Lors de l’Acte 18, le saccage des Champs Elysées et de boutiques de luxes ont suscité l’émoi chez les parisiens émasculés qui n’ont en revanche pas un mot de compassion pour les millions de Français qui subissent la violence sociale d’un Etat voyou et corrompu. Après ce fiasco qui a vu bruler le Fouquets (pour notre plus grand plaisir), le gouvernement décide de durcir la répression en mobilisant les militaires de la force Sentinelles dès samedi prochain. Nouvelle dérive totalitaire d’un pouvoir aux abois. Mercredi, le porte parole du gouvernement Benjamin Griveaux a appelé à « durcir la réponse » face aux « émeutiers ». Quand il s’agit de réprimer le peuple en colère, le pouvoir s’en donne les moyens. Outre le recours à l’armée pour décharger les policiers et gendarmes de leur mission de protection, le gouvernement a annoncé l’utilisation de drones et de produits avec marqueurs indélébiles pour faciliter l’identification des manifestants.
Dans le même temps le pouvoir, par lâcheté, démagogie et intérêt électoraliste refuse d’envoyer la police mater la racaille dans les enclaves étrangères, véritables zones de non droit qui pullulent sur notre sol.
Lors des récentes émeutes urbaines de Grenoble, les envahisseurs ont brulés les voitures par dizaines parce que deux délinquants en herbe issues de la diversité sont morts dans une course poursuite en scooter volé. La police n’a pas bougé, les médias n’en ont pas parlé.
Le camp des cosmopolites montre ses priorités, poursuivre la paupérisation du peuple et l’invasion migratoire qui entraine le remplacement des Français par les allogènes. Afin de mener à bien le projet mondialiste de destruction de la Nation, leur République s’emploie à désarmer les Français physiquement, moralement et intellectuellement. Loin de venir sur le terrain des arguments et du sérieux, le gouvernement multiplie les lois liberticides sur les injonctions de la communauté en ballotage afin de museler toute parole réellement subversive. Lorsqu’il ne peut nous faire taire, le pouvoir frappe, et de plus en plus fort !
Mais il en faut plus pour nous décourager, le combat continu ! En avant la victoire !
Thomas Roger