Dans la nuit du dimanche 15 au lundi 16 octobre 2017 vers 4 heures du matin le russe Piotr Pavlensky, que les médiats du régime osent encore qualifier « d’artiste », a mis le feu à un bâtiment de la Banque de France situé sur la place de la Bastille à Paris, dans une mise en scène à connotation satanique. Il a rapidement été arrêté par la police.
Pavlensky, chantre de l’anarchie sous couvert de « performances » artistiques à la sauce contemporaine, est en réalité un pervers dégénéré, né en 1984 à Saint-Pétersbourg.
Piotr Pavlensky, une santé mentale en question
Il est connu pour ses actions extrêmes prétendument dirigée contre les institutions russes mais qui ressemblent plus aux actes d’un psychopathe ou d’un psychotique. En effet l’individu n’hésite pas à se mutiler au cours de ses fulgurances délirantes. Qu’on en juge :
Pavlensky s’est fait remarquer en 2012 lorsque, en soutien aux Pussy Riot alors emprisonnées, il s’était cousu les lèvres et s’était installé devant la cathédrale Notre-Dame-de-Kazan de Saint-Pétersbourg.
Quelques mois plus tard, il s’était installé nu, couché dans des barbelés, au pied de l’Assemblée de Saint-Pétersbourg – il protestait contre des lois répressives en Russie.
Un des actes le plus marquant a eu lieu en novembre 2013 : il s’est cloué la peau des testicules aux pavés de la Place rouge, en face du Kremlin pour dénoncer « l’état policier » qui guettait la Russie. Une expérience douloureuse qui lui avait valu 15 jours de prison mais pour laquelle il n’avait pas été poursuivi.
Et encore en 2014 encore, assis dans le plus simple appareil sur le mur de l’institut psychiatrique Serbskïi de Moscou, il s’était coupé un morceau d’oreille. Intitulée « Séparation », cette « performance » visait à dénoncer des examens psychiatriques auxquels auraient été soumis des dissidents enfermés.
Enfin, en novembre 2015, Piotr Pavlensky avait mené une opération coup de poing baptisée « Menace », mettant le feu (déjà) à la porte d’un bâtiment du FSB, les services du renseignement intérieur russe. Filmé jusqu’à son interpellation par un policier, il était alors conduit en garde à vue dans les locaux du FSB, sa « performance » étant mise en ligne avec un message : « La porte en flammes de la Loubianka est un gant jeté par la société à la figure de la menace terroriste. Les services fédéraux de sécurité utilisent la terreur sans fin pour tenir sous leur pouvoir 146 millions de personnes. »
Encourant 3 ans de prison pour vandalisme, il a finalement écopé d’une amende de 500 000 roubles soit 7 900 euros. Un verdict ne traduisant pas vraiment une répression fanatique digne d’une « terreur sans fin » pour un État et une justice confrontés à un multi-récidiviste de la provocation graveleuse, gratuite, outrancière et laide !
D’ailleurs après l’incendie de la porte de la banque de France, « à la suite d’un examen de comportement réalisé ce matin, Monsieur Pavlensky a été admis à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police » selon une source judiciaire.
Piotr Pavlensky, pseudo-réfugié mais vrai agresseur sexuel et vrai parasite !
Accusé d’agression sexuelle contre une actrice de théâtre en Russie et risquant une peine de 10 ans d’emprisonnement, Piotr Pavlensky a obtenu le statut de réfugié politique en France en janvier 2017 et il est donc aujourd’hui installé dans notre pays, avec sa femme et ses deux enfants.
Dans un entretien du 13 septembre dernier à une radio allemande, Piotr Pavlensky décrivait, toute honte bue et avec une morgue sans équivalent, sa vie de sa famille en France :
« Nous ne travaillons pas, nous ne payons rien et nous squattons la maison dans laquelle nous vivons (…) Nous prenons de la nourriture dans les magasins : ici la sécurité n’est pas très attentive. Les transports sont également relativement mal contrôlés. »
Les Français, qui entretiennent par leurs impôts le séjour sur leur territoire de pareils parasites, peuvent remercier la juive marocaine à papiers français, Audrey Azoulay. Celle-ci, alors ministre de la Culture du gouvernement Hollande-Valls, et désormais directrice générale de l’UNESCO, se gargarisait à l’époque de l’obtention du statut de réfugié par de tels provocateurs, sans toutefois nommer « l’artiste » : « C’est parce que la France défend les libertés que les artistes du monde y trouve refuge », avait-elle tweeté, faute d’orthographe incluse !
L’expulsion de Pavlensky, rien n’est moins sûr…
Mercredi 18 octobre, Pavlensky et sa femme ont été placés en détention provisoire, après avoir été mis en examen dans la journée par un juge d’instruction pour « destruction du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes ».
La justice et les pouvoirs publics sauront-ils maintenant faire appliquer les règles qui régissent la déchéance du droit d’asile dans toute leur rigueur, contre ce parasite « doux dingue » mais dangereux incendiaire ?
Rien n’est moins sûr dans les démon-craties occidentales où la bourgeoisie libéral-libertaire qui peuple les sphères du pouvoir a été capable de décerner en 2016 à Pavlensky, depuis Oslo, un « prix Vaclav Havel de la dissidence créative ». Cela laisse rêveur…
Il est donc plus que temps de renverser ce régime pourri aux mains d’une caste capable de s’ébahir stupidement (ou hypocritement ?) aux pitreries d’un profiteur, pervertisseur, dangereux et de lui accorder, à ce titre, asile politique et subventions.
Ce n’est pas l’expulsion qui lui rendrait service, mais une balle dans la tête ! Ce serait d’ailleurs un signal très fort à tous les pseudo-réfugiés de la planète ! Je voudrais bien voir ça ! En France ! Dans le « Pays des droits de l’homme » ! Là ou même les Russes ont échoué !