Saint Wenceslas Duc, Martyr
Sommaire :
Actualité nationaliste France
- Le Professeur Robert Faurisson condamné pour des propos tenus à Téhéran
- Compte-rendu de la rencontre militante de Pau
France
- Villeneuve-Loubet : l’expulsion de la plage de l’étudiante en burkini était un coup monté
- Calais : l’envahisseur kurde gagnait plus de 400 000 euro par mois en jouant les passeurs
- La famille de la femme voilée abattue est liée au grand banditisme
- Un trafic d’héroïne démantelé à Chambéry, quatre Albanais condamnés
- Cocaïne: un réseau de trafiquants Guyanais condamné au Mans
- Prison ferme requise contre Mohamed Bamba et Walid Doualat, les patrons voyous
- Nordine Ahbouch condamné à dix ans de prison pour tentative de meurtre
- L’ancien patron du renseignement intérieur Bernard Squarcini en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour trafic d’influence
- Les cahiers de vacances du franc-maçon !
Etranger
Europe
- Allemagne : deux bombes artisanales attribuées à l’extrême-droite
- Royaume-Uni : 7 envahisseurs somaliens jugés pour des viols sur mineures et l’exploitation sexuelle des jeunes filles
- Kosovo occupé : des étudiants musulmans albanais réclament la destruction de l’église du Christ Sauveur
- Autriche : les envahisseurs mineurs astreints à un couvre-feu pour empêcher les agressions sexuelles
Monde
- Mexique : plusieurs centaines de milliers de Mexicains contre le mariage des sodomites
- Russie : l’exposition pédopornographique clôturée
Vidéo
- Le Rôle Choquant des Juifs dans l’Esclavage 2
Nouveauté littéraire
- Ce qui compte, ce sont les premiers 7 ans – Abbé Pierre Caillon
Kiosque
- Altaïr n° 169
Ephéméride nationaliste
- 28 septembre 1950 : mort de Abel Hermant
Agenda
- 1er et 2 octobre 2016 – Randonnée nationaliste du PNF Roussillon
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Actualité nationaliste France
Le Professeur Robert Faurisson condamné pour des propos tenus à Téhéran
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné aujourd’hui à quatre mois de prison avec sursis et 4.000 euros d’amende l’historien revisioniste Robert Faurisson pour des propos tenus en 2006 à Téhéran dans lesquels il niait l’existence des chambres à gaz.
Robert Faurisson a été reconnu coupable de diffamation raciale. Il a aussi été condamné à verser 3.000 euros de dommages et intérêts à la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), partie civile dans le dossier.
« Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique », avait-il déclaré en décembre 2006 lors d’une conférence à Téhéran.
Ce « mensonge a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’Etat d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand (…) et le peuple palestinien tout entier », avait-il ajouté.
« L’imputation, faite aux juifs, d’exploiter un mensonge historique (…) pour permettre une escroquerie politique et financière présente à l’évidence un caractère diffamatoire », écrit le tribunal dans son jugement.
Compte-rendu de la rencontre militante de Pau
Les origines ou plutôt la cause profonde de cette rencontre militante paloise du dimanche 25 septembre 2016 furent une succession d’événements locaux :
- Arrivée massive de migrants sur l’agglomération ;
- Présence sur tous les gros chantiers de travailleurs détachés ou d’origine non-française ;
- L’incapacité totale de la droite dite nationale de s’imposer sur une terre réputée de gauche ;
- La passivité de la population locale, devenue complétement amorphe ;
- L’effondrement de la gauche sur une terre pourtant historiquement fidèle ;
- La mort lente du petit commerce et de l’artisanat local.
Il fut donc décidé de réunir les personnes de bonnes volontés du département pour les mettre en relation.
Trois groupe de personnes vinrent, réparties dans l’ensemble des Pyrénées-Atlantiques :
- Des jeunes adultes qui ne se sentent pas représentés dans l’offre politique actuelle, au discours aseptisé ;
- Des dissidents de structures de droite ;
- Mais surtout des sympathisants de longue date du Front National de Jean-Marie Le Pen, qui ne se retrouvent plus dans le verbiage socialiste du couple « Madame Philippot » / « Marin Le Pen ».
Les sujets abordés furent autant actuels que passés, c’est à dire des rappels mémoriels à des fins d’analyses actuelles (comprendre « le pourquoi du comment ») ainsi que les fondamentaux nationalistes. En voici une liste non-exhaustive et dans le désordre !
- L’inutilité du parlementarisme actuel, c’est à dire de nos élections sous contrôle occulte ;
- Le fonctionnement du front familial où on change et le vrai visage de la dédiabolisation ;
- Des révélations croustillantes sur les perversions de la pseudo-droite, finalement le parti le plus nuisible de France ;
- L’impasse des nationaux face aux élections ;
- Les origines de nos maux actuels, comprenant le coup d’état bourgeois et maçonnique de 1789, les révolutions judéo-bolcheviques du XXème siècle ;
- La condamnation radicale de l’avortement, véritable génocide de la Race Blanche ;
- La nécessité pour le nouvel ordre mondial d’organiser la subversion raciale ;
- Le rappel de nos origines raciales et religieuses ;
- La situation générale en Occident ;
- Dénonciation du rôle subversif du judaïsme politique et de son symbiote la maçonnerie spéculative ;
- L’état de la population, sa psychologie ;
- La prise en main totale par les cartels bancaire de la presse et donc des élections ;
- Et le plus important : comment renverser la table et changer la donne dans le monde blanc !
Nous pouvons dire que durant trois heures, ce fut un discours direct, construit, limpide, sans langue de bois avec une bonne argumentation, le tout bien loin de tous ces phraseurs qui passent et repassent sur BFM-wc !
Suite à cette réunion de qualité, plusieurs adhésions au PNF furent enregistrées et le lancement du groupe militant des Pyrénées-Atlantiques officialisé !
Longue vie au PNF 64 ! En avant la révolution nationale !
France
Villeneuve-Loubet : l’expulsion de la plage de l’étudiante en burkini était un coup monté
Le 20 septembre dernier toute la presse française avait rendu compte de l’expulsion de la plage de Villeneuve-Loubet d’une jeune arabe à papiers australiens, vêtue d’un burkini. La séquence avait été filmée par la chaîne australienne Channel 7, dans le cadre d’un long portrait de l’étudiante, Zeynab Alshelh. La jeune femme, venue accompagnée de ses parents en France pour « montrer sa solidarité avec les musulmanes françaises » en portant à la plage ce maillot de bain intégral avec voile, est depuis accusée, comme la chaine de télé, d’être à l’origine d’un coup monté. Une célèbre journaliste australienne dénonce un « exercice journalistique sans éthique visant délibérément à dépeindre la France comme étant hostile aux musulmans » et elle affirme que la jeune femme, sa famille et la chaine australienne doivent des excuses à la France pour cette provocation.
En effet il semble bien que dans la séquence montrant un homme déclarant : « Vous faites demi-tour et vous partez », les propos ne s’adressait pas à la jeune femme en burkini. Ce n’est que par l’effet du montage du reportage que la chaine australienne a pu faire croire à l’expulsion de la jeune femme de la plage ! Des témoins de la scène confirment : « Oui, l’homme appelait la police. Pas pour les faire intervenir pour chasser ces personnes, mais pour demander comment on pouvait faire pour empêcher la caméra de nous filmer, surtout nos enfants ». Et d’ajouter : « A aucun moment des gens sont venus demander aux femmes en burkini de quitter la plage ».
Si tu croises un journaliste, gifle-le. Si tu ne sais pas pourquoi, lui il le sait.
Vidéo :
Calais : l’envahisseur kurde gagnait plus de 400 000 euro par mois en jouant les passeurs
Jamal Twana est un envahisseur kurde irakien de 36 ans surnommé le « parrain des trafiquants » ou le « roi de la jungle » (de Calais). Il était un des principaux passeurs d’envahisseurs entre la France et le Royaume-Uni, contre argent sonnant et trébuchant évidemment. Le voyage coutait aux alentours de 5 200 euro et les autorités estiment que son activité a pu rapporter plus de 400 000 euro par mois. Sa fortune personnelle est estimée à plus d’un million d’euro et une partie des gains auraient alimenté la communauté kurde du crime organisé à Londres qui le blanchissait par le biais de ses commerces véreux (restaurants, sociétés de lavages de véhicules…). La rumeur raconte qu’il était capable pour transporter les envahisseurs de déjouer les contrôle poussés effectués dans le port de Calais et notamment les détecteurs de dioxyde de carbone en utilisant des camions transportant oignons ou fromage qui émettent le même gaz.
L’envahisseur aurait été dénoncé par des « clients » insatisfaits et il a été arrêté au petit matin à la suite d’une opération de police sur le camp de Grand Synthe près de Dunkerque. Trois policiers Français auraient été blessés en l’interpelant car des envahisseurs se sont interposés pour empêcher son arrestation. Au regard des éléments accablants concernant son activité de trafic de clandestins, le tribunal l’a condamnés vendredi 16 septembre en comparution immédiate, à 5 ans de prison ferme. Il a été incarcéré et fait également l’objet d’une interdiction définitive du territoire français.
Et c’est à enrichir ce type de voyous que travaillent donc tous les partisans de l’invasion sans limite et les pseudos humanitaires, militants des droits des migrants !
La famille de la femme voilée abattue est liée au grand banditisme
« C’est à cet endroit que les témoins ont déposé la victime lorsqu’ils l’ont sortie de sa voiture », décrit un commerçant installé à proximité des lieux du crime. D’après un habitant présent au moment des faits, « son pouls battait encore à cet instant-là ». Vendredi soir, vers 21h40, à l’angle des rues Mehul et Candale, une jeune conductrice âgée d’une trentaine d’années « a été tuée de six tirs d’arme de poing, dont deux mortels à la tête » par un tireur à scooter, a précisé le parquet de Bobigny dans un communiqué.
« J’ai entendu des coups de feu et je me suis précipité à ma fenêtre. La voiture était arrêtée au feu rouge. La fenêtre de la victime était légèrement entre-ouverte. J’ai seulement vu le scooter – un modèle noir – partir. Son conducteur portait un casque. On ne pouvait pas dire s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme », explique un résident du quartier.
La scène n’a duré que quelques secondes. « Mes clients ont cru que c’était des pétards, puis ils ont vu le scooter filer, s’arrêter et faire demi-tour, comme pour vérifier que la conductrice était bien morte… Car la voiture a légèrement continué à avancer après les coups de feu. Puis, lorsqu’elle s’est arrêtée, le scooter est parti pour de bon rue Méhul », ajoute un restaurateur du coin. D’après le parquet de Bobigny, « les premiers éléments recueillis inscrivent les faits dans un contexte de règlement de comptes».
La république est sauvée car « Aucune parole à caractère islamophobe n’a été proférée par le tireur » à l’encontre de la jeune femme qui portait un voile, ajoute une source proche de l’enquête. Selon le maire (PS) de Pantin, Bertrand Kern, la victime est originaire de Montreuil. «Sa famille est connue des services de police et liée au milieu du grand banditisme», rapporte l’élu.
L’assassin, lui, est toujours recherché. Six douilles ont été retrouvées sur les lieux du crime.
Un trafic d’héroïne démantelé à Chambéry, quatre Albanais condamnés
Quatre Albanais ont été condamnés pour trafic d’héroïne par le tribunal correctionnel de Chambéry, en Savoie. Ils ont écopé de peines de prison ferme de sept mois, deux ans et quatre ans.
La police de Chambéry, en Savoie, a démantelé un important trafic d’héroïne, mardi, avec l’interpellation de quatre Albanais. Ils ont été jugés par le tribunal correctionnel de Chambéry et ont écopé de prison ferme et d’interdictions de rester sur le territoire français. Depuis avril dernier, ils auraient vendu entre neuf et douze kilos d’héroïne. Trente-neuf clients ont été identifiés par les enquêteurs, qui ont ensuite pu remonter jusqu’aux quatre trafiquants.
En avril dernier, la Brigade Anti-Criminalité de Chambéry interpelle, dans le parc du « Clos Savoiroux », un toxicomane en possession de cinq grammes d’héroïne pour un montant de 100 euros. Les enquêteurs comprennent qu’il s’est approvisionné auprès d’un réseau albanais qui alimente désormais le sillon alpin.
Ils mettent en place une surveillance au Clos Savoiroux mais aussi dans le Parc de la Calamine, à Chambéry. Ils identifient quatre hommes, très jeunes, autour de 20 ans.
Le plus ancien considéré comme le « lieutenant » de ce quatuor a reconnu être arrivé en avril dernier, deux autres en juin et le dernier, qui a écopé de la peine la moins lourde (sept mois fermes), est arrivé d’Albanie la semaine dernière.
Les organisateurs du réseau n’étaient pas présents. Ils vivent à Genève et en Albanie. Comme dans plusieurs autres affaires mises au jour à Annecy, Annemasse et Chambéry, les techniques commerciales sont très bien rodées. Les trafiquants ont un « fichier client », ils envoient de sms pour les prévenir des lieux de vente, et envoient les bénéfices de la vente de drogue à leur famille, restées en Albanie, grâce à des mandats envoyés via Western Union. D’après les enquêteurs, d’autres Albanais, recrutés dans leur pays, ne devraient pas tarder à venir prendre le relais de ces trafiquants dans quelques semaines.
Cocaïne: un réseau de trafiquants Guyanais condamné au Mans
En mars 2015, au Mans, les enquêteurs ont intercepté des colis contenant 4,2 kilos de cocaïne en provenance de Cayenne. Jugés, les principaux membres du trafic se retrouvent derrière les barreaux. Peine maximale: cinq ans de prison ferme.
Cinq hommes et une femme, absente à l’audience. Le tribunal correctionnel du Mans a jugé six personnes impliquées dans un trafic de cocaïne entre la Guyane et la Sarthe.
À l’origine, une alerte des douanes, à Cayenne, au sujet de colis contenant 4,2 kilos de cocaïne à destination du Mans. Les enquêteurs décident de laisser partir ces colis pour cueillir les destinataires.
Le 6 mars 2015, le facteur livre les paquets à une jeune femme domiciliée avenue Bollée, au Mans. A la clé, une série d’arrestations qui révèlent l’existence d’un réseau de vendeurs place de la République et place des Comtes-du-Maine, au Mans, mais aussi à Coulaines.
Dans le box des prévenus, les suspects, déjà condamnés pour des affaires de stupéfiants, assurent ne pas être impliqués dans ce trafic juteux : acheté 3€ en Guyane, le gramme de cocaïne, transformée en crack, se vend 80€ au Mans.
Le tribunal a prononcé des peines allant d’un an de prison ferme à cinq ans de prison ferme.
Prison ferme requise contre Mohamed Bamba et Walid Doualat, les patrons voyous
La procureure de la République a requis vendredi dernier deux ans de prison, dont un an ferme, et 18 mois à l’encontre de Mohamed Bamba et Walid Doualat, les patrons d’un salon de coiffure du boulevard de Strasbourg (Xe) qui a défrayé la chronique. La magistrate a aussi demandé des amendes et l’interdiction définitive de gérer une entreprise pour le premier et pendant trois ans pour le second.
La décision du tribunal sera rendue le 10 novembre.
Dissimulation d’embauche, emploi de travailleurs en situation irrégulière, délits d’hygiène et de sécurité : voilà ce qui est reproché aux deux amis. Leur business aurait pu durer longtemps si leurs employés ne s’étaient pas mis en grève en mai 2014 pour réclamer des impayés de salaire. C’est à cette époque que les conditions de travail des 16 salariés du 57, boulevard de Strasbourg éclatent au grand jour : pas de contrat, six jours de travail par semaine, voire sept, « et même les jours de fête », selon une des plaignantes. Un cas qui ne serait pas unique dans ce quartier du Xe, temple de la coiffure afro, où près de 1 500 employés ne seraient pas déclarés et travailleraient dans des conditions délicates.
L’avocat de Walid Doualat, gérant de droit du salon, a peiné à défendre son client. Ce dernier n’a cessé de répéter à la présidente pendant l’audience : « Ce n’est pas moi qui gérais à ce moment-là, je faisais confiance à mon ami. » C’est en effet Mohamed Bamba qui dirigeait le salon. Absent au procès, il a déclaré pendant sa garde à vue qu’il obéissait aux ordres de son comparse. Ce dernier a déjà été condamné à deux mois de prison ferme pour des faits similaires.
Une nouvelle audience se tiendra le 25 novembre, cette fois pour « traite d’êtres humains ».
Nordine Ahbouch condamné à dix ans de prison pour tentative de meurtre
Nordine Ahbouch, 24 ans, a-t-il voulu tuer Kamal B. en lui fonçant dessus avec sa Golf noire, entre Fontaine-d’Ouche et Chenôve, au petit matin du 3 mars 2013 ?.
Il reconnaît tout, à commencer par l’incommensurable bêtise de « la fierté de l’homme au volant ». Lorsqu’il « s’embrouille » avec le petit groupe de jeunes à propos d’un scooter, il quitte d’abord les lieux. « Au bout de cent mètres, j’ai fait un demi-tour au frein à main puis je reviens pour leur faire peur, pour bien leur dire que j’étais pas un lâche qui part comme ça. J’étais avec mon ami, avec des filles… » Il avait bu une bouteille de vodka avec son copain et, dans le camp d’en face, tout le monde était également alcoolisé plus ou moins sévèrement.
Il reconnaît tout et son récit est dans les grandes lignes corroboré par les différents témoins. À un détail essentiel près. Lui, affirme qu’il n’a « jamais eu l’intention de tuer » Kamal. C’était d’ailleurs l’avis, dans un premier temps, de la justice, qui avait décidé d’un renvoi du dossier en correctionnelle, avant que la chambre de l’instruction, saisie par la victime, n’infirme cette vision de l’affaire et ne l’inscrive au rôle des assises.
Et il ne faut pas trop compter sur les témoins qui se sont succédé à la barre pour apporter la lumière. Flous, imprécis, peu enclin à raconter précisément ce qu’ils ont vu… L’explication en a été apportée à la fois par le policier directeur d’enquête et par un des jeunes : ce n’est pas franchement dans la culture des gamins de cité d’aller s’épancher devant la justice. Les amis de la victime expliquent toutefois que Nordine a « foncé dans le tas » après avoir fait demi-tour, ce qui accrédite l’intention homicide.
Pour finir, le tribunal a condamné Nordine Ahbouch à dix ans de prison pour tentative de meurtre
L’ancien patron du renseignement intérieur Bernard Squarcini en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour trafic d’influence
L’ancien patron des renseignements intérieurs Bernard Squarcini a été placé en garde à vue, lundi 26 septembre, dans l’après-midi, dans les locaux de l’inspection générale de la police nationale, à Paris, selon des sources judiciaires. Il est soupçonné de trafic d’influence, dans la même affaire que l’ex-patron de la PJ parisienne Christian Flaesch.
L’ancien directeur central du renseignement intérieur (DCRI, actuelle DGSI) est suspecté d’avoir mis ses réseaux au sein de la police au service de son cabinet Kyrnos, fondé en 2013 après son départ de la DCRI. Il aurait notamment récupéré des informations confidentielles de la police, qui lui servaient ensuite dans le privé. De tels faits pourraient constituer une violation du secret professionnel.
Un contrat conclu avec le géant américain de l’industrie du tabac, Philip Morris, est au cœur de cette procédure ouverte à la suite de perquisitions, menées en avril, dans les bureaux et au domicile de Bernard Squarcini. Selon une source proche du dossier, les enquêteurs cherchent à savoir dans quelle mesure il a pu encourager la police marseillaise à lutter contre la contrebande de cigarettes afin de servir les intérêts de Philip Morris.
Bernard Squarcini connaît bien la région marseillaise pour avoir occupé le poste de préfet délégué à la sécurité auprès du préfet des Bouches-du-Rhône, de 2004 à 2007, avant de rejoindre les renseignements.
Le nom de l’ancien patron de la DCRI apparaît dans deux autres enquêtes, dont l’une porte sur le financement libyen présumé de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, et l’autre sur un volet de l’affaire du cercle de jeu Wagram – il est notamment soupçonné d’avoir demandé le placement d’un policier sur écoute.
Les cahiers de vacances du franc-maçon !
Etranger
Europe
Allemagne : deux bombes artisanales attribuées à l’extrême-droite
L’Allemagne est en état d’alerte après que deux bombes ont explosé à Dresde lundi 26 septembre au soir. L’une a explosé à 21 h 57 devant l’entrée d’une mosquée. Au moment de l’attaque, l’imam était à l’intérieur avec sa femme et ses deux fils, la porte d’entrée a été ouverte par le souffle. Mais personne n’a été blessé. La seconde a explosé à 22 h 19 devant un centre des congrès international sans faire de victime non plus. La déflagration a détruit une baie vitrée. La police a trouvé des traces d’explosifs artisanaux sur les deux scènes de crime.
Un porte-parole de la police de Dresde a affirmé que « même si nous n’avons pas reçu de revendication, nous croyons que le motif xénophobe de ces crimes est évident ». « Nous voyons également un lien avec les cérémonies commémorative de la réunification qui auront lieu ce week-end ». « Nous travaillons à partir de maintenant en mode de crise et notre objectif est de protéger la mosquée touchée et de renforcer la sécurité de toutes les mosquées de la ville ».
Royaume-Uni : 7 envahisseurs somaliens jugés pour des viols sur mineures et l’exploitation sexuelle des jeunes filles
Sept envahisseurs somaliens sont actuellement jugés à la Cour de Bristol au Royaume-Uni pour des crimes sexuels sur de très jeunes filles et pour trafics d’être humain à caractère pédophile. Les très jeunes filles dont certaines avaient à peine 12 ans ont été maltraitées, violées et contrainte à se prostituer au centre de Bristol. Certaines jeunes filles étaient droguées et alcoolisées pour que les hommes puissent abuser d’elle à volonté. Les crimes se sont étalés sur 2011 et 2012. Ils ont été commis principalement mais pas uniquement sur une jeune fille particulièrement vulnérable à l’époque. Les responsables sont donc 7 envahisseurs somaliens poursuivis pour 46 chefs d’inculpation incluant viol, viol sur mineur de moins de 13 ans, agression sexuelle, trafic d’être humain en vue de l’exploitation sexuelle et détention abusive.
Les auteurs : Sakariya Sheikh, 23 ans, connu comme “Zak”; Abdirahman Galal, 26 ans, connu comme “Ramsey”; Mohammed Osman, 29 ans, connu comme “I-Man”; Mohammed Dahir, 24 ans, connu comme “Kamal”; Nuridin Mohamoud, 22 ans, connu comme “Ahmed”; Abdirashid Abdulahi, 23 ans, connu comme “Abs” ou “Older Abs”; et Nasir Mahamoud, 23 ans, connu comme “Ace”.
Kosovo occupé : des étudiants musulmans albanais réclament la destruction de l’église du Christ Sauveur
Un groupe d’occupants musulmans albanais, étudiants de la Faculté de mathématiques et de sciences naturelles de l’Université de Priština a envoyé à une lettre à un média local, vendredi 16 septembre, pour réclamer la démolition ou le changement d’affectation de l’église du Christ sauveur de la ville, dont la construction a commencé dans les années 1990. « Du fait que ce bâtiment a été construit du temps du régime de Milošević, dans la cour même du campus universitaire, nous exprimons notre profonde indignation quant au fait que la République du Kosovo n’ait rien fait jusqu’à maintenant pour détruire ce bâtiment, ou le mettre au service des étudiants de l’Université de Priština « Hasan Pristina » pour leurs études, par exemple en faire une bibliothèque » est-il dit dans la lettre.
On se souvient que cette église a fait l’objet d’actes de vandalisme répétés dont les derniers ont consisté à mettre le feu à des pneus jetés à l’intérieur le 9 septembre dernier. L’évêque de Raska et Prizren, monseigneur Théodose, ainsi que des fidèles ont alors entrepris des travaux de nettoyage et de remise en état. Une telle persévérance et abnégation de la part des croyants orthodoxes ne plait pas aux « étudiants ». Ces musulmans occupants le Kosovo n’ont pas hésité à proféré des menaces à peine voilées. Ils ont déclaré que les travaux de réparation de l’église commencés jeudi dernier, devraient cesser définitivement. « Nous croyons que cette construction n’a démarré que pour déclencher des tensions interethniques. Aussi, nous n’avons pris encore aucune mesure. Mais si cela continue dans les jours qui viennent, nous réagirons, comme l’ont toujours fait les étudiants albanais, par différentes actions de protestations » est-il encore dit dans la lettre.
Jusqu’à quand les autorités occupantes du Kosovo seront elles soutenues par la Communauté internationale et le génocide physique et culturel des Serbes passé sous silence ?
Autriche : les envahisseurs mineurs astreints à un couvre-feu pour empêcher les agressions sexuelles
Au début du mois de septembre la ville de Wells a connue une « épidémie » d’agressions sexuelles sur des jeunes femmes et des filles commises par des envahisseurs mineurs fraichement arrivés en Autriche. Plus de 50 victimes ont désigné à la police les envahisseurs mineurs afghans comme auteur des violences sexuelles qui leur avaient été infligées durant le festival de la ville de Wels. L’enquête des autorités a confirmé que l’ensemble des agressions provenaient d’un groupe Afghans âgés de 14 à 23 ans. Le maire a réagi en instaurant un couvre-feu interdisant aux mineurs de sortir de leur lieu de séjour et de se promener dans les rues de la ville à compter de huit heures du soir sous peine de sanction.
L’Autriche a enregistré plus de 95 000 demandes d’asile en 2015 dont plus de 10 % par des mineurs non accompagnés de leurs parents ou d’un responsable légal.
Monde
Mexique : plusieurs centaines de milliers de Mexicains contre le mariage des sodomites
Samedi 24 septembre une manifestation monstre a eu lieu à Mexico, capitale du Mexique, contre le projet de réforme du président qui veut légaliser les unions de déviants homosexuels. En effet, le 17 mai dernier, le président Peña Nieto a annoncé un projet de réforme de la Constitution pour légaliser, sur l’ensemble du territoire, le « mariage pour tous », jusqu’ici restreint à 9 des 32 États mexicains. Soumis au Congrès, le projet vise aussi à autoriser l’adoption d’un enfant par des couples du même sexe. L’initiative fait suite à une décision de la Cour suprême qui, en juin 2015, a déclaré « inconstitutionnelle » l’interdiction du mariage pour tous.
Rappelons quand même que le président Peña Nieto est issu du Parti Révolutionnaire Institutionnel, mouvement furieusement maçonnique et qu’il a reçu en 2014 le prix de « l’homme d’État de l’année » décerné par la fondation « Appeal of conscience », un des pseudopodes du judaïsme politique international (qui a récompensé François Hollande cette année)
Néanmoins, venus des quatre coins du Mexique, plus de 400 000 manifestants chrétiens (catholiques, méthodistes, évangélistes ou mormons), de tous âges, ont défilé en brandissant des banderoles pour « la défense de la famille », « la santé mentale des enfants » et « contre l’adoption par des couples du même sexe ». La manifestation s’est achevée sans heurt par des discours au pied de la statue dorée de l’Ange de l’indépendance.
Forts de ce succès, les dirigeants du Front National pour la Famille, organisateurs de la manifestation, exigent d’être reçus prochainement par le président. Et déjà des voix discordantes se font entendre sur le projet présidentiel, à l’intérieur même du parti du président. Ainsi, Patricio Martinez, sénateur du PRI, a déclaré que le mariage pour tous « ne fait pas partie des priorités » législatives et que « le PRI, étant majoritaire au Congrès, le projet de loi pourrait être gelé jusqu’à la présidentielle de 2018 ».
Russie : l’exposition pédopornographique clôturée
Un homme s’est introduit dans une exposition de clichés photographiques qui se tient à deux pas du kremlin et a arrosé les œuvres d’urine. L’exposition de l’artiste pourrisseur américain Jock Sturges, connu pour ses nus d’adolescents, présente donc des photos d’enfants et d’adolescents nus ou dans des poses suggestives. Des militants pour les valeurs traditionnelles tels que le groupe « Officiers de la Russie » ou encore la déléguée aux droits de l’enfant auprès du Kremlin (qui avait fait voter la loi interdisant la propagande homosexuelle à la Douma) ont dénoncé l’étalage de « pornographie enfantine » que constitue cette exposition.
Selon le chef de l’association conservatrice « Officiers de la Russie », Anton Tsvetkov, l’organisation a reçu « un grand nombre de plaintes de la part de citoyens indignés ». « Cette exposition est une violation des valeurs russes. Nous, les Russes, avons nos propres valeurs, et elles n’incluent ni la pédophilie, ni des clichés d’enfants nus », a-t-il expliqué. Après des négociations avec les activistes, le Centre des frères Lumière a accepté de mettre un terme à cette exposition controversée. « Nous nous sommes mis d’accord avec le Centre, ils vont répondre favorablement à notre requête et terminer l’exposition », a déclaré Anton Tsvetkov. « Ce centre est destiné à la photographie, à ceux qui s’intéressent à la photo et à l’art russe. Je ne veux pas que mon centre ait des problèmes à cause du comportement inapproprié de certains individu », a confirmé l’organisatrice, Nataliya Litvinskaya.
L’intransigeance face aux fossoyeurs de la culture et promoteur des pires perversions peut payer.
Vidéo
Le Rôle Choquant des Juifs dans l’Esclavage 2
https://www.youtube.com/watch?v=QFzJj0T1b6M
Nouveauté littéraire
Ce qui compte, ce sont les premiers 7 ans – Abbé Pierre Caillon
Les découvertes des sciences humaines depuis un demi-siècle ont montré l’importance capitale des premières années dans le destin de l’homme. D’après certaines expériences, un enfant élevé sans contact avec l’homme dans les sept premières années de sa vie, ne pourra plus apprendre le langage.
Dans une éducation normale, l’apprentissage de la conversation avec Dieu doit se faire en même temps que l’apprentissage de la conversation avec les hommes. La santé spirituelle, c’est-à-dire l’enracinement durable du sens de Dieu, vient dès la première enfance. Heureux l’enfant qui a une sainte mère !
L’abbé Pierre Caillon est né le 14 août 1916 à Vimoutiers (Orne). Ordonné prêtre le 29 juin 1942, il poursuivit des études à l’Institut Catholique de Paris (la « Catho »), puis fut vicaire en paroisse, notamment à Alençon. Professeur pendant dix-sept ans au Grand Séminaire de Sées jusqu’à sa fermeture en 1963, il devint prédicateur itinérant, prêchant chaque semaine, le dimanche, dans une paroisse, sur l’importance des premières années dans le destin de l’homme. Apôtre de l’éducation de la foi chez les tout petits, il fut également un des trois grands spécialistes en France des apparitions de Fatima. Ses conférences ont fait l’objet d’édition en brochures (dont certaines sont actuellement épuisées). L’abbé Caillon a été rappelé à Dieu le 15 mai 2011 à Sées (dans l’Orne).
Du même auteur, dans la même série aux Éditions de Chiré : Un enfant de quatre ans est achevé d’imprimer.
2016, Editions de Chiré, 54 pages.
7€ à commander chez Chiré :
DPF
BP 70001
86190 CHIRE-EN-MONTREUIL
FRANCE
Tél : + 33 (0)5 49 51 83 04
Fax : + 33 (0)9 82 63 52 94
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Ou en ligne : ici
Kiosque
Altaïr
Revue de poésie et tradition
N° 169 septembre 2016
Abonnement 10€ pour l’année –quatre numéros
Jean Pierre Hamblenne BP 19 B – 1420 Braine l’Alleud Belgique
Ephéméride nationaliste
28 septembre 1950 : mort de Abel Hermant (biographie)
Agenda
1er et 2 octobre 2016 – Randonnée nationaliste du PNF Roussillon
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© Jeune nation – 2016
Suzanne Fourment et sa fille, 1621, Antoine van Dyck, (National Gallery of Art – Washington)