Après près de quatre mois d’enquêtes, les jurés américains ont reconnu l’innocence d’un policier qui avait abattu un délinquant africain le 9 août 2014. Ce jour-là, après avoir commis un viol avec violence en réunion, Michael Brown avait attaqué un policier qui, pour se défendre, avait ouvert le feu. Au vu des éléments du dossier, après des milliers d’heures d’auditions, des dizaines de rapports, d’experts, les jurés ont reconnu qu’il était impossible d’inculper le fonctionnaire qui avait défendu sa vie contre une racaille très menaçante.
« Le devoir d’un grand jury est de séparer les faits de la fiction »
a déclaré le procureur Robert McCulloch, rappelant que la réalité était loin des mensonges propagés par les médiats antiblancs à travers la planète, tentant de voir dans un banal fait divers un incident « raciste », alors qu’ils ignorent les centaines de milliers de véritables crimes racistes antiblancs commis chaque année aux États-Unis.
Dès l’annonce de la décision, des hordes de criminels sont descendues dans les rues : au moins douze immeubles ont été incendiés ; des policiers ont été la cible de tirs – au moins 150 recensés – par armes à feu, de nombreux pillages et vols ont été recensés. Ces crimes n’ont provoqué qu’une faible réaction des autorités, les forces de l’ordre ayant visiblement reçu des consignes pour laisser la racaille détruire et piller. Moins de trente personnes ont été arrêtées.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=A5F-8TvvE7Q[/youtube]De ce côté de l’Atlantique, la raciste antiblanche Christiane Taubira a dévoilé sa conception raciste de la justice : pour elle, les jurés auraient dû inculper le policier simplement parce que les racistes antiblancs l’avaient décidé ainsi, parce que les médiats juifs l’exigeaient, et parce que les gangs de pilleurs noirs prenaient ce prétexte pour dévaliser et agresser.
L’ignoble raciste qui dirige aujourd’hui le ministère de la Justice (!) en France a insulté le peuple américain, au nom duquel a été rendue la décision de non-inculpation. Elle a ensuite lancé un appel au meurtre contre les policiers en reprenant les paroles d’une chanson de Bob Marley – connu pour être l’icône des drogués – intitulée : « I shot the Sheriff* » (J’ai tiré sur le shérif). Pour elle, c’est très clair : la fiction prime sur les faits pour rendre la « justice » ; c’est un caractère bien connu du marxisme culturel pour lequel la réalité doit se plier à l’idéologie, pour lequel la vérité n’existe pas qu’à travers le prisme des constructions idéologiques et doit se conformer à l’agenda mondialistes.
Contre les Blancs, les mêmes procédés sont systématiquement utilisés : mensonges, culpabilisation, violences, avec, in fine, la volonté de rendre légal les agressions telles que celles commises par Michael Brown contre un commerce puis contre un policier. Le but est de faire définitivement des parasites sociaux des super-citoyens à l’égard des « stars » et des oligarques pour lesquels aucune loi n’a de valeur, contre lesquels ni la police, ni la justice, ni les citoyens ne devraient s’opposer, qu’ils volent, qu’ils violent ou qu’ils tuent. Et toujours les mêmes victimes : les Blancs.
Le même genre de propos a été tenu par les organes mondialistes, le Haut Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme Zeid Ra’ad Al Hussein, qui n’a jamais eu un mot pour les milliers de Blanches violées chaque année par les criminels noirs, qui ne s’est jamais préoccupé des milliers de Blancs assassinés par des Noirs, s’est dit « profondément préoccupé » qu’un policier agressé par un délinquant se défende.
Ces faits révèlent, une fois de plus, l’impossible cohabitation entre citoyens blancs, délinquants africains et médiats juifs poussant aux crimes.
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* Extraits de cette chanson qui illustre parfaitement l’esprit de victimisation et de violence justifiée a priori par Christiane Taubira :
I shot the sheriff
But I swear it was in self defense
I say I shot the sheriff
And they say it is a capital offense
J’ai tiré sur l’agent de police
Mais je jure que c’était de la légitime défense
Je dis que j’ai tiré sur l’agent de police
Et ils disent que c’est une grave offense
Bravo!