Après la manipulation médiatique concernant un voyou de Ferguson, c’est la mort d’un autre Noir, Éric Garner, lui aussi très costaud, lors d’une arrestation, qui « fait polémique ». Il semble que malgré sa carrure très imposante, qui a incité le policier à forcer pour le maîtriser, l’individu souffrait de problèmes respiratoires, et que cela pourrait être la cause de son décès.
Le policier n’ayant en rien cherché à tuer le suspect, il n’a pas, contrairement à ce qui lui serait arrivé dans leur République, été poursuivi par la justice. Les manifestations de rue ont donc repris un peu partout, en cherchant à faire croître le mouvement avec les deux « affaires ».
Chacune de ces manifestations – qui se concentrent désormais dans les régions les plus corrompues du pays, la Californie et New York – se déroule selon un scénario identique : les manifestants se montrent, devant les caméras, pacifiques et souriants, puis les casseurs entrent en action, les racistes antiblancs insultent, agressent, obligeant les forces de l’ordre à intervenir. Grâce à des montages vidéo falsifiés, les médiats peuvent montrer des manifestants non violents subir la « répression policière » et ainsi nourrir les violences futures et accréditer l’idée d’une police « raciste ».
Ces manifestations, outre les habituelles officines juives (Southern Poverty Law Center, Anti Deafamation Leage) et quelques mouvements ouvertement racistes antiblancs, sont également organisées et orchestrées par l’extrême gauche américaine. Les communistes sont numériquement extrêmement faibles, mais aussi actifs qu’ils sont puissants dans le monde intellectuel. Le message reste le même et le racisme antiblanc est omniprésent. En témoignent ces captures d’écran prises sur la page Facebook de la Jeune ligue communiste (YCL, Youth Communist League), dont l’une se réjouissant qu’un Africain se déclare « noir et fier ». Seuls les Blancs n’ont pas ce droit…
Les médiats cosmopolites en profitent pour rappeler qu’au mois de juillet, deux policiers blancs ont été pour l’un démissionnaire, pour l’autre renvoyé, à cause de leur appartenance au Ku Klux Klan (KKK) en Floride.
Le reproche qui leur a été adressé émane d’une enquête du FBI (comme pour des terroristes !), faisant suite à une dénonciation anonyme.
Celui qui a démissionné avait de hautes responsabilités au service de son pays depuis plus de vingt ans et l’administration n’avait jamais eu le moindre reproche objectif à lui adresser.
D’ailleurs, renvoyer, en 2014, des policiers pour cette appartenance est parfaitement ridicule puisque la consultation des éléments émanant du Klan et disponibles en ligne – quand on arrive à contourner la censure – concernent l’éducation et l’enseignement faits aux enfants, les valeurs familiales et morales sur des bases européennes et chrétiennes ou encore l’étonnement face à la politique de préférence étrangère au profit des Mexicains pratiquée aux États-Unis. Aucun de leurs messages n’est empreint de « haine ».
Mais ce fut évidemment l’occasion de rappeler que les autorités sont intolérantes face à toute forme d’intolérance quant aux « race, religion, ethnie, genre et orientation sexuelle [sic] ».
Enfin, puisque les temps sont à la victimisation, il aurait été intéressant de préciser que les femmes que le métisse africain-mexicain, Fredrick Antonio Evins, a violées pour l’une (une dame de 83 ans devant sa petite-fille de 7 ans) et tuées pour les autres, étaient blanches. Ou encore qu’il a déjà échappé par trois fois à la peine de mort, malgré ses crimes, pour cause de¦ « déficience intellectuelle », manifestement source de grande « tolérance » de la part du Système !