En Lituanie, des colons israélites et leurs « antifas » ont harcelé, avec leurs ritournelles habituelles, le demi-millier de patriotes qui défilèrent pour fêter l’indépendance – du 16 février 1918 –, arborant des symboles européens multimillénaires.
Dans la foule, les chercheurs de poux dans la tête des autochtones ont certes vu les costumes anciens.
Mais ils ont surtout tenu à longuement se lamenter qu’un symbole « nazi » (sic) a été aperçu sur un très ancien instrument de musique, issu de la même culture ancestrale que les costumes traditionnels, mais jugé non conforme par l’occupant enragé : un soleil au centre d’une swastika représentant le cycle des quatre saisons.
Le médiat libéraliste russe Russia today a tristement repris tous les délires psychanalytiques du Jérusalem Times, relayant lui ceux des surenchérisseurs du Centre Simon Wiesenthal.
Rappelons que la Lituanie a été victime du bolchévisme le plus acharné, qui n’a pris fin – hormis les quatre années où l’armée allemande avait chassé les Rouges et déplacé leurs chefs politiques levantins vers l’Est « promis » – qu’après la dislocation de l’ex-URSS. La Lituanie a été annexée, puis colonisée en masse pour détruire tout sentiment patriotique durant un demi-siècle.
Une pratique similaire a lieu aujourd’hui en France avec l’immigration-invasion et la même omniprésence des cosmopolites dans tous les rouages des pouvoirs politique, médiatique et financier contre toute voix française discordante d’avec leur République.