Malgré l’immense danger représenté par les tueurs de l’État islamique (ÉI) à papiers français, François Hollande et Laurent Fabius, dans une posture criminelle, empêchent les services de renseignements français de travailler avec leurs homologues syriens. La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a ainsi tenté au début de l’année de rétablir des relations avec les services de sécurité syriens, pour être alertée en cas de danger terroriste contre la France et pour obtenir des informations sur les islamistes partis combattre depuis la France en Syrie.
Le gouvernement syrien s’est montré favorable à ces requêtes, demandant simplement en retour l’arrêt des incessantes insultes proférées par l’israélite Laurent Fabius et la réouverture de l’ambassade de France en Syrie, au service de tous les Français comme de tous les Syriens sans distinction d’appartenance politique.
Au mépris de la sécurité des Français, le gouvernement a opposé une fin de non-recevoir à cette demande, une position d’autant plus criminelle qu’elle est hypocrite puisque les services français sont déjà passés par l’Allemagne – qui, elle, entretient des relations avec la Syrie – pour obtenir des informations.