Malgré les pressions médiatiques et politiques, malgré les émeutes et les menaces des gangs africains, le ministère de la Justice a annoncé ne pas avoir pu retenir quelque charge que ce soit contre Darren Wilson. L’exécutif avait pourtant tout fait pour faire juger l’ancien policier de Ferguson, notamment après les scandaleux propos de Barack Obama qui avait pris le parti de la racaille contre la police.
Sept mois plus tard, l’information a été quasiment ignorée par tous les médiats qui avaient à l’époque violemment attaqué et menti sur la réalité des événements de Ferguson. Après un vol avec violence commis dans un commerce de la ville, la racaille Michael Brown avait attaqué un policier qui, pour se dégager, avait été contraint de faire usage de son arme. La racaille africaine était décédée, provoquant durant plusieurs nuits des émeutes racistes antiblanches durant lesquelles des dizaines de commerces avaient été attaqués, pillés et parfois incendiés par les gangs, avec le soutien de l’ensemble des médiats du système à travers la planète.
La victime de cette violence médiatique, Darren Wilson, a depuis été contrainte de quitter son travail de policier. Il vit désormais sous la menace permanente, les racistes antiblancs ayant multiplié les attaques contre lui et sa famille et menacé à de nombreuses reprises de le tuer.
Devant les preuves accablantes pour Michael Brown, la justice populaire avait déjà blanchi Darren Wilson. Le vain recours du gouvernement raciste antiblanc – qui a profité néanmoins de la diffusion du rapport innocentant Darren Wilson pour prétendre que la police de Ferguson devait combattre le racisme (!) – clos définitivement cette affaire.