Un milieu religieux particulier qui se manifeste également au Canada
Il y a quelques jours, l’autorisation de poursuivre ses activités accordée à une école hassidique sise au Québec avait été l’occasion de se remémorer une claire misogynie raciste de ces juifs extrémistes envers les femmes non juives (élue communale, policières…), la barbarie envers le règne animal, le non-respect des lois par la confiscation de l’espace public lors des fêtes juives en arguant ensuite de l’état alcoolisé de leurs jeunes gens pour s’auto-excuser des violences, ou encore la récidive de trafic de boissons alcoolisées en contournant systématiquement la législation en vigueur au Canada.
L’habitude des escroqueries financières gigantesques à New York
La scène se déroule, cette fois-ci, de l’autre côté de la frontière, aux États-Unis où Bernard Madoff – « Bernie » pour ses amis des médiats du Système – dort en prison après sa gigantesque arnaque avec laquelle il a pu soutirer une cinquantaine de milliards de dollars (entre 200 et 250 milliards de francs…) d’investissements à toutes les banques et leurs clients de la Terre, pour verser des revenus financiers aux premiers investisseurs de son montage financier, qui fréquentaient généralement la même synagogue que lui et ont plus que doublé leur capital en vingt ans, avec ce qu’il a pu ensuite collecter auprès de Goyim rendus crédules par la presse financiariste – les médiats nous ont laissé croire que les coreligionnaires hollywoodiens de Madoff y auraient perdu, ne laissant s’exprimer que ceux qui se sont lamentés et sont présentés comme des « victimes » –, système que l’autorité des marchés américaine avait laissé perdurer malgré les alertes qu’elle avait reçues depuis le début, et tandis que l’on versait des revenus financiers confortables (8 à 14 % de rendement fictif annuel pendant plus de vingt ans) aux premiers investisseurs de ses amis, en piochant dans les versements ultérieurs de tous les autres.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=v3JylZkfPnY&feature=player_detailpage#t=2301[/youtube](à partir de la 38e minute)
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=6JDnIwUVCNo&feature=player_detailpage#t=2431[/youtube](à partir de la 40e minute)
L’arbre Madoff cache-t-il la forêt des escrocs ?
Après « Bernie » et de nombreux autres (bandes organisées de faux-monnayeurs et de faux rescapés de camps de travail nés vingt après les faits, par exemple), c’est au tour de la famille Rubin et quelques autres membres de leur microcosme de défrayer la chronique avec une nouvelle escroquerie financière, mais à « seulement » vingt millions de dollars (source en anglais), cette fois-ci, quoiqu’il faille y ajouter une fraude aux aides sociales simultanée, puisque ces truands se disaient tantôt riches pour emprunter à volonté auprès de banques et… tantôt pauvres pour recevoir des allocations contre la pauvreté !
Les quinze suspects, tous issus de New York – Brooklyn, Manhattan et la colonie juive ultra-religieuse de Kiryas Joël – ont donc bâti leur vie sur le mensonge à des fins de rapine à grande échelle.
En, effet, ils présentaient des faux en tout genre pour obtenir des prêts hypothécaires, dont les remboursements étaient faussement « garantis » par des biens immobiliers… imaginaires ou surestimés et déjà grevés d’autres emprunts hypothécaires, tout comme les autres biens, comptes bancaires et revenus dont ils se vantaient quand ça les arrangeait. Il a ainsi été prétendument déclaré jusqu’à 31 000 dollars de revenus mensuels… pour se faire avancer plus d’un million de dollars en un seul prêt.
Toutes les occasions de frauder étaient bonnes à prendre
Mais pour monsieur Yehuda Rubin* et Rachel, du même nom, il n’y a pas de petits profits et ils savaient tout aussi bien minorer terriblement leur situation patrimoniale quand cela pouvait également leur rapporter des sous. Ainsi, ils ne déclaraient que 180 dollars de revenus mensuels pour se faire verser indûment des allocations sociales, 700 000 dollars depuis 2004, qui leur permettaient de se nourrir gratuitement, de se faire offrir leurs soins médicaux et de faire payer leurs factures énergétiques par l’État, dans un pays chaque jour plus surendetté par la faute de ce type d’abus, entre autres choses.
Samuel Rubin fit de même, se vantant de 350 000 dollars de revenus annuels auprès des banques pour se faire prêter facilement… sept millions, mais ne déclara que 20 000 dollars de revenus par an pour se faire aider par l’assistance publique !
Une bande bien organisée finalement rattrapée par la justice
Avec l’aide de douze membres de la famille et de trois amis de leur communauté, dont l’expert Pinchus Glauber qui surestimait les biens immobiliers possédés pour obtenir d’autres prêts et le mandataire immobilier Martin Kofman, ils ont obtenu tous les documents certifiés – des sortes de « vrais faux » – pour se procurer à bon compte des cartes de crédit et surtout rembourser leurs autres emprunts, déjà obtenus frauduleusement, ce qui nous rappelle la “chaîne de Ponzi” telle que l’a pratiquée leur maître, le criminel financier Bernard Madoff.
La bande des quinze est désormais poursuivie pour 21 charges, dont association de malfaiteurs, fraude aux banques et usurpation d’identité aggravée, la plus grave les exposant à trente ans de prison (ce qui, néanmoins, ne remboursera pas les prêteurs floués).
La lecture du livre dernier livre d’Hervé Ryssen permettra aux personnes intéressées d’approfondir ce sujet quotidien.
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* À distinguer d’un homonyme impliqué dans un vol de chèques et une affaire de drogues (cannabis, oxycodone, Xanax et amphétamines), non loin de là, à Staten Island, autre arrondissement de New York.