Saints Côme et Damien, Martyrs
Sommaire :
Actualité nationaliste France
- Réunion de rentrée du Parti Nationaliste Français à Paris
- Lyon : Réunion de rentrée du PNF et des Caryatides du Rhône
France
- Report du procès en Turquie des 5 violeurs maghrébins à papiers français de Roubaix
- Deux musulmans soupçonnées de vouloir commettre un attentat
- Un Africain multirécidiviste encore condamné pour escroqueries
- Suspectés d’être des passeurs, cinq Kurdes jugés au tribunal de Reims
- 39 mentions au casier, Samir Chouia condamné pour vol avec violences
- Yousri M’Barek agresse sa victime au tournevis
- Chaharazad, employée de mairie, promettait logement contre argent
- La maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, cachait 102 lingots d’or au Luxembourg
- Valence, des détenus agressent des surveillants pénitentiaires et ouvrent des cellules
- Pendant que le chômage explose, Hollande « travaille » à sa réélection…
Etranger
Europe
- Bosnie-Herzégovine : la République serbe de Bosnie conserve sa propre fête nationale
- Italie : la maire de Rome célèbre la première parodie de « mariage » gay
- Royaume-Uni : 6 envahisseurs droguent, enlèvent et violent une jeune mère de 26 ans
- Royaume-Uni : 4 envahisseurs condamnés pour des crimes sexuels sur des jeunes enfants
Monde
- Équateur : un déviant « transgenre » accouche de son premier enfant
- États-Unis : le suspect de la tuerie de Burlington est un étranger d’origine turque
- Syrie : les États-Unis ont sciemment bombardé l’armée syrienne à Deir ez-Zor
Vidéo
- Pourquoi j’ai abandonné le Judaïsme par Frère Nathanael
Kiosque
- Militant n°685
Ephéméride nationaliste
- 27 septembre 1903 : naissance d’Alessandro Pavolini (biographie)
- 27 septembre 1976 : mort d’Hubert Lambert
Agenda
- 1er et 2 octobre 2016 – Randonnée nationaliste du PNF Roussillon
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Actualité nationaliste France
Réunion de rentrée du Parti Nationaliste Français à Paris
Discours de Pierre Sidos, invité d’honneur, lors de la réunion de rentrée du groupe militant de Paris et d’Ile-de-France du Parti Nationaliste Français, le 20 septembre 2016.
Lyon : Réunion de rentrée du PNF et des Caryatides du Rhône
France
Report du procès en Turquie des 5 violeurs maghrébins à papiers français de Roubaix
Depuis le 22 août, cinq Maghrébins à papiers français, originaires du quartier des Trois-Ponts à Roubaix, sont incarcérés à la prison de Mügla, près de Bodrum en Turquie, dans l’attente de leur procès. Les cinq amis étaient partis passer des vacances dans un hôtel club de Bodrum. Ils y avaient fait la connaissance d’une adolescente qui les accuse d’agression sexuelle. Les faits se seraient produits dans la chambre des Roubaisiens au cours de la soirée du 22 août. Les cinq jeunes, âgés de 17 à 21 ans, clament leur innocence et jurent qu’ils ne savaient pas que cette jeune fille était mineure et que les relations sexuelles qu’ils ont eues, avec elle, étaient consenties… Ils devaient être jugés ce samedi. Le procès a donc été reporté à une date ultérieure qui n’est pas fixée pour le moment. Le mandat de dépôt des 5 maghrébins a été prolongé d’un mois par la justice turque.
Deux musulmans soupçonnées de vouloir commettre un attentat
Interpellations de jeunes « Niçoises » qui voulaient frapper, agées de 17 et 19 ans, elles étaient en contact avec le propagandiste Rachid Kassim
C’est le premier projet d’attentat déjoué à Nice depuis le 14 juillet. Deux jeunes « Niçoises » de papiers ont été interpellées à la mi-septembre par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et placées en détention provisoire. Les amies prévoyaient de passer à l’acte sous l’influence de Rachid Kassim, le djihadiste parti en Syrie, avec qui elles étaient entrées en contact par la messagerie cryptée Telegram. Au moment de son arrestation, l’une d’elle était déjà mise en examen dans un autre dossier pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste.
C’est en travaillant sur les contacts Telegram de Rachid Kassim, et avec l’appui de services de renseignement étrangers, que les enquêteurs identifient Soraya le 9 septembre. La lycéenne de 19 ans en terminale technologique correspond avec le djihadiste depuis environ un mois. C’est l’une de ses amies mineures, une convertie de 17 ans, qui lui a fourni le lien vers la chaîne de discussion cryptée, où le prédicateur encourage des Français à passer à l’acte. « Comme dans d’autres dossiers où l’on retrouve Rachid Kassim, elles étaient incitées à commettre un attentat sur des cibles précises afin de venger la mort récente du porte-parole de Daech », constate l’enquête.
Soraya est arrêtée en pleine rue à Nice le lendemain de son identification, puis son amie quelques jours plus tard à son domicile niçois. En garde à vue, Soraya nie toute sympathie djihadiste, avant de reconnaître être en contact avec Rachid Kassim. La française reniée, elle, choisit le silence, puis admet à son tour ses liens avec le « Roannais », précisant avoir notamment la « haine » contre les militaires. Dans un second temps, elles avouent toutes deux avoir évoqué un passage à l’acte avant de renoncer. L’aînée assure avoir pris peur face à la « pression » imposée par Kassim.
Si la française reniée est inconnue des services de renseignement, Soraya avait été mise en examen une première fois le 21 novembre 2014 dans le cadre du démantèlement de la filière djihadiste niçoise organisée par Omar Diaby, l’un des principaux recruteurs de combattants issues de France. Alors âgée de 17 ans, elle s’apprêtait à rejoindre les terres de djihad. Depuis, elle était placée sous contrôle judiciaire et devait notamment pointer une fois par semaine. Une obligation à laquelle elle avait pourtant déjà dérogé. « On est face à deux jeunes filles dont le degré d’embrigadement pouvait une nouvelle fois faire craindre le pire », soupire un enquêteur.
Un Africain multirécidiviste encore condamné pour escroqueries
Il créé l’association « France-Afrique » pour s’en mettre plein les poches !!! Christian, un gabonais de 40 ans, est bien connu de la justice française : violences, conduites sans permis, escroqueries… L’homme compte onze condamnations. Une douzième a été ajoutée la semaine passée pour de nouvelles escroqueries.
En 2009, Christian a l’idée de créer une association dont il sera le président. Elle s’appellera « France-Afrique » et viendra en aide aux enfants orphelins. La cause est noble, mais le président l’est beaucoup moins. Entre 2010 et 2011, Christian trompe son monde : les banques à hauteur de 13 000€ ainsi que des particuliers à qui il promet des chèques contre des sommes en espèce. Seulement, les chèques sont en bois. Le président du tribunal correctionnel de Nîmes, Jean-Pierre Bandiera, cherche à comprendre le fonctionnement de cette étonnante association qui n’avait jamais d’assemblées générales, aucun adhérent, ou qui n’avait pas fixé de montant de cotisations…
- On a envoyé des voitures en Afrique, assure Christian.
- Pour les enfants africains ?, s’étonne le magistrat
- Non pour les revendre et ensuite faire des bénéfices.
- C’est des opérations assez mystérieuses. Vous n’avez pas trouvé d’autres procédés plus directs ?
Le procureur Stéphane Bertrand est du même avis : « Il était le seul dirigeant, le seul qui maitrisait ce qu’il se passait dans l’association. Elle n’a jamais aidé le moindre enfant démuni d’Afrique », indique-t-il en demandant 18 mois de prison avec mandat de dépôt.
Christian sera finalement condamné à un an de prison ferme.
Suspectés d’être des passeurs, cinq Kurdes jugés au tribunal de Reims
Trois Kurdes ont été interpellés mercredi matin par l’OCRIEST, ont été déférés vendredi au parquet de Reims. Placés en détention provisoire, ils comparaîtront cette semaine devant le tribunal correctionnel. Deux autres, arrêtés quelques heures plus tôt mercredi sur l’A26, ont été condamnés jeudi à trois et quatre ans de prison ferme.
Ils sont suspectés d’avoir exercé des activités de passeurs, en emmenant des migrants du bidonville de Calais sur des parkings, près de Reims, pour les faire monter dans des camions en partance pour l’Angleterre. L’OCRIEST les a interpellés au petit matin, mercredi , alors qu’ils rentraient à la « jungle ». Deux autres Kurdes, arrêtés quelques heures plus tôt sur une aire de repos de l’A26, ont été condamnés jeudi à trois et quatre ans de prison ferme.
« Ils emmenaient des migrants cinq soirs par semaine »
D’après le dossier, « ces deux groupes ne travaillaient pas ensemble, mais dépendaient des mêmes filières de commanditaires. Les clients payaient depuis le Kurdistan irakien, comme s’ils mettaient un chèque à la banque. Les commanditaires anglais étaient informés, appelaient les passeurs en France pour leur donner le feu vert ». Les passeurs faisaient payer « jusqu’à 3 000 € négociables le passage », selon cette même source : « Ils emmenaient des migrants cinq soirs par semaine, entre 10 et 20 à chaque fois. L’idée, en allant loin de Calais, étant peut-être que les camions risquaient moins de se faire contrôler une fois au port, à la différence de ceux venant de Calais ou Transmarck. »
Ce dossier illustre l’évolution des techniques des passeurs à Calais, pour cette source policière : « Avant, on avait affaire à des Afghans qui opéraient sur des parkings, à Transmarck ou sur la zone Marcel-Doret. Ils ont été chassés par des gars qui se sont professionnalisés. Les gens paient en Irak pour venir ici : pour eux, le fait qu’il y ait une véritable organisation de passeurs est un facteur d’attraction énorme ».
39 mentions au casier, Samir Chouia condamné pour vol avec violences
La juridiction n’a pas cru les explications du prévenu concernant le vol avec violence d’une Audi RS3 pour lequel il était poursuivi.
Le trentenaire a été interpellé le 31 août dernier, à Chauriat, près de la voiture de sport et en possession des clés. Son propriétaire avait déposé plainte pour vol quelques jours plus tôt. Assurant qu’il avait été violenté, à Cournon, avant d’être dépossédé du véhicule. Des déclarations confirmées dans un premier temps par une jeune femme qui a expressément écrit au procureur, la semaine dernière, pour se rétracter.
Depuis le box des prévenus Samir Chouia a réfuté en bloc la version servie par la victime : « Cet homme, que je connais depuis longtemps, me devait 25.000 euros depuis le mois de mai. Il m’a laissé sa voiture, m’a dit de la vendre et de garder l’argent. Il m’a piégé en déposant plainte. Je ne l’ai jamais frappé. »
Des explications « rocambolesques » selon Laurent Béart, représentant du ministère public, qui assure que la victime a été « violentée et menacée pendant deux heures ». Et d’appuyer les réquisitions sur « les trente-neuf mentions portées au casier judiciaire et la personnalité dangereuse du prévenu ».
Le parquet avait requis quatre ans de prison ferme. Le tribunal en a prononcé deux. Ajoutant une révocation de six mois d’un précédent sursis avec mise à l’épreuve.
Yousri M’Barek agresse sa victime au tournevis
Jugé en comparution immédiate, l’individu a été condamné par le tribunal correctionnel à deux ans de prison ferme à effectuer immédiatement.
Le vol remonte au 31 août, boulevard Jean-Behra. Yousri M’Barek, 20 ans, lourd casier judiciaire, attaque un jeune de son quartier et se fait remettre 100 euros sous la menace d’un tournevis. La victime reçoit au passage deux coups.
Pour assombrir encore le tableau, l’individu menace le jeune homme à tel point que ce dernier retirera sa plainte par peur des représailles. Il explique au passage aux policiers qu’il a été remboursé par son agresseur. Ce qui est faux.
L’interpellation en début de semaine de Yousri M’Barek a été agitée pour les policiers de la brigade de répressions des « vols-violences ». Le jeune homme a tenté de fuir puis menacé de se jeter dans le vide si les policiers approchaient.
Jugé en comparution immédiate, l’individu a été condamné par le tribunal correctionnel à deux ans de prison ferme à effectuer immédiatement.
Deux peines supplémentaires prononcées avec sursis en octobre 2014 s’ajouteront à la sanction.
Chaharazad, employée de mairie, promettait logement contre argent
Au rythme de 10 000 € dépensés en un an dans une seule boutique de vêtements, et 5 000 € dans un magasin de chaussures, il faut un compte en banque garni. Chaharazad, ex-employée de mairie à Gennevilliers, avait trouvé de quoi satisfaire ses envies de mode en encaissant des backchichs contre la promesse d’un logement social. La combine a bien fonctionné, entre 2008 et 2012. Mais les élus de Gennevilliers ont fini par découvrir l’arnaque, dénoncer Chaharazad qui, du coup, était jugée ce jeudi par le tribunal correctionnel de Nanterre pour «trafic d’influence».
En chair et en os, seuls ont comparu son compagnon, également agent municipal, jugé pour avoir encaissé des chèques provenant de la combine, et un commerçant qui a versé la bagatelle de 2 000 € par mois pendant deux ans pour « réserver » des locaux commerciaux du nouveau quartier Gabriel-Péri, où il espérait déménager son épicerie.
Cet homme de 42 ans débite son histoire: «J’ai rencontré Chaharazad dans son bureau à la mairie. Elle m’a fait remplir des papiers, il y avait écrit Ville de Gennevilliers, ça avait l’air normal», se défend-il. Chargée de l’accompagnement de 317 personnes à reloger dans le cadre d’un programme de rénovation urbaine, Chaharazad avait le poste idéal pour tromper les demandeurs de logement en galère. Elle glissait que pour «accélérer le dossier», il fallait graisser la patte des «grosses têtes» de la ville, c’est-à-dire les élus. «Elle disait qu’à Gennevilliers, c’est comme ça que ça marche, reprend le commerçant à la barre. Un jour elle m’a dit que ce serait plus facile si j’habitais Gennevilliers et elle m’a trouvé un appartement.» Un logement social officiellement attribué au compagnon de Chaharazad, mais que ce dernier n’occupait plus. Alors le commerçant a aussi payé le loyer de ce studio, 325 €. Mais le gardien a signalé le changement de locataire. «J’ai reçu une lettre me disant que je n’avais pas le droit d’être là, je l’ai dit à Chaharazad et après, j’ai reçu un appel de M. Muzeau», assure le prévenu. Plus exactement, d’un homme se faisant passer le député (PCF) d’alors, Roland Muzeau. «Il m’a dit de ne pas m’inquiéter.» Le commerçant a donc continué de payer. Trente-deux mille euros en tout, pour le studio et les locaux commerciaux «même pas construits».
Des mères de famille ont également cédé à la tentation du backchich. L’une a versé 4000 € pour «accélérer le dossier», l’autre 1500 €. En 2012, la mairie a déclenché une enquête administrative puis déposé plainte. Dans cette commune où 62% des logements sont sociaux et alors que 4 000 personnes attendent un appartement, a insisté Me Jean-Louis Péru, avocat de la ville, «on ne peut pas admettre que cette tension fasse le jeu des cupides», a grondé la procureur Nathalie Foy. Qui a requis 12 mois de prison et 8000 € à l’encontre de Chaharazad, la même amende et 6 mois de sursis pour son compagnon, et trois et quatre mois de sursis contre ceux qui ont payé pour un appartement. Le jugement sera rendu le 13 octobre.
La maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, cachait 102 lingots d’or au Luxembourg
102 lingots d’or et 865.300 euros en cash. Soit 2,86 millions d’euros au total. Entre le 16 octobre 2008 et le 23 avril 2009, un mystérieux émissaire aurait discrètement vidé le compte de la maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, au Luxembourg.
Les documents font état d’une dizaine de retraits. Ces preuves intéressent le juge d’instruction de Nanterre, Jean-Michel Bergès, qui enquête sur de présumés pots-de-vin dans l’attribution du marché du chauffage de La Défense, en 2001.
Cet énorme contrat avait été attribué par un syndicat intercommunal, présidé par Charles Ceccaldi-Raynaud, le père de l’élue actuelle, alors lui-même sénateur-maire de Puteaux, où siégeait aussi Joëlle. L’ancien sénateur-maire a été mis en examen en 2007 pour favoritisme, recel d’abus de biens sociaux et corruption passive. Il est soupçonné d’avoir touché 750.000 euros de pots-de-vin. Dans ce dossier, cinq magistrats se sont succédé en 13 ans.
L’existence du compte caché de Joëlle Ceccaldi-Raynaud, à la Banque privée Edmond de Rothschild, avait été rendue public en 2011. Charles Ceccaldi-Raynaud, en guerre avec sa fille, l’avait alors accusée d’avoir touché des dessous de table et avait révélé l’existence du compte au juge. À l’époque, l’élue avait assuré que tout était en règle, indiquant que l’argent provenait d’un héritage de sa grand-mère. Pourtant, la justice n’a trouvé aucune trace de ce legs.
Joëlle Ceccaldi-Raynaud n’est pas poursuivie dans l’enquête sur le marché du chauffage de La Défense. Elle a seulement été entendue comme « témoin assisté ». Après la révélation des montants sur son compte au Luxembourg, Christophe Grébert, son principal opposant (MoDem) à Puteaux, « ’espère que Bercy ouvrira tout au moins une enquête là-dessus.
Comment un élu, qui n’a pas d’entreprise, donc pas de chiffre d’affaires, qui n’a pas gagné non plus au Loto, peut-il se constituer un tel capital ?
Valence, des détenus agressent des surveillants pénitentiaires et ouvrent des cellules
Dimanche 25 septembre, aux alentours de 18h30, trois détenus de la prison de Valence (Drôme), ont violemment agressé deux surveillants pénitentiaires, parvenant à s’emparer du trousseau de clés de l’un des deux gardiens blessés.
Ils ont ensuite ouvert plusieurs cellules du bâtiment, et ont mis le feu à des matelas. Deux étages ont sérieusement été saccagés.
L’ordre est revenu vers 22heures, lors de l’intervention des équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS).
Le Syndicat pénitentiaire des surveillants (SPS), a réagi à cette prise de contrôle par les détenus : « Nous ne sommes pas étonné de voir que de tels actes se produisent dans les établissements pénitentiaires… Les détenus ne sont pas dupes et ont bien conscience que le manque d’effectifs de surveillants est propice à une escalade des violences. », a-t-il dénoncé, réclamant un « apport d’effectifs de surveillants ».
Aucune précision n’a toutefois été apportée sur le nombre de détenus ayant rejoint le commando initial, ni l’ethnie de ces derniers.
Pendant que le chômage explose, Hollande « travaille » à sa réélection…
Alors que depuis le début du mois de septembre le chef de la Normalie s’est remis en campagne pour la grande mascarade républicaine de 2017, les chiffres mensuels du chômage pour le mois d’août sont parus ce lundi.
Les chiffres sont sans appel, mais révélateurs de l’inefficacité des élites républicaines à considérer les réelles préoccupations des français.
Alors qu’en juillet la gauche se félicitait que 20 000 demandeurs d’emploi de catégorie A (personnes sans aucune activité) n’aient pas actualisé leur situation auprès de Pôle Emploi, les chiffres ont explosé en août. Avec un nouveau record de 3 556 800 personnes en catégorie A (sans activité), 52 400 demandeurs d’emploi supplémentaires en août soit +1,4%, et près de 100 000 toutes catégories confondues +1,5% (personnes sans emploi, exerçant une faible activité en recherche d’emploi, en formation ou arrêt maladie…).
« c’est pas de bol », comme dirait Hollande. Mais pour la ministre allogène du « travail », cette nouvelle hausse du chômage est un symptôme post attentat : « Ce résultat, nettement moins favorable que ceux des mois précédents, peut s’expliquer notamment par les difficultés rencontrées dans certains secteurs d’activité particulièrement affectés par les attentats de juillet (tourisme, hôtellerie-restauration, commerce de loisir, notamment). », a-t-elle justifié, osant même un argument qui n’a pas son pareil : « Cette hausse a par ailleurs été amplifiée par une augmentation inhabituelle du nombre d’actualisations des demandeurs d’emploi, due notamment à un effet calendaire ». On apprendra à Myriam Elkhomri que l’effet calendaire se produit tous les deux mois.
Pour les catégories A, B et C, il y a actuellement 5 518 200 personnes sans emploi ou exerçant une activité réduite donc insuffisante. Toutes catégories confondues, il y a 6 275 800 demandeurs d’emploi, soit 15% de la population active.
En attendant, François Hollande, qui avait jadis promis qu’il ne se représenterait à la mascarade démocratique s’il ne parvenait pas à inverser la courbe du chômage, est déjà en campagne depuis plusieurs semaines.
Il se promenait lundi, pour la première fois depuis son élection à Calais, ville colonisée, ravagée par les envahisseurs qu’il a fait entrer sur le sol national. Il a été reçu par les routiers sans cesse menacés ou agressés par les racailles étrangères.
Etranger
Europe
Bosnie-Herzégovine : la République serbe de Bosnie conserve sa propre fête nationale
Après l’éclatement sanglant de la Yougoslavie, les accords de Dayton et Paris du 14 décembre 1995 ont tenté de faire perdurer la fiction d’un brassage et d’un vivre-ensemble possible entre des peuples qui s’étaient déchirés en Bosnie. Ainsi est née la Bosnie-Herzégovine, un pays scindé en trois entités territoriales et non-indépendantes : la Fédération de Bosnie et Herzégovine, la République serbe de Bosnie et le District de Brcko.
Dimanche 25 septembre les citoyens de la République serbe de Bosnie étaient appelés par leur président, Milorad Dodik à se prononcer sur le maintien du 9 janvier comme date de leur fête nationale. Le 9 janvier correspond en effet à la date de proclamation de l’indépendance de la République du peuple serbe en 1992. La proclamation de cet État, dont Radovan Karadzic était un des acteurs, fut un point de départ du conflit entre ces peuples qui, une fois le communisme abattu, ne voulaient plus ni vivre ensemble ni d’un pays multiculturel. Et trois mois plus tard le conflit meurtrier éclatait entre Croates de Bosnie, Bosniaques musulmans et Serbes de Bosnie jusqu’à cet accord imposé par la communauté internationale.
Logiquement le référendum a tourné au plébiscite : 99,8% des 1,2 millions d’électeurs convoqués aux urnes se sont prononcés pour le maintien du 9 janvier comme fête nationale de la « Republika Srpska ». Les Serbes de Bosnie tiennent à leur unité en tant que peuple et État et ne se sont pas laissé impressionner par les oiseaux de mauvais augure agitant le spectre d’une nouvelle guerre.
Milorad Dodik a expliqué à ses partisans que la République serbe de Bosnie était « un État ». «Les Serbes ont toujours été libres quand ils ont eu leur État. Et la Republika Srpska est redevable à ceux qui ont eu la vision de la créer, qui ont eu le courage de se mettre à sa tête », a-t-il déclaré citant en particulier Karadzic qui purge 40 ans de prison après sa scandaleuse condamnation pour « acte de génocide, crimes de guerre et contre l’humanité » par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie. En République serbe de Bosnie, beaucoup se reconnaissent comme appartenant au peuple serbe ou comme membres de la «Republika Srpska», pas comme des citoyens de la Bosnie. Et beaucoup continuent de penser que Karadzic n’était pas un criminel de guerre mais un défenseur du peuple serbe !
Italie : la maire de Rome célèbre la première parodie de « mariage » gay
Depuis le 16 septembre dernier, Rome a son premier couple d’invertis « mariés » civilement à la Mairie de Rome par le nouveau maire, Virginia Raggi, du parti Cinq Étoiles. Et comme si ce scandale ne se suffisait pas à lui-même dans la Ville éternelle qui héberge le siège de Pierre, un évêque a trouvé le moyen d’adresser ses félicitations à la paire sodomite pour cette singerie. Et pas n’importe quel évêque, Domenico Sigalini, évêque de Palestrina, secrétaire de la Commission épiscopale pour les Migrations de la Commission épiscopale italienne.
Seule réserve bien timide posée par l’évêque (pour combien de temps ?), cette paire ne peut être qualifié de famille. « Leur vie ne pourra pas être celle définie comme une famille. Il ne s’agit pas de discrimination ou de mépriser le choix de deux personnes qui se veulent du bien. Ce nouveau couple peut même vivre bien mais en sachant qu’il s’agit d’une vie avec des difficultés. Ce couple n’a pas besoin d’illusions. A François et Luca, donc, je leur dis de vivre leur amour en en faisant un don aux autres », a-t-il expliqué.
Cette évêque, comme bien d’autres, semble avoir oublié le canon 2357 du Catéchisme de l’Église catholique : « S’appuyant sur la Sainte Écriture, qui les présente comme des dépravations graves, la Tradition a toujours déclaré que « les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés ». Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas. »
Royaume-Uni : 6 envahisseurs droguent, enlèvent et violent une jeune mère de 26 ans
Une mère de trois enfants a été droguée, enlevée et violée par un gang d’envahisseur lors d’une soirée à Sunderland City Centre au Royaume-Uni. La jeune mère de famille de 26 ans s’est réveillée dans une étrange maison et s’est aperçue qu’elle était couverte de coupures et d’ecchymoses. « Elle a réussi à quitter le lieu et se rendre à la maison d’un membre de sa famille à 5 h le dimanche matin » selon l’inspecteur Paul Milner. La jeune mère a déclaré qu’elle pensait que sa boisson a été empoisonnée pendant la soirée puis qu’elle a été enlevée et agressée sexuellement.
La police a arrêté 6 envahisseurs originaires d’Irak, de Syrie et de Bahreïn en relation avec les faits. Incroyablement ils ont été laissés en liberté sous caution jusqu’au 17 octobre, ce qui a provoqué des réactions et manifestations de citoyens et de militants nationalistes en colère. Les manifestants s’en sont pris à la maison désignée comme étant le lieu où la jeune femme a été retenue. La police est rapidement intervenue pour contenir et réprimer les manifestants dont plusieurs ont été arrêtés.
Royaume-Uni : 4 envahisseurs condamnés pour des crimes sexuels sur des jeunes enfants
Mohammed Ishaque et Irshad Wani de Rochdale, Shahaib Shabbir de Oldham et Gul Zaman de Manchester sont quatre envahisseurs qui ont été condamnés à un total de 42 ans de prison pour leur implication dans l’exploitation sexuelle de personnes vulnérables en l’occurrence des jeunes filles.
Mohammed Ishaque, 56 ans, de Milnrow Road a été condamné à 11 ans pour avoir tenu une maison de passe clandestine et avoir forcé à « travailler » pour lui plusieurs prostituées. Il avait obligé entre autre une jeune fille de 15 ans à avoir des relations sexuelles avec des hommes dans cette maison. Il a plaidé coupable des chefs d’inculpation incluant prostitution d’enfant et viol contre la jeune fille.
Irshad Wani, 35 ans, de Whitworth Roadqui a lui été condamné par un jury pour quatre chefs d’accusation relatif à des actes sexuels avec une enfant. Il a été condamné à neuf ans de prison. Il avait donné de l’alcool et de la drogue a une jeune fille et l’avait contrainte à avoir des relations avec des hommes plus âgés puis avec lui.
Shahaib Shabbir, 29 ans, a refusé d’admettre ses crimes, mais il a été reconnu coupable par un jury de viol et de deux chefs d’agressions sexuelles avec un enfant, après un procès à la Cour de Manchester. Il a été condamné à sept ans de prison.
Gul Zaman, 44 an, a plaidé coupable d’avoir une première fille quand elle avait 14 ou 15 ans, et de payer pour avoir des relations sexuelles avec une deuxième adolescente à au moins 40 occasions. Il a été condamné à 15 ans. Sans domicile fixe, il a été classé comme un délinquant dangereux et il devra purger au moins sept ans derrière les barreaux avant même de pouvoir demander une libération conditionnelle.
Monde
Équateur : un déviant « transgenre » accouche de son premier enfant
L’année passée Fernando Machado, un déviant « transgenre » avait annoncé qu’il était tombé enceinte de Diane Rodriguez, une déviante transgenre. Il y a 4 mois leur premier enfant est donc né et les parents viennent d’annoncer qu’ils comptaient agrandir la famille. Originaire de l’Équateur, c’est la première paire transgenre à tomber enceinte en Amérique latine. « Nous sommes comme les autres familles, même si nous ne pouvons pas avoir les mêmes droits, nous sommes les mêmes. Je ne pensais jamais devenir une mère car je suis un transsexuel» a déclaré Fernando Machado. Sur les réseaux sociaux, ils ont tenu au courant leurs « fans » de l’avancée de la grossesse. Fernando Machado a accouché en juin. Il a aussi partagé des photos de sa cicatrice de césarienne. Diane Rodriguez, la déviante « transgenre » avait déclaré : « C’était le souhait de notre couple et rien de biologique ni aucune loi ne pourraient nous en empêcher. Nous avons décidé de le faire. ».
On trouve dans ces propos le résumé de la tromperie du discours porté par les adeptes de la culture de mort. L’intérêt général et l’intérêt de l’enfant s’opposent à ce que la biologie et le droit se plient aux désirs des déviants.
États-Unis : le suspect de la tuerie de Burlington est un étranger d’origine turque
Le tireur responsable de la mort de cinq personnes, assassinées dans un centre commercial vendredi 23 septembre dans le Nord-Ouest des États-Unis, a finalement été arrêté. Selon le porte-parole de la police de l’État de Washington, le suspect se nomme Arcan Cetin. Il est âgé de 20 ans, né en Turquie et réside à Oak Harbor, une ville voisine de Burlington, commune de quelques milliers d’habitants à 110 km au Nord de Seattle où a eu lieu la fusillade. Aucun autre suspect n’est recherché pour l’instant. L’envahisseur turc, possédant vraisemblablement des papiers américains ou une carte verte, a ouvert le feu au rayon maquillage d’un grand magasin de l’enseigne Macy’s. Quatre femmes et un homme ont péri et le tireur s’est enfui, donnant lieu à une chasse à l’homme. Le FBI a fait savoir qu’il n’y avait à ce stade aucun indice « d’acte terroriste ».
Syrie : les États-Unis ont sciemment bombardé l’armée syrienne à Deir ez-Zor
Les USA ont présenté leurs excuses au président syrien, Bachar El Assad, pour les frappes menées samedi par des forces de la coalition contre l’armée syrienne, a indiqué le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. «Oui, ils se sont excusés», a précisé Sergueï Lavrov dans une interview à une chaîne de télévision russe à propos de l’incident de Deir ez-Zor. Samedi 17 septembre, une semaine après la conclusion de l’accord Lavrov-Kerry sur la Syrie, plusieurs chasseurs de la coalition internationale contre l’État Islamique ont frappé des positions de l’armée gouvernementale près de Deir ez-Zor, faisant au moins 83 victimes. Les États-Unis ont vite qualifié ce raid de « bavure », précisant ignorer que les frappes ciblaient les troupes gouvernementales.
Commentant les frappes le ministère russe des Affaires étrangères avait auparavant estimé que le bombardement américain était à la limite de la négligence criminelle et de la complicité directe avec le terrorisme. En effet les militaires syriens ciblés par les frappes de la coalition étaient encerclés par des jihadistes qui, après l’attaque, ont lancé une offensive et tenté d’achever les militaires syriens blessés.
Bachar el-Assad avait réagi le 21 septembre en affirmant que « ce n’était pas un accident, tout d’abord parce qu’il n’y a pas eu qu’un seul avion impliqué dans l’attaque. Il s’agissait de quatre avions, qui ont attaqué sans relâche les positions des troupes syriennes, durant une heure environ. Vous ne commettez pas une erreur pendant plus d’une heure ».
Une intuition confirmée par des révélations faites ce lundi 26 septembre. Ainsi le renseignement syrien affirme disposer d’un enregistrement audio de la conversation entre les terroristes de l’État Islamique et un commandant américain qui a dirigé les frappes de la coalition internationale contre les troupes gouvernementales à Deir ez-Zor. Et selon la présidente de l’Assemblée du peuple, Hadiya Abbas, après avoir réalisé les frappes, les militaires américains ont pressé les terroristes d’attaquer les positions de l’armée syrienne…
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N°685 septembre 2016
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Couronnement d’épines, 1620, Antoine Van Dyck (Musée du Prado – Madrid)
Franck Attal, patron de la filiale Event, qui organisait les meetings, et désormais accusateur principal, a admis devant les enquêteurs avoir été titulaire d’un « compte non déclaré » en Israël.
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