Manuel Valls a volontairement facilité l’espionnage de la France par Israël
À l’occasion de sa visite en Israël, du 21 au 24 mai dernier, le Premier ministre Manuel Valls et ses collaborateurs ont été priés de « laisser leurs téléphones sécurisés avant d’être reçus en haut lieu ». Et le chef du gouvernement a accepté, prenant le risque de les perdre de vue et de faciliter ainsi les possibilités d’espionnage. Les agents de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information sont aujourd’hui priés de mener des investigations poussées, puisque « en les reprenant, la délégation a eu la mauvaise surprise de constater que plusieurs d’entre eux présentaient des signes « d’anomalie » qui auraient alerté les services français.
Les commentateurs spécialisés s’étonnent d’une telle négligence. Il est surprenant que la France prenne ainsi le risque de confier à une puissance étrangère des téléphones qui sont spécialement conçus par nos services spéciaux pour résister aux attaques et disposer de procédures de chiffrement particulières, qui doivent garantir la sécurité des informations. Toute possibilité pour des espions de prendre physiquement possession d’un tel téléphone portable présente un risque d’ingénierie inversée mettant en danger les intérêts fondamentaux de la France.
Certains qualifieront ce comportement de faute de débutant qui confine à la négligence grave. Mais étant donné les liens avec Israël que Manuel Valls ne cesse de revendiquer, la question d’un acte volontaire destiné à faciliter l’espionnage de la France par une puissance étrangère est posée ! « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ! Quand même ! ».
Dans un État de droit où les institutions et les médiats ne seraient pas inféodés au judaïsme politique, une instruction serait diligentée contre Manuel Valls par la Cour de Justice de la République pour faire la lumière sur d’éventuels faits de trahison !