Une dizaine de criminels africains ont participé à l’attaque de forces de l’ordre à +(Setúbal, ouest), vendredi soir lors du « Festival multiculturel » (Festas Multiculturais) de Vale da Amoreira. Ces « fêtes » « multiculturelles » – terme mensonger visant à masquer leur caractère antiportugais et antieuropéen – sont l’objet ordinairement de divers crimes et délits liés aux violences sexuelles, à la drogue, aux vols. Cela est particulièrement vrai à Barreiro, une ville de banlieue d’environ 80 000 habitants peuplée par des communautés africaines et gitanes. Vendredi, l’occupant a franchi une nouvelle étape dans la barbarie.
Le « concert » « multiculturel » a dégénéré en émeute violente, obligeant les forces de l’ordre à intervenir. La police de la sécurité publique (PSP, Polícia de Segurança Pública) menait une opération sur place lorsqu’ils ont été pris à partie par des racailles largement supérieures en nombre. L’un des policiers a été frappé, mis à terre, puis touché par plusieurs coups de couteau. Pendant qu’il gisait sur le sol, les photos montrent des subhumains le dépouillant. Il est actuellement hospitalisé dans un état critique à l’hôpital de Barreiro, dans la banlieue de Lisbonne. Plusieurs autres ont été blessés.
Les médiats français et leurs congénères, y compris portugais, se sont réfugiés dans un mutisme choquant après cette nouvelle agression. C’est pourtant leur propagande incessante contre les symboles de l’autorité vraie, leurs attaques racistes permanentes contre l’Europe et les Européens, la justification de l’invasion, le relativisme culturel et le libéralisme qui sont responsables de la situation, à Barreiro comme dans le métro parisien et dans les rues d’Amérique.
Le plus surprenant, c’est qu’en France comme au Portugal, les policiers méprisés par le régime, envoyés dans des missions impossibles à réaliser, sans soutien hiérarchique, administratif ni politique, sans le matériel adéquat, sans la réponse judiciaire adaptée ensuite, continuent à faire les basses œuvres des autorités fantoches, traquant les nationalistes, surveillant les patriotes, mais laissant les violeurs, les islamistes malades, les trafiquants de drogues ou les mafieux juifs commettre leurs méfaits.
Dans l’affaire de Barbeiro, quatre criminels africains ont été arrêtés.
Quarante ans plus tard, les « révolutionnaires » d’avril peuvent être fiers d’eux : l’économie portugaise est au plus mal ; le pays est envahi, sa démographie s’est effondrée : ici comme ailleurs, l’alliance des libéraux et des marxistes a montré tout son pouvoir de nuisance.