Les autorités de l’Ancienne République Yougoslave de Macédoine (ARYM) ont annoncé la fin d’une vaste opération anti-albanaise ce dimanche après de longues heures d’affrontements avec un groupe criminel albanais à Kumanovo. Les combats ont fait 22 morts, dont huit policiers. Quatorze colons ont été éliminés. Certains se sont rendus samedi à la police.
« L’opération est achevée. Le groupe armé est neutralisé. La zone est sous le contrôle de la police »,
a précisé Ivo Kotevski porte-parole des forces de l’ordre. Selon les autorités ont précisé qu’il s’agissait d’un groupe venu de l’étranger pour perpétrer des attentats en Macédoine avec le soutien d’éléments locaux.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x2pp3po_macedoine-scenes-de-guerilla-dans-une-ville-a-la-frontiere-avec-le-kosovo_news[/dailymotion]Ce nouveau crime commis par des étrangers islamistes rappelle que tous les États multiculturels sont voués à connaître des tensions conduisant, sauf si l’une des parties élimine l’autre, à des situations de graves violences.
Ce n’est pas la première fois que ce territoire est le théâtre de combats liés à l’insupportable présence d’une forte minorité albanaise (voir : « Drame de l’invasion : après la Serbie, l’envahisseur albanais porte la guerre en Macédoine »). Les occupants ont déclenché une guerre meurtrière il y a seize ans, commettant des attentats et des attaques avec le soutien de la tristement célèbre Armée de libération du Kossovo (UÇK, Ushtria Çlirimtare e Kosovës), dont se revendiquent les envahisseurs albanais. Ils créèrent l’Armée de libération nationale [sic] (UÇK-M, Ushtria Çlirimtare Kombëtare), au nom de laquelle ils ont continué leur agitation depuis les accords de 2001.
Ces dernières années, plusieurs incidents se sont produits. Quatre terroristes furent éliminés en 2010 après une attaque contre les forces de l’ARYM. À l’automne dernier, des lance-roquettes furent utilisés contre un bâtiment gouvernemental à Skopje.
Surtout, le 21 avril dernier, une quarantaine de terroristes de l’UÇK-M ont pris en otage des policiers dans le nord du pays, exigeant la création d’un État albanais au cœur de la Macédoine.
C’est en réaction à cette nouvelle attaque que le gouvernement, qui a surtout montré de la faiblesse jusqu’ici, permettant non seulement l’invasion albanaise, mais encore le développement des groupes criminels, négociant avec les tueurs, à l’image de leur République en France, a tardivement décidé de réagir.
Les combats se sont concentrés samedi et dimanche à Kumanovo, l’une des cités les plus envahies de l’ARYM. Plusieurs dizaines d’Albanais s’étaient retranchés dans le quartier islamiste de la ville.
C’est une nouvelle fois la lâcheté, sinon la trahison qui a guidé les réactions des gouvernements européens et des entités mondialistes.
« Toute escalade ultérieure de la violence doit être évitée, dans l’intérêt de la stabilité générale dans le pays »,
a osé le commissaire à l’élargissement de leur Union européenne (UE), Johannes Hahn, comme si laisser se développer l’invasion et le terrorisme était une réponse adaptée.
« J’appelle chacun à faire preuve de retenue et à éviter toute nouvelle escalade dans l’intérêt du pays et de l’ensemble de la région »,
a lancé de son côté le secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) Jens Stoltenberg, comme si les terroristes, les groupes mafieux et ceux qui colonisent notre Europe étaient des « parties » qu’il conviendrait de ne pas trop irriter et avec lesquelles il faudrait traiter.