Le secrétaire d’État aux Communautés et aux Affaires locales britannique a annoncé l’introduction d’une nouvelle disposition dans le projet de loi sur l’immigration. Si elle est adoptée, elle condamnera lourdement les propriétaires qui loueront des biens aux envahisseurs. Avoir logé un clandestin pourra coûter jusqu’à cinq ans de prison, alors que les complices de l’invasion ne risquaient jusqu’ici que des amendes. Le projet de loi envisage également la possibilité de saisir les salaires des colons.
C’est un petit pas pour les autorités britanniques qui ont jusqu’ici largement utilisé l’invasion à leur profit – ou plus exactement celui du patronat – en tolérant l’invasion qui permet de faire baisser les salaires en inondant le marché de main-d’œuvre et avec des individus susceptibles – pour ceux qui travaillent et pour ceux qui travaillent dans des domaines autres que le trafic de drogues ou la prostitution – d’accepter des salaires bas.
Cela se faisait doublement au détriment des Britanniques, victimes socialement et économiquement, et surtout confrontés à une véritable politique de génocide, dont l’aspect économique n’est qu’accessoire.
Une telle mesure est peu probable en France puisque le gouvernement lui-même vole l’argent des Français pour héberger les colons dans des chambres d’hôtel, dans des HLM ou dans des résidences spécialisées, au détriment des Français en difficulté dont plusieurs centaines de milliers sont mal logés ou à la rue dans l’indifférence générale.