La politique d’invasion imposée par les gouvernements d’occupation des divers pays d’Europe provoque partout des drames similaires. Aux réseaux de prostitution de Blanches mineures mis en place par les Pakistanais en Grande-Bretagne répondent le meurtre d’Anne-Lorraine ou de Marion assassinées par un Turc et un Africain en France, aux attaques racistes en Suède ou au Danemark.
L’Espagne n’échappe pas à la règle : sous la férule mondialiste, de pays d’émigration, corrompu par le matérialisme et l’individualisme, l’Espagne est devenue un pays de forte « immigration ». Une invasion de masse qui, comme partout ailleurs, provoque des drames innombrables.
Ce vendredi, c’est un policier de Madrid – de ceux qui défendent les politiques gouvernementales anti-espagnoles – qui a été victime de l’invasion. Il a été entraîné sur une voie de chemin de fer au moment où un train arrivait en gare de Madrid-Atocha. Très grièvement blessé, il est mort peu après. Francisco Javier Ortega avait 28 ans. Le tueur, qui est également tombé, est hospitalisé dans un état grave.
Le meurtrier noir d’un policier blanc se nomme Ali Yode Raba ; il s’agit d’un Ivoirien de 27 ans. Ce multirécidiviste était connu pour des affaires de menaces, de vols avec violence, d’outrages et rébellion, et même d’infraction à la loi sur le séjour des étrangers. Malgré cela, il était toujours présent sur le sol espagnol.
La gare d’Atocha a également été le théâtre d’une fausse alerte à la bombe, provoquée par un « détraqué », réveillant les peurs liées aux attentats islamistes de mars 2004. L’immigration avait ce jour-là été la cause de 191 morts et 1 858 blessés.