La censure de Facebook désormais assurée par la grosse presse pourrie
Accusé d’avoir fait le jeu de Donald Trump aux États-Unis lors de la présidentielle, Facebook a fait amende honorable et a décidé de s’attaquer aux « fausses informations », comprendre : toute information qui n’a pas été produite et validée par la caste médiatico-politique des valets de l’oligarchie ! Aux États-Unis, le réseau social du juif Zuckerberg a mis en place une nouvelle fonctionnalité qui permet aux utilisateurs de signaler des contenus qu’ils jugent faux. Et passé un certain nombre de signalements, Facebook transfère alors les publications incriminées à un « panel » de 43 acteurs revendiquant le statut de « fact-checkers » (« vérificateurs de faits »). On trouve d’abord parmi ces « vérificateurs de faits » des médiats traditionnels mais qui sont acquis ou appartiennent aux grands groupes capitalistes ayant intérêt à la sauvegarde du système en place. Et on trouve également des acteurs privés, prétendument indépendants, mais qui pour nombre d’entre eux ont été créés, organisés ou financés par les nombreuses filiales du judaïsme politique : l’Open Society de Georges Soros, la Fondation de Bill & Melinda Gates, Google ou encore Omidyar Network du milliardaire Pierre Omidyar (fondateur de Ebay).
Et ce système de censure, aux petits oignons pour les lobbies partisans de la perpétuation du système en place, arrive en France. Lundi 6 février Facebook a annoncé qu’il collaborait désormais avec huit médias français de la grosse presse pourrie « pour réduire la présence de fausses informations sur le réseau social ». Le quotidien « de référence » du politiquement correct et du conformisme social-libéral, Le Monde, confirme sa participation : « En France, outre Le Monde, les médias partenaires sont l’Agence France-Presse (AFP), BFM-TV, France Télévisions, France Médias Monde, L’Express, Libération et 20 Minutes ».
En pratique le dispositif permet aux utilisateurs, grâce à une nouvelle catégorie de signalement, de « faire remonter » une information qu’ils pensent être fausse. Les liens signalés sont rassemblés au sein d’un portail, auquel les médias partenaires ont accès aux fins d’une prétendue vérification de leur authenticité. Si deux médias partenaires établissent que le contenu signalé est « faux » et proposent un lien qui en atteste, alors ce contenu apparaîtra aux utilisateurs avec un drapeau mentionnant que deux « vérificateurs de faits » remettent en cause la véracité de cette information. Quand un utilisateur voudra partager ce contenu, une fenêtre s’ouvrira pour l’alerter… pour l’instant, avant que le partage soit un jour désactiver ( ?).
Le Monde précise toutefois qu’il s’agit pour l’instant d’une expérimentation d’une durée de deux mois et que si la collaboration devait se prolonger, la question de la rétribution par Facebook du travail des partenaires « vérificateurs de faits » serait posée…
Rétribués pour imposer leurs mots d’ordre et préjugés sur les réseaux sociaux, le nouveau filon de la grosse presse française pourrie en mal de lecteurs, mais pas de subventions…