Comme en France1, régulièrement, depuis des années, les institutions communautaristes juives font pression sur les pouvoirs publics et l’opinion publique pour accepter de se plier à leur volonté en prétendant être « victimes » de plus en plus de violences. En 2014, selon l’association israélite Community Security Trust (CST), les nombres d’actes prétendument « antisémites » ont plus que doublé pour atteindre 1 168, contre 535 en 2013. Il s’agirait du plus fort résultat depuis 1984.
La manipulation a fonctionné puisque dès l’annonce des résultats, la ministre de l’Intérieur britannique Theresa May, aux ordres du premier ministre juif David Cameron, a déclaré, comme elle l’avait déjà fait dans le passé :
« La Grande-Bretagne sans ses juifs ne serait pas la Grande-Bretagne [sic] »,
affirmant que ces chiffres étaient « très inquiétants ». Ces propos sont calqués sur ceux dictés à Manuel Valls et que ce dernier a répété à plusieurs reprises, tout comme François Hollande.
Ces résultats, s’ils montrent une réalité, c’est bien au contraire l’extrême protection dont bénéficient les Juifs en Grande-Bretagne au détriment des Européens. Ces prétendus « actes » sont en réalité en majorité de simples « insultes » verbales, et même de simples propos considérés comme « antisémites » par les Juifs.
Pour mémoire, 1 168 « insultes », menaces sur les réseaux sociaux, graffitis anti-Israéliens ou crachats « antisémites » sur toute l’année 2014, c’est moins que le nombre de mineures blanches réduites en esclavages, violées et torturées par un seul gang de criminels pakistanais en quelques années pour la seule ville de Rotherham (cf. : « 1 400 mineures blanches violées en Grande-Bretagne par des criminels pakistanais protégés par les autorités).
La manœuvre marchant toujours autant, le criminel contre l’humanité Benyamin Nétanyahou, premier ministre de l’État criminel d’Israël, a également dénoncé l’« antisémitisme résurgent ». Le tueur avait convoqué plusieurs responsables internationaux pour le 5e Forum Global pour combattre l’antisémitisme.
« Aujourd’hui il ne fait aucun doute [sic] que nous vivons un âge d’un antisémitisme résurgent. Partout, les juifs sont de nouveau calomniés et diffamés. Cela se produit dans les régions les plus intolérantes du Moyen-Orient, mais cela a aussi lieu là où l’on aurait pu s’attendre à de la tolérance, en Occident »
a-t-il lancé, évoquant « Beyrouth, Damas, Téhéran », mais aussi – la France en tête – « Toulouse, Paris, Bruxelles ».
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1 Pour la réalité des « hausses » de l’antisémitisme en France, se reporter à nos articles :« Nouveau “doublement” des actes insuffisamment prosémites en France » et « Selon les usuriers de la mémoire, l’antisémitisme a (encore) augmenté ».