Sommaire :
Actualité nationaliste Europe
- Syrie : une délégation de l’APF rencontre le président du parlement Al-Laham
France
- Elle refuse d’enlever son voile : quatre mois de prison avec sursis
- Un ‘jeune’ de cité saccage un centre social par vengeance
- Une centaine d’envahisseurs squattent un lycée à Paris XIX
- Hausse des actes violents commis par des envahisseurs à Calais
- La rue J-P Timbaud : enclave Salafiste au cœur de Paris
- Une française frappée et traitée de pute car elle portait une jupe
- Le CSA exclu Jean-Marie Le Pen du temps de parole du Front national
- Les partisans du Brexit ne veulent pas de Marine Le Pen
- Pour la marocaine Belkacem la viande de porc est un aliment confessionnel
- Un militaire en service agressé à la gare de Strasbourg
- Une voiture de police brûlée par les racailles de Nuit debout
Étranger
Europe
- Palerme ressemble plus à Istanbul ou à Beyrouth qu’à une ville européenne
- Logés pendant 6 mois, les envahisseurs ont pillé le bâtiment servant d’asile
- Autriche : le parti populiste FPÖ en tête du 1er tour de la présidentielle
- Allemagne : détruire les frontières de l’Europe c’est le « bon côté de l’histoire » pour Obama
- Hongrie : l’ambassadeur israélien veut faire censurer un journal hongrois proche du Fidesz
- Danemark : les propos « anticonformistes » de la reine Margrethe II
- Belgique : des heurts au cours d’une manifestation de Pegida
Monde
- Le maire de Montréal promet de renommer une rue Alexis Carrel
- Arménie : commémoration du 101ème anniversaire du génocide des chrétiens arméniens et chaldéens
Vidéo
- Céline – À propos de Un château l’autre
Éphéméride nationaliste
- 25 avril 1214 : naissance de Saint Louis
- 25 avril 2008 : mort de Jean-Claude Varanne
Agenda
- 30 avril – 1er mai Commémorations de Crémone et Prédappio
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Syrie : une délégation de l’APF rencontre le président du parlement Al-Laham
Le président de l’Assemblée syrienne, Mohammad Jihad al-Laham, membre du parti Ba’ath, a rencontré dimanche 24 avril une délégation européenne de l’APF, « Alliance pour la paix et la liberté », conduite par Roberto Fiore. Il a dit à la délégation que les attaques terroristes qui ont frappé Paris et Bruxelles sont une conséquence naturelle de l’attitude de certains pays européens qui « tolérent les mouvements de milliers d’extrémistes et de combattants étrangers partant vers la Turquie, puis la Syrie ». Al-Laham a appelé les États européens, s’ils veulent agir sérieusement contre le terrorisme, à coopérer avec le gouvernement syrien et travailler pour mettre fin au blocus économique injuste imposé au peuple syrien.
À son tour, Roberto Fiore a témoigné d’une prise de conscience de la part de l’opinion publique en Europe de ce que le peuple syrien et son l’armée luttent réellement contre des terroristes après les attentats qui ont frappé les pays européens.
Il a souligné que le mouvement APF a engagé une campagne dans tous les pays européens qui cherchent à mettre un terme aux sanctions injustes imposées au peuple syrien, par le biais de conférence et de divers événements ainsi que publié des articles sur le wahhabisme et son rôle dans la propagation du terrorisme qui cherche à influencer l’opinion publique européenne.
France
Elle refuse d’enlever son voile : quatre mois de prison avec sursis
La prévenue au tribunal correctionnel de Nantes, parle d’un « incident ». Le 23 novembre 2015, la jeune femme de 20 ans avait refusé de quitter son voile, fait exigé lors de la Journée de défense et de citoyenneté.
Dans l’enceinte de la caserne Richemont à Nantes, cette étudiante avait aussi tenté de mordre un gendarme puis repoussé des policiers, venus l’interpeller. Menottée avec difficulté puis placée dans le véhicule des forces de l’ordre, elle avait également souhaité « qu’une bombe explose aussi à Nantes ». Les faits se sont déroulés une semaine après les attentats de Paris. Placée en garde à vue, elle avait insulté et craché sur une policière.
Le tribunal l’a condamnée à quatre mois de prison avec sursis et à 105 heures de travaux d’intérêt général. Elle a également obligation de se soigner.
Un ‘jeune’ de cité saccage un centre social par vengeance
Agé de 21, et originaire de la cité, le jeune homme avait mis sens dessus dessous cet équipement tout juste construit. Les faits s’étaient déroulés début juillet 2015. Peu après les actes de vandalisme, dans la nuit du 14 au 15 juillet, le coup de grâce avait été porté à la structure sociale : un incendie criminel l’avait réduit en cendres.
L’un des responsables du saccage a été identifié grâce à une tache de sang retrouvée sur le montant d’une porte. L’analyse de l’ADN a permis de le confondre sans équivoque.
Pourtant cette semaine, à l’audience à Bobigny, il n’a eu de cesse de minimiser sa participation. « Il a seulement reconnu “avoir cassé un carreau” », précise une source proche de l’enquête. Il est resté tout aussi mutique sur ses complices. En revanche, il a confié qu’il avait agi par vengeance. Quelques jours auparavant, la direction du centre social aurait refusé qu’il tourne dans les locaux un clip avec M9 Cliik, son groupe de rap.
Le centre Yamina-Setti avait été inauguré en décembre 2014. La collectivité n’avait pas lésiné à la dépense en consacrant 5 M€ à cet équipement.
Le tribunal correctionnel de Bobigny l’a condamné à 12 mois de prison dont 4 mois avec sursis et 3 000 € d’amende.
Il n’a cependant pas été écroué à l’issue de l’audience.
Une centaine d’envahisseurs squattent un lycée à Paris XIX
Dans la nuit de jeudi à vendredi, vers minuit, une centaine d’envahisseurs ont pris possession du lycée technique désaffecté Jean-Jaurès, rue Clavel, dans le 19e arrondissement. Des Afghans, des Pakistanais, des Yéménites, des Soudanais…
« Ces personnes faisaient partie des 450 migrants vivant dans le camp de fortune qui s’était créé à Stalingrad, sous le métro, indique Valérie Osouf, de La Chapelle Debout. Les conditions de vie étaient déplorables. Il y a eu des cas de gale, de tuberculose… »
C’est ce collectif, La Chapelle Debout, créé pour venir en aide aux envahisseurs dans la foulée de l’évacuation policière de la Halle Pajol, en juillet 2015, qui a chapeauté l’occupation du lycée Jean-Jaurès, propriété de la région Ile-de-France. « Nous ne faisons qu’appliquer à la lettre les paroles d’Anne Hidalgo, qui a déclaré Paris comme ville refuge, reprend Valérie Osouf. Nous occupons ainsi un lycée inoccupé depuis plusieurs années. Cette occupation doit servir de levier pour entamer une négociation visant à améliorer le sort de ces réfugiés. »
Hausse des actes violents commis par des envahisseurs à Calais
D’après les autorités, depuis trois semaines, les « migrants découpent et placent des branchages voire des troncs d’arbres directement sur la chaussée et opèrent simultanément à différents endroits », dans le but de bloquer les camions.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, à nouveau, plusieurs groupes d’envahisseurs ont opéré de cette façon pour se dissimuler dans des camions et passer clandestinement en Grande-Bretagne. De nombreux contrôles de poids lourds à l’embarquement ont révélé la présence de migrants à bord.
D’importantes forces de police, notamment treize unités et demi de CRS et gendarmes mobiles, sont stationnées à Calais depuis plusieurs mois où s’entassent entre 3 500 et 5 000 envahisseurs.
La rue J-P Timbaud : enclave Salafiste au cœur de Paris
Une journaliste a enquêté sur l’islamisation du quartier où elle a habité, celui de la rue Jean-Pierre-Timbaud, dans le XIe arrondissement de Paris. Une artère sous l’influence de la mosquée Omar.
Elle disait sa fierté d’habiter ce quartier populaire et mélangé. Ses enfants étaient scolarisés dans une petite école catholique qui accueillait beaucoup de musulmans, un établissement mitoyen de la mosquée Omar. Sous l’influence de ce haut lieu de l’islam radical, elle a vu le haut de la rue évoluer en une dizaine d’années, devenir un coin d’asphalte où les librairies intégristes évincent le petit commerce, où les femmes ne se risquent plus à se promener bras nus.
Elle découvre qu’une cohabitation hostile s’est installée entre deux groupes qui s’ignorent ou se défient, c’est selon : les bobos et les barbus.
Un récit glaçant, avec pour décor la capitale :
Le silence de 2005
« Le climat se dégrade insidieusement rue Jean-Pierre-Timbaud. […] A cette époque, les voyages scolaires habituellement organisés pour les élèves du CE2 au CM2 sont tout bonnement supprimés. Une majorité de parents musulmans refusant désormais de laisser partir leurs filles, par peur de la promiscuité avec les garçons, l’école ne parvient plus à atteindre le minimum d’élèves requis pour monter une « classe verte », un séjour à la montagne. Et encore moins le voyage en Angleterre que les institutrices faisaient miroiter comme récompense aux enfants depuis le CE1. […]
Intégralité de ce récit dans Marianne.
Une française frappée et traitée de pute car elle portait une jupe
Il est 19 heures, lundi dernier, et Nadia attend son tramway en face du quartier du Luth. Un petit groupe d’adolescents s’approche d’elle. Ils lui parlent de sa tenue — la jeune fille porte une jupe — mais le différent ne va pas plus loin et les jeunes poursuivent leur chemin. Même si cela ne se traduit pas par des violences, ce sont déjà des pressions.
Arrivent alors, quelques minutes plus tard, trois filles. A leur tour, elles lui parlent de sa jupe. Le ton est nettement moins cordial. Les quatre jeunes femmes montent dans le tramway qui arrive. Le trio continue à faire une fixation sur la jupe. La situation s’envenime. La meneuse fait descendre sa victime en la tirant par les cheveux à l’arrêt suivant, dans le quartier du Village, la traite de « p… » et commence à la frapper.
Nadia essuie alors une avalanche de coups de poing et de pieds. La plus énervée de ses agresseurs, véritable colosse, lui assène un dernier coup de genou qui la met KO. Elle s’effondre au sol. Dans les cris et la confusion, des passants interviennent et font fuir le groupe de jeunes filles violentes. Prévenus, les sapeurs-pompiers évacuent Nadia à l’hôpital. C’est là qu’elle reprend conscience après quelques heures de coma.
Alors qu’elle dîne dans un fast-food un peu plus tard dans la soirée, celle qui a porté les coups, âgée de 19 ans, apprend que sa victime est mal en point. Avec une des deux autres filles, elle se rend alors au commissariat où elle est placée en garde à vue. Elle devait être jugée mercredi en comparution immédiate mais l’audience a été renvoyée au 17 mai prochain.
Le CSA exclu Jean-Marie Le Pen du temps de parole du Front national
En août dernier, Jean-Marie Le Pen était exclu du Front National pour cause de stratégie de dédiabolisation du parti.
Pui, Marine Le Pen avait demandé au Conseil supérieur de l’audiovisuel que les passages de Jean-Marie Le Pen à la télévision et à la radio ne soient plus décomptés du temps de paroles réservé au FN dans les médias audiovisuels.
« Le CSA a décidé au vu de votre demande (…) que, désormais, les interventions de M. Le Pen ne seront plus prises en compte au titre du temps de parole du Front national », a fait savoir Olivier Schrameck (petit-neveu d’Abraham Schrameck, qui fut ministre de l’Intérieur du Cartel des gauches), dans un courrier à Marine Le Pen.
Cependant, le CSA a fait savoir au FN que cette décision pourrait être remise en cause si le recours judiciaire intenté par Jean-Marie Le Pen en octobre dernier contre son exclusion aboutissait.
Les partisans du Brexit ne veulent pas de Marine Le Pen
Le camp favorable au Brexit a demandé à la ministre britannique de l’Intérieur Theresa May d’interdire d’entrée au Royaume-Uni la présidente du Front national français Marine Le Pen, selon une lettre officielle envoyée par la responsable de « Vote Leave ».
Dans cette lettre, dont l’existence a été révélée hier par la BBC, Gisela Stuart, la coprésidente de la campagne officielle « Vote Leave » en faveur du vote pour une sortie de son pays de l’Union européenne (UE) au référendum du 23 juin, demande à la ministre de « refuser l’entrée » de la dirigeante du parti français d’extrême droite du fait de « ses opinions extrémistes ». Elle évoque à cet égard une visite prévue pour « mai » de Mme Le Pen.
Le chef du parti europhobe et anti-immigration Ukip Nigel Farage a quant à lui déclaré sur Sky News qu’il ne pensait pas qu’une intervention de Marine Le Pen serait utile à la campagne en faveur du Brexit mais il s’est opposé à ce qu’elle soit interdite d’accès au territoire britannique.
Pour la marocaine Belkacem la viande de porc est un aliment confessionnel
En réponse à la décision du maire de Chalon-sur-Saône de supprimer des cantines scolaires municipales les menus dit de substitution, sans porc, la ministre de l’Education antinationale Najat Valaud-Belkacem a déclaré que « Supprimer la possibilité d’avoir un menu non confessionnel, je trouve que c’est une façon, en réalité, d’interdire l’accès de la cantine à certains enfants » non français.
En outre, un plat halal (prévu pour les musulmans donc confessionnel et non français) serait un « menu non confessionnel », par contre, un plat avec de la viande de porc devrait être considéré selon la marocaine Belkacem, comme un plat confessionnel.
Un militaire en service agressé à la gare de Strasbourg
Un militaire de l’opération Sentinelle qui patrouillait samedi soir à la gare de Strasbourg avec trois collègues a été agressé au cutter par une racaille extra-européenne.
Ses blessures sont superficielles, mais le jeune militaire a indiqué lors de sa déposition que son agresseur parlait arabe (mais pas d’amalgame). La chance pour la France a pris la fuite et était toujours recherché dimanche.
Une voiture de police brûlée par les racailles de Nuit debout
Toujours pas interdit, le groupe de racailles révolutionnaires marxistes nuit debout a comme depuis plusieurs semaines, violemment pris à parti les forces de l’ordre dans la nuit de vendredi à samedi.
S’éloignant de la place de leur république, les nervis d’extrême-gauche ont chargé les CRS à coups de bouteilles en verre et autres projectiles, et ont entièrement incendié un véhicule de police, vandalisé une autre voiture de police et deux véhicules de la RATP.
Sur une centaine de racailles, seulement douze ont été interpellés et placés en garde à vue.
Le mouvement de trouble à l’ordre public n’est toujours pas interdit, mais la préfecture a interdit aux gauchistes dégénérés de boire de l’alcool durant les rassemblements.
Il est bien connu que le fait d’interdire de l’alcool est toujours bien respecté… Surtout avec des personnes aussi respectueuses.
L’état d’urgence prévoyait, normalement, d’interdire ce genre de rassemblement public et violent. Il n’y en a jamais eu autant que depuis le début de l’état d’urgence.
Étranger
Europe
Palerme ressemble plus à Istanbul ou à Beyrouth qu’à une ville européenne
Leoluca Orlando, le maire de Palerme, a déclaré qu’auparavant, la mafia était plus forte car elle «empêchait les migrants d’entrer dans la ville». «Avant mon 30e anniversaire, je n’avais jamais vu un Africain ou un Asiatique à Palerme […] Palerme n’est plus une ville italienne. Elle n’est plus une ville européenne. Quand on se promène en ville, on peut penser qu’on se trouve à Istanbul ou à Beyrouth», a-t-il conclu.
Le berceau de la mafia est envahi par les migrants, où plusieurs milliers d’envahisseurs arrivent chaque semaine. La semaine du 10 avril seulement, près de 4 000 envahisseurs ont été accueillis dans des centres spécialisés de Sicile.
Les chefs de Cosa Nostra, la mafia sicilienne, ont «déclaré la guerre» aux envahisseurs dont le nombre augmente chaque jour sur l’île italienne.
Logés pendant 6 mois, les envahisseurs ont pillé le bâtiment servant d’asile
De Telegraaf, signale qu’au Pays Bas, le complexe pénitencier de Oak a servi d’abri d’urgence pour accueillir jusqu’à 1140 ‘’réfugiés’’ pour une durée de 6 mois, depuis octobre dernier.
Plusieurs rapports avaient fait part de nombreux incidents dans lesquels la police a dû intervenir 51 fois : des combats, des agressions, du trafic de drogue, d’alcool et de cigarettes ont ainsi été signalés.
Toute sorte d’objets ont disparu de la prison durant ces 6 mois. En dépit des contrôles réguliers, 16 téléviseurs manquent ainsi à l’inventaire…
Autriche : le parti populiste FPÖ en tête du 1er tour de la présidentielle
En fin d’après-midi, dimanche 24 avril, Norbert Hofer, le candidat du FPÖ, parti populiste « identitaire » (c’est-à-dire anti-islam et israélo-compatible), arrive en tête du premier tour de l’élection présidentielle autrichienne avec plus de 35% des voix selon des résultats partiels et des sondages réalisés à la sortie des urnes. Les électeurs autrichiens auraient placé Norbert Hofer devant le candidat écolo-gauchiste Alexander van der Bellen (environ 19,7 % des suffrages) et devant une candidate indépendante Imar Griss (environ 18,8 %), éliminant même ainsi les candidats des deux partis au cœur du système : le SPÖ social-démocrate et l’ÖVP parti conservateur qui n’engrangeraient qu’à peine plus de 10%.
Il s’agit d’un sérieux revers pour ces deux mouvements qui se partagent le gâteau depuis 1945 et qui ont toujours contrôlé la présidence de la République, même si en Autriche la fonction est plus constitutionnelle, protocolaire ou morale car elle ne donne pas de pouvoir gouvernemental direct. Le président est malgré tout chef des armées, il nomme le chancelier et peut dissoudre le Parlement dans certaines situations.
Norbert Hofer est issu de l’aile « libérale » du FPÖ, il tente de tirer parti du recentrage et de la dédiabolisation de son mouvement mais il semble que ce soit plutôt l’usure des partis au pouvoir, la hausse du chômage et surtout la crise migratoire qui touche aussi l’Autriche, qui aient conduit les électeurs vers lui.
La présidente du Front National, Marine Le Pen, en quête permanente de respectabilité et de stature internationale, a félicité dimanche sur son compte Twitter le FPÖ : « Mes plus sincères félicitations à nos amis du #FPÖ pour ce résultat magnifique. Bravo au peuple autrichien ! ».
Cependant la victoire totale n’est pas encore assurée pour Norbert Hofer. Le deuxième tour de scrutin doit avoir lieu le 22 mai prochain.
Allemagne : détruire les frontières de l’Europe c’est le « bon côté de l’histoire » pour Obama
Au cours d’un voyage en Allemagne où il a rencontré Angela Merkel à Hanovre pour faire la promotion du futur traité-diktat transatlantique, Barack Obama s’est aussi exprimé hier sur l’action de la chancelière en Europe. Il a affirmé qu’avec le recul de ses sept années écoulées au pouvoir, il voyait la chancelière comme la première parmi les leaders européens. Il a déclaré qu’Angela Merkel avait été une partenaire de confiance tout au long de sa présidence, plus que tout autre chef d’État dans le monde, et qu’il donnait beaucoup de crédit à son opinion. Mais surtout, s’exprimant spécifiquement au sujet de la « crise des migrants », il a loué l’action de la chancelière estimant « qu’elle était du bon côté de l’histoire » !
Un jugement qui prend un relief particulier lorsqu’on se souvient que la protestante Merkel, ancienne membre du Parti communiste de RDA avant la chute du Mur, s’est faite depuis deux ans la militante acharnée de l’accueil sans limite et de la répartition forcée en Europe des envahisseurs. C’est-à-dire d’une politique propre a faire voler en éclats les frontières intérieures des État après que l’Union ait quasiment mis à bas les frontières extérieures.
Les dirigeants américains ont toujours été et restent les meilleurs ennemis de l’Europe !
Hongrie : l’ambassadeur israélien veut faire censurer un journal hongrois proche du Fidesz
L’ambassadeur israélien en Hongrie, Ilan Molor, a lancé une campagne en vue de faire sanctionner et censurer un journal hongrois le « Magyar Hirlap », coupable selon lui d’avoir publié des articles antisémites de Zsolt Bayer. Ce dernier est un cofondateur du Fidesz, Parti de la Hongrie au pouvoir. Il a en réalité écrit une série d’article à caractère historique qui retrace entre autre l’implication juive dans divers phénomènes comme l’émergence du communisme soviétique, le développement et l’exportation de la barbarie communiste à l’international ou des campagnes internationale de dénigrement lancé par israël. Des faits susceptibles d’expliquer le développement de l’antisémitisme dans un pays comme la Hongrie ayant souffert sous le joug communiste de 1945 à 1989 mais également dans l’entre-deux guerres sous la férule du dictateur juif bolchevique Béla Kun.
L’ambassadeur a tenté de faire pression en écrivant au rédacteur en chef du journal, portant contre Bayer l’accusation de « défendre ouvertement des sentiments antisémites et d’incitation à la haine contre le peuple juif et l’État d’Israël » et menaçant implicitement la majorité gouvernementale en affirmant que ces écrits « contredisent totalement les déclarations et positions officielles du gouvernement hongrois, qui implique une politique d’amitié et de coopération » avec Israël.
Le cher ambassadeur n’aurait-il pas lu l’article célèbre du journaliste Sever Plocker qui travaille pour le journal hébreu « Yediot Ahronot », titré : « Les juifs de Staline – Nous ne devons pas oublier que quelques uns des pires meurtriers des temps modernes étaient juifs » ? Article traduit et disponible sur le blog d’Anne Kling : « Les juifs de Staline »
Danemark : les propos « anticonformistes » de la reine Margrethe II
Le chef de l’État danois, sa Majesté la Reine Margrethe II, a accordé une interview pour son 75ème anniversaire qui provoque des réactions d’indignations et des cris d’orfraie chez les tenants du politiquement correct. La reine a délivré un message clair, de bon sens et sans excès au sujet de l’immigration : « Celui qui s’installe au Danemark doit se conformer aux normes et valeurs danoises (…) Nous pouvons les accueillir, mais nous devons aussi leur dire ce que nous attendons d’eux. Car il s’agit de notre société, dans laquelle ils arrivent. Ils doivent comprendre dans quel monde ils sont venus. »
« Nous faisons volontiers de la place. Cependant, ils sont venus dans notre société et ne peuvent pas attendre de pouvoir perpétuer leur modèle de société chez nous. Ils peuvent se rendre dans les mosquées, s’ils le veulent, mais s’ils font des choses incompatibles avec le modèle de la société danoise, ils doivent se rendre compte que cela n’ira pas. »
La reine a également défendu la liberté d’expression : « Je sais bien que certains disent, qu’il faut être prudent, qu’il faut réfléchir, cependant, nous devons absolument pouvoir nommer les choses et comment celles-ci doivent être selon nous. Ils veulent nous effrayer, nous ne devons pas nous laisser intimider. »
Cependant la suite de ses déclarations fait craindre que cette liberté d’expression et de ton ne sont peut être pas seulement au service de la défense de sa terre et de son peuple mais également télécommandées en faveur d’autres communautés : « Soudain, l’on regarde les juifs de travers, ils se sentent mis sous pression et menacés, ce qui est choquant. Ils supportent cela avec dignité, comme ils le font toujours, mais il est choquant d’observer cela. »
Belgique : des heurts au cours d’une manifestation de Pegida
Des militants de Pegida, qui se présentent comme des « patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident », se sont réunis sur la place Hendrik Conscience d’Anvers, samedi 23 avril au soir, pour demander « le rétablissement permanent des frontières et l’arrêt des subsides pour l’islam ». Après quelques discours, un cortège de manifestants a défilé dans la ville et a été pris à parti par des passants. Une vitrine a été brisée, un manifestant a été arrêté et des heurts ont eu lieu avec la police
Monde
Le maire de Montréal promet de renommer une rue Alexis Carrel
Le maire de Montréal, Denis Coderre, a promis de renommer une rue et un parc à la mémoire du prix Nobel de médecine en 1912.
Alexis Carrel, biologiste et chirurgien français mort en 1944, est devenu célèbre pour avoir lancé une nouvelle technique en chirurgie vasculaire.
Nationaliste, il était aussi un eugéniste affiché et qui a soutenu l’Etat français. La promesse d’agir du maire est intervenue après que législateur ‘’québécois’’ David Birnbaum (directeur général du Congrès juif canadien de 1999 à 2004) ai appelé les municipalités de la province à l’élimination des plaques de rue ou d’autres espaces portant le nom de Carrel, avant la Journée internationale de commémoration de l’Holocauste, le 4 mai.
Arménie : commémoration du 101ème anniversaire du génocide des chrétiens arméniens et chaldéens
L’acteur George Clooney a pris la tête de la marche arménienne de dimanche à Erevan au titre de la commémoration du 101e anniversaire du génocide arménien. Au cours de la première guerre mondiale, le gouvernement impérial jeune-turc ottoman avait pris prétexte d’un risque de trahison de la part de la minorité arménienne, pourtant présente de longue date sans déloyauté dans l’Empire ottoman, pour les arrêter, les déporter et les massacrer dans un relatif secret. Ce sont ainsi un million à un million et demi d’Arméniens et autres minorités chrétiennes grecques et chaldéennes, qui seront éliminés ou portés disparus.
Le président arménien Serge Sargsian, accompagné du Catholicos de tous les Arméniens, Garéguine II Nersissian, du Catholicos arménien de Cilicie, Aram Ier, et de personnalités comme Georges Clooney (coprésident du comité de sélection pour le prix Aurora pour éveiller l’humanité en faveur des survivants arméniens du génocide), a déposé une gerbe au mémorial dédié aux victimes dans le complexe Tsitsernakaberd, situé dans la capitale du pays, Erevan.
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Céline – À propos de Un château l’autre
Éphéméride nationaliste
25 avril 1214 : naissance de Saint Louis (biographie)
25 avril 2008 : mort de Jean-Claude Varanne (biographie)
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30 avril – 1er mai Commémorations de Crémone et Prédappio
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Henri IV à la bataille d’Ivry, peinture par Théodore Chrétien. (Musée du château Henri IV – Nérac)