Après le tintamarre qui a suivi l’élimination d’un ‘gentil’ voyou à Ferguson, on aurait pu s’attendre au même tumulte politico-médiatique pour une affaire qui s’est déroulée à Orlando.
Las. Les deux victimes sont des femmes blanches et les quatre tueurs sont des ‘jeunes’, c’est-à-dire beaucoup plus mélanodermes que leurs malheureuses victimes, la mère âgée de 72 ans et sa fille âgée de 51 ans, ainsi ‘enrichies’ par la diversité.
Gageons que les médiats de leur République nous auraient, au mieux, parlé d’un « braquage qui a mal tourné », mais ont probablement préféré éviter tout « risque d’amalgame ou de stigmatisation », l’assaut contre Charlie hebdo étant tellement mieux adapté pour abonder dans le sens de la doxa et d’une récupération politique –qui confine maintenant à l’hystérie- par leur porte-parole anti-Français occupant l’Hôtel Matignon.
C’est donc l’histoire de quatre Africains âgés entre 22 et 34 ans. Ils se couvrent la tête pour ne pas être reconnus. Armés de fusils d’assaut afin de terroriser le personnel et les clients, trois d’entre eux attaquent un magasin, tandis que le quatrième attend au volant d’un véhicule garé à l’extérieur.
Après une première série de crimes, la bande s’enfuit et entre par effraction chez les deux femmes qui y laisseront la vie. Une voisine ayant entendu des cris alerta la police qui commença à encercler la maison, se faisant foncer dessus par une voiture sortant du garage, avant d’ouvrir le feu pour arrêter à son volant un premier suspect, blessé, avant de récupérer les trois autres un peu plus tard.
Ne s’ensuivirent aucune manifestation bruyante des bonnes consciences de l’antiracisme subventionné abondamment relayée par les médiats, ni aucun incendie ou pillage, pas plus que des slogans déclarant qu’on attente à la vie des Blancs ni que ces vies-là sont importantes.
Pourtant, les quatre étaient des récidivistes, depuis les cambriolages et vols à main armée jusqu’au grand banditisme, en passant par la possession de drogues, ce qui montre que ce drame aurait pu être évité en appliquant de vraies mesures antirécidive, par exemple la peine de mort pour tout ce qui touche de près ou de loin aux drogues !