En octobre, le chef du protocole dégénéré de Manuel Valls, le brigadier-chef Philippe D., était suspendu après la découverte de vidéos dans lesquelles l’homme, entre autres abominations se livrait à des actes sexuels mêlés à des actes scatophiles. Les vidéos réalisées étaient disponibles, contre paiement, sur des sites spécialisés dans la diffusion de ces vidéos infâmes.
Des faits connus depuis des mois qui ne l’avaient pas empêché d’être autorisé par sa hiérarchie à participer au 14 juillet, où il avait fièrement défilé devant François Hollande et Manuel Valls. Sans doute la plus belle performance scatophile pour ce dégénéré…
Hier, c’est une autre affaire qui a été révélée, éclairant d’un jour particulier le choix des collaborateurs du ministère de l’Intérieur. Un policier en poste au ministère même, place Beauvau, au sein de la SSMI, le service de sécurité du ministère de l’Intérieur, se prostituait la nuit.
L’homme de 23 ans a été suspendu à titre conservatoire. Son « activité » n’a été découverte ni par ses collègues spécialisés dans la répression de la prostitution, ni par les services du ministre visiblement peu regardant concernant les personnes sous ses ordres directs, ni par la DCRI, mais par la cellule anti-blanchiment du ministère des Finances. Celle-ci s’est étonnée des importantes sommes d’argent transitant sur les comptes du fonctionnaire et a alerté les services compétents qui ont à leur tour informé le ministère de l’Intérieur.
Les faits ont été signalés en avril 2013 ; l’homme a été entendu seulement trois mois plus stard, en juillet, date à laquelle il avait reconnu qu’il se prostituait. Malgré cela, depuis déjà sept mois, le jeune homme continue à toucher son salaire de fonctionnaire en plus de ses autres activités nocturnes de prostitution.
il y a quelque chose de pourrie dans la police française, surtout à Paris