Il ne nous appartient pas, abstraction fait de cette dangereuse chimie de l’intellect que Paul Valéry voyait dans l’Histoire, foyer de passions et d’intérêts, de traiter moralement et juridiquement de l’événement criminel proprement dit, puisque l’affaire d’Oradour a déjà commencé d’être jugée par la loi du 15 septembre 1948, complétant l’ordonnance du 28 août 1944, avec l’approbation unanime des chambres parlementaires, recevant le nom de « Lex Oradour », et que qui s’y frotte s’y pique ! Il s’agissait de confondre tous les membres d’une organisation déclarée criminelle, Alsaciens de nationalité française et autres, pour l’action de l’après midi du 10 juin 1944.
Maître Schreckenberg président de la chambre des avocats de Strasbourg plaidait la contrainte d’engagement ; la chose est discutable, mais le fait de l’hostilité générale alsacienne à la « Lex Oradour » est avérée ! L’Alsace avait par ailleurs perdu 42 000 tués et disparus dans l’armée allemande. De nombreux Alsaciens étaient prisonniers au camp soviétique russe de Tambov, coupés de toute inspection de la Croix Rouge.
Cette décision législative des deux chambres françaises est antérieure de quelques années au Procès de Bordeaux commencé le 13 janvier 1953, ayant bien condamné à mort le sous-officier (Unterscharführer) alsacien Boos, et douze Alsaciens au travail forcé ou à des peines de prison entre cinq et huit ans, qui souleva toute l’Alsace, et l’on assista à ce déchirement national qui d’un côté (voir Le Monde du 25.2.1953) faisait protester à Limoges la rouge (où le fameux instituteur communiste Georges Guingouin, que Jacques Duclos devait traiter de renégat, et connu pour sa radicalité, et pratique de la terreur de classe, sous couvert de patriotisme, venait de donner sa démission, le 15,janvier 1953 du Conseil municipal) une foule de 50.000 personnes contre la clémence du jugement du tribunal militaire bordelais, cependant que l’Alsace longtemps, des siècles durant, impériale, portait le deuil. Tous les hôtels de ville et monuments aux morts de la guerre se drapèrent de crêpe de deuil. Les bourgmestres de toutes les villes et de tous les villages défilèrent devant le monument aux morts de Strasbourg ; sur tous les tableaux d’affichage public se trouvaient les mêmes mots : « Nous n’acceptons pas ce jugement ».
Allons-nous rouvrir cette plaie? Et après le Brexit réel, le Frexit utopique, allons-nous assister dans une ou deux décades à un Elsexit ? C’est là que nous jugeons du danger du pèlerinage laïque de l’ancien élève des Jésuites d’Amiens et marcheur, comme il se veut être nommé. Comme il ne fait rien sans être plutôt agi qu’actif, quelle manœuvre politique et quelle stratégie de division entre les deux rives du Rhin se prépare, dont la cérémonie civique d’Oradour serait le point de départ ? Allons nous assister à un nième encerclement de l’Allemagne qui ne peut être asservie économiquement et encore moins financièrement, puisque son taux de chômage de 5,7 % revient à celui de 1989, malgré les perfusions démographiques du dr. Soros, mais bien être démoralisée, asservie psychologiquement par le rappel des fautes, la plus grande étant d’avoir été vaincue, au point de devoir acheter des drones sionistes, elle qui leur fabrique des sous-marins ensuite équipés d’armes nucléaires et destinés à naviguer dans le golfe Persique.
Il nous est civiquement et européennement permis de situer, en effet, cette visite électorale, en cette veille du Dimanche des législatives, du Président de la R.F. Emmanuel Macron dans un contexte où une dynamique qui n’est pas seulement nationale, comme on pourrait réfléchir sur je ne sais quelle Saint Barthélémy ou massacre en masse de Vendéens et de Lyonnais, comme il s’en produisit, ou encore évoquer cette jolie petite ville de Freudenstadt en Forêt Noire violentée, à partir du 20 avril 1945, par nos troupes franco-marocaines (que l’on fit boire) et des bandes organisées révolutionnairement, clamant « Vengez Oradour », violant en quelques jours 600 femmes, avec 10 % de grossesses et 70 assassinats, et appeler à une concorde, un pardon réciproque des offenses et des hostilités passées, comme Mitterrand et Kohl se tenant par la main au mémorial de Verdun, ou encore la reine d’Angleterre à Dresde, la Florence de l’Elbe, détruite et brûlée par son armée.
Que Pearl Harbour, par ailleurs dénoncé comme une provocation de leur propre camp par un amiral et autres militaires de la marine US dénonçant la responsabilité unique de Roosevelt, ait entraîné une haine telle du Japon et de sa population civile, qu’il en fut atomisé, puisse servir d’exemple à une initiative d’hostilité ou de mise en quarantaine contre nos anciens ennemis en réalité plus dressés contre « le vampire du Continent » (Der Vampyr des Festlandes), comme le baron Rewentlow en 1915 nommait l’impérialisme britannique contre nous, et nous pousser, par une germanophobie ressuscitée à un mise sous tutelle de l’Europe réelle au profit des fauteurs connus de ces guerres précédentes et des syriennes contemporaines, doit amener à chercher la « pensée de derrière la tête », stratégique, des conseillers de l’Élysée ! Car la tête est multiple !
Pierre Dortiguier
Aujourd’hui, le funeste Macron s’est rendu une deuxième fois en peu de temps à Oradour-sur-Glane.
Je ne pense pas qu’il ait pourtant quelques affinités bienveillantes pour la ‘’France profonde’’ en général ou pour le Limousin en particulier.
Non car lui (par sa mère de souche marrane et portugaise -comme F. Hollande-) et sa caste ne se plairons jamais que dans un tout autre pays : le leur propre.
Pays qui ne sera jamais sur aucune carte (au contraire du Mordor du seigneur des anneaux) mais qui pourtant existe vraiment.
Pays qui est également dominé par une tour au sommet de laquelle brûlera éternellement l’œil de Satan.
Pays des plus accueillant (au début) et dont les limites sont si incertaines et si proches de nous que l’on peut les franchir, pour peu qu’on le désir, sans même faire un pas.
Ne pas croire que ce jour et ce déplacement sont anodin pour lui, il entend marquer par-là le moment initial, le sens et le ‘’lieu’’ de son règne à venir.
Explication :
I – Cette citation de Maurice Bardèche, concernant l’ignominie qu’a été le tribunal de Nuremberg, est étonnante de prémonition historique.
” Le monde est désormais démocratique à perpétuité. Il est démocratique par décision de justice. Désormais, un précédent judiciaire pèse sur toute espèce de renaissance nationale.
[…]
La condamnation du parti national-socialiste va beaucoup plus loin qu’elle n’en a l’air. Elle atteint, en réalité, toutes les formes solides, toutes les formes géologiques de la vie politique. Toute nation, tout parti qui se souviennent du sol, de la tradition, du métier, de la race sont suspects. Quiconque se réclame du droit du premier occupant et atteste des choses aussi évidentes que la propriété de la cité offense une morale universelle qui nie le droit des peuples à rédiger leurs lois. Ce n’est pas les Allemands seulement, c’est nous tous qui sommes dépossédés. Nul n’a plus le droit de s’asseoir dans son champ et de dire : « Cette terre est à moi ». Nul n’a plus le droit de se lever dans la cité et de dire : « Nous sommes les anciens, nous avons bâti les maisons de cette ville, que celui qui ne veut pas obéir aux lois sortent de chez moi ». Il est écrit maintenant qu’un concile d’êtres impalpables a le pouvoir de connaître ce qui se passe dans nos maisons et dans nos villes. Crimes contre l’Humanité : cette loi est bonne, celle-ci n’est pas bonne. La civilisation a un droit de veto.
Nous vivions jusqu’ici dans un univers solide dont les générations avaient déposé l’une après l’autre les stratifications. Tout était clair : le père était le père, la loi était la loi, l’étranger était l’étranger. On avait le droit de dire que la loi était dure, mais elle était la loi. Aujourd’hui, ces bases certaines de la vie politique sont frappées d’anathème. Car ces vérités constituent le programme d’un parti raciste condamné au tribunal de l’humanité. En échange, l’étranger nous recommande un univers selon ses rêves. Il n’y a plus de frontières, il n’y a plus de cités. D’un bout à l’autre du continent, les lois sont les mêmes, et aussi les passeports, et aussi les juges, et aussi les monnaies… ”
Maurice Bardèche, 1948, Nuremberg et la Terre promise.
II – Mon épouse a tout de suite remarqué que Macron a deux alliances, une à la main droite, et une à la main gauche (les femmes ont le chic pour cela).
Plusieurs explications existent à cette curieuse manie …
L’une d’elle est que la première scelle l’alliance, dans les hautes sphère d’une certaine franc-maçonnerie, de Satan d’avec ceux qui lui ont vendu leur âme (Se non è vero … è ben trovato !).
Mais revenons-en à cette frontière invisible qui ne reconnait pourtant ni les lieux, ni le temps :
En 1944/45 et pleine en période de massacres d’allemands, tantôt aussi mesquins que lâches par une certaine ‘’résistance’’, tantôt aussi massifs que par les bombardements alliés (Dresde), et pour finir aussi barbares que systématiques par les tueurs bolcheviques d’URSS ; l’on aurait pu à la rigueur constater que des divisions allemandes eurent perdu les pédales et commis l’irréparable …
Ce ne fût même pas le cas à Oradour-sur-Glane où l’église cachait un dépôt d’armes et d’explosif de la ‘’résistance’’, et preuve à l’appuis :
https://www.youtube.com/watch?v=LD77eqOgeFw
A l’intention de Macron et des quelques ‘’résistants’’ du Limousins (région dont je connais bien la noirceur de la conscience de certains … qui y ont perdu leurs âmes depuis longtemps) :
« Vous avez le Diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père.
Il a été homicide dès le commencement, et il n’est pas demeuré dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui.
Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur, et père du mensonge ».
Jean 8/44.
“Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits ; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le Diable et pour ses anges.”
Saint Matthieu 25: 41