’adolescent a tenu pendant 2 mois complets mais il s’est ensuite effondré. Ses camarades de classe ne parlaient que le turc et le marocain et le garçon n’a pas pu évidemment tisser de lien au point qu’il prenait seul ses repas à la cantine.
Mi-octobre, l’enfant est revenu la maison en pleurant : « L’école n’a pas pu lui offrir un environnement sûr. Nous avons alors décidé de le chercher à l’école », a déclaré Peter van der Lichte, le père de l’enfant victime du harcèlement raciste des enfants d’envahisseurs marocains et turcs.
Les parents de l’enfant avaient choisi ce collège Waterland parce qu’il y avait un département de sport que leur fils voulait fréquenter. La mère de l’enfant met en cause la direction du collège qui ne les a pas prévenu de la situation raciale que leur fils rencontrerait dans cette classe : « Il n’a pas été dit lors de l’entrevue d’admission que mon fils serait le seul garçon blanc. (…) Il a vraiment fait de son mieux, mais cela n’a pas suffi ». « Les témoins et responsables ne souhaitent pas utiliser le mot, mais c’est de la discrimination », ajoute la mère, Trudy.
Monde
Afghanistan : la culture du pavot repart à la hausse
Malgré les milliards de dollars d’aide internationale économique au développement, l’Afghanistan n’a pas d’agriculture, d’énergies, de transports ou d’industries à la dimension des besoins de la population. L’opium reste donc la source principale des moyens de survivre pour une large part de la population. Selon les estimations des Nations-Unies publiées dimanche 23 octobre, les surfaces dédiées au pavot ont encore augmenté de 10 % en 2016. Cette étalement des cultures sur une surface totale désormais de 201 000 hectares, attribuée à de « meilleures conditions climatiques » que l’an dernier où une baisse avait été enregistrée, laisse présager une hausse de la production d’opium de 43 %, à 4 600 tonnes contre 3 300 en 2015, indique le rapport de l’agence des Nations-Unies contre la drogue et le crime.
Si le pavot demande beaucoup plus de travail que les céréales pour être cultivé, il pousse sur des terrains arides et résiste à la sécheresse. Et sa culture s’étend ! Alors qu’elle y était presque inexistante, le pavot se cultive dans les provinces du nord, notamment celle du Kunduz, occupée depuis peu par les talibans. Désormais, le « croissant d’or », où l’on récolte la pâte opiacée, couvre 21 des 34 provinces afghanes.
La cause de cette augmentation se trouve dans l’insécurité aggravée et le manque de fonds dédiés qui ont entravé les campagnes d’éradication. En effet l’État afghan et le gouvernement central n’existent, et n’ont véritablement d’influence, qu’aux alentours de Kaboul. Après la banlieue de la capitale, on ne trouve plus que des « seigneurs de guerre » qui gouvernent comme des monarques absolus, prélevant taxes et impôts et se faisant forts de ne pas respecter les décisions du gouvernement central.
De même dans les provinces de Helmand et d’Oruzgan, au sud, qui sont les principales productrices : elles échappent au gouvernement et aux acteurs internationaux, mais là, ce sont les talibans qui y sont très actifs. Et ils n’hésitent pas à prélever leur dîme sur ce commerce florissant. D’autant que le départ du contingent international d’Afghanistan leur a permis de regagner du terrain en finançant leurs opérations grâce aux revenus générés par le trafic.
Enfin, selon le responsable de l’agence des Nations-Unies contre la drogue et le crime à Kaboul, Andrey Avetisyan, « la récente diminution du soutien international » dans la lutte anti-drogue laisse le champ libre à son expansion.
Conséquence : selon les années, l’Afghanistan fournit à lui seul 80 à 85 % de l’héroïne consommée sur la planète et les producteurs et les trafiquants locaux empochent environ 3 milliards de dollars annuellement (pour un pays au PIB de 21 milliards de dollars).
Belle réussite de l’intervention militaire sous commandement de l’OTAN en Afghanistan, de 2001 à 2014, qui a laissé un pays plus fracturé, divisé, féodalisé et ruiné qu’avant son engagement.
Québec : série d’agressions sexuelles par des suspects de couleur à l’Université
Plusieurs agressions sexuelles d’étudiantes dans les dortoirs de l’Université Laval, située au Québec, ont eu lieu dans la nuit du 15 octobre. La police a recueillie les témoignages d’au moins 15 plaignantes. C’est le bâtiment Alphonse-Marie-Parent de l’Université qui aurait été le théâtre d’une quinzaine d’entrées par effraction dans les chambres, dont plusieurs suivies d’agressions sexuelles. Les autorités ont indiqué que l’enquête progressait et que « des suspects » avaient été identifiés, sans préciser leur nombre. « Ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a plusieurs suspects et que ces personnes ont eu des implications différentes », selon le porte-parole du Service de police de la Ville de Québec. Aucune description physique n’a été donnée si ce n’est que « ce sont des suspects qui ne sont pas de race blanche ».
L’Université Laval se trouve forcée de réagir aux nouvelles informations fournies par la police de Québec selon lesquelles les suspects de la vague d’intrusions et d’agressions sexuelles au pavillon Alphonse-Marie-Parent étaient des hommes « de couleur ». Toutes les portes des résidences de l’Université Laval seront désormais verrouillées à clé 24 heures sur 24 et un agent de sécurité sera posté en permanence à la porte principale du pavillon Alphonse-Marie-Parent pour permettre aux gens qui n’y habitent pas et qui n’ont donc pas de clé d’avoir accès aux services situés dans cet immeuble.
Sans vergogne des étudiants étrangers de l’université se sont plaints des révélations de la police sur l’appartenance raciale des personnes recherchées. Ces envahisseurs ont ainsi lancé l’habituelle chouinnerie victimaire destinée à retourner la situation en leur faveur : faire passer les étrangers pour des victimes alors que fondamentalement les agresseurs sont des « hommes de couleur ». Ainsi les médiats rapportent que de nombreuses personnes faisant partie des minorités visibles et habitants dans les résidences du pavillon Alphonse-Marie-Parent trouvent « maladroit » que la police ait donné si peu de renseignements sur les suspects – hormis leur non-appartenance à la race blanche – et ont affirmé que des tensions ethniques pouvaient surgir au sein des résidences étudiantes…
Ephéméride nationaliste
24 octobre 1925 : naissance d’Emile Marotel (biographie)
24 octobre 1945 : assassinat de Vidkun Quisling
24 octobre 1958 : mort de Henri Béraud
Agenda
6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
Sur le thème : « Mémoire des luttes anticommunistes : au temps des chemises ! »
13 h : ouverture des portes et buffet (25€)
15 h : stands et orateurs de plusieurs délégations européennes (PAF min 10 €)
18 h : clôture par l’allocution d’Yvan Benedetti
Renseignements et inscriptions : 07.89.39.82.74
© Jeune nation – 2016
Vision de saint Hermann Josep, 1629-1630, Antoine van Dyck
(Kunsthistorisches Museum – Vienne)
L’Autorité palestinienne donne 150 000 euros pour la restauration du Saint-Sépulcre.
http://orthodoxie.com/lautorite-palestinienne-fait-un-don-de-150-000-euros-pour-la-restauration-de-lanastasis/
Le rabbin pedophile s’en sort avec 2 millions de dollars.
http://nypost.com/2016/10/23/brooklyn-yeshiva-settles-with-sexual-assault-victims-for-2-1m/
De riches familles juives achetent pour 10 000 dollars des enfants catholiques.
https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201610051028058615-black-market-babies-canada/