Le double meurtre de deux policiers à leur domicile par Larossi Abballa dont l’assassinat a été revendiqué par Daech n’est pas la première : il y a eu Mohammed Merah, Sid Ahmed Glam, la décapitation de Saint Quentin Falavier, Mehdi Nemouche, les frères Kouachi, la bande du 13 novembre (Abaoud, les Abdeslam, Abrimi..) et d’autres encore.
Tous ont, à leur façon, obéi à Abou Mohamed al Adnani, le porte-parole de Daech, qui a appelé au meurtre de civils français et américains : « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le…»
Mais, à chaque fois, le message de la presse aux ordres est le même : « c’est un Français », « ils sont tous Français », expression dans laquelle le crétinisme le plus pur le dispute au mépris le plus absolu du public : non, il ne s’agit pas de « Français », mais de « français de plastique », titulaires d’un petit rectangle plastifié, appelé CNI dans le jargon « technocratopoliticard. » Cette Carte Nationale d’Identité, leur république, dans sa haine insensée de notre passé (« du passé faisons table rase ! ») et dans sa volonté de défranciser la Nation, la distribue dans l’inconscience la plus stupéfiante, depuis les Décrets Chirac de regroupement familial de 1976.
Français, ils ne l’ont jamais été, ils ne le sont pas et ne le seront jamais, d’abord, et tout simplement parce qu’ils ne veulent surtout pas l’être. Ce qu’ils veulent, c’est que le monde, en général et la France en particulier deviennent musulmans. Ce qu’ils veulent, c’est étendre le « Dar el Islam » (le monde gouverné par l’Islam) dans tout le « Dar el Harb » (le reste du monde, l’ensemble des pays où la guerre contre les mécréants dits : koufars est juste et nécessaire, afin de les faire devenir musulmans) : et, s’ils arrivent à leur but, ces bons apôtres de « la religion de paix et d’amour » (pas réellement ce qui dispense le Coran, vous serez servis en termes de haine et de violence…).
Ces gens-là n’auraient jamais dû venir naître en France, et encore moins devenir « légalement, certes », mais pas légitimement Français. Maintenant que le mal est fait, il faut le réparer. Mais, il ne faut pas se leurrer : ce n’est certes pas du Système, qui a créé ce problème, que viendra la solution. Au point où les choses en sont arrivées, les solutions classiques, qui sont connues : arrêter d’abord immédiatement toute arrivée nouvelle d’étrangers en provenance notamment d’Afrique du Nord ou subsaharienne (300.000 entrées par an à l’heure actuelle…), ne suffiront même plus. Il faut avoir la lucidité et le courage de regarder les choses en face, et d’appeler les choses par leur nom : ce vers quoi nous nous dirigeons, c’est :
- soit la prise du pouvoir lente, puis de plus en plus rapide du pouvoir, en France, par l’Islam. Alors ne nous resteront que les trois possibilités offertes (!) aux non-musulmans en pays d’Islam :
- nous convertir à l’Islam,
- ou être tués par les nouveaux maîtres,
- ou devenir des « dhimmis », c’est-à-dire des citoyens de seconde zone, aux droits très fortement restreints, quand il leur en reste (à titre d’exemple, voyez le sort des Coptes, en Egypte…)
- soit, enfin, une réaction décisive du peuple de France non renié, une insurrection, en vue de reconquérir notre territoire, de le libérer de ces populations allogènes dont nous n’avons jamais souhaité la présence chez nous et qui sont comme un corps étranger dans le pays.
Bref, ce sursaut, ce sera une guerre de Libération nationale; une guerre de Libération du territoire. Une de plus, dans notre Histoire déjà longue. Et peut-être pas la plus facile, mais il faut savoir ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas; ce que l’on veut devenir et ce que l’on ne veut pas devenir. Et agir en conséquence. Aujourd’hui, c’est clair, les choses ayant empiré pour en arriver au point de rupture où nous en sommes, nous devons nous préparer mentalement et moralement car ce ne sont pas des vacances au soleil qui nous attendent.
François Palaffittes